Tiers-Ordre franciscain

étaient très ouverts sur le monde, par la vente. Les romains ont crée un droit tellement souple, qu’il peut s’appliquer longtemps. Le premier a présenté une vision synthétique des obligations, s’appelle Jean Domat (1625-1696), les lois civiles dans leur ordre naturel. 2 principes essentiels qui fondent le droit des obligations : * Le respect de la parole donnée  * La réparation du préjudice causé Le droit peut être systématisé. De son vivant, Domat a été peu reconnu. C’est au 19e siècle

très proches de la noblesse), et le bas-clergé, issu du Tiers-Etat. Les nobles, eux, sont assez homogènes, et solidaires les uns des autres pour défendre leurs privilèges. 600 députés du Tiers-Etat, habillés de noir, et notamment l'abbé Siéyès, ayant beaucoup fait parler de lui avant la Révolution (hiver avant l'ouverture des EG), en sortant son petit livre: « Qu'est-ce que le Tiers-Etat ? » → Rien. Qu'est-ce qu'il aspire à être ? Tout. Le Tiers-Etat est 98 % de la population française, mais il n'a

l’imperium, ils désignent également certains prêtres. Les comices centuriates : les citoyens sont divisés en classes, selon leur fortune, et dans certaines classes il y a des centuries. Distinction entre les plus jeunes et les plus âgés. Vote par ordre de centurie. Ensuite, procédure de vote secrète. Ils élisent les magistrats supérieurs, ils peuvent voter des lois. Les comices tributes : les citoyens sont répartis par tribus d’après leur lieu de domicile, tribus urbaines et rustiques, inégales car

bas-MA, on voit émerger des idées qui vont devenir extrêmement importantes pour les années constitutionnalistes. a/ des idées ● critique des hiérarchies sociales immuables : Dès le XIIIème siècle, des auteurs comme le théologien franciscain J. Duns Scot pensent qu'il n'y a pas à accepter des classes sociales par nature, malgré la création de Dieu. Apparaît l'idée d'égalité des êtres : chaque individu a sa volonté propre, est doué d'autonomie, d'une capacité. Pas de bouleversements

Faust, ayant invoqué le démon, au lieu d’être effrayé par son apparence terrifiante (il arrive sous la forme d’un dragon) le renvoie se changer pour la simple raison qu’il est trop laid pour le servir et lui demande donc de revenir " en vieux moine franciscain " !… Cette scène est remarquable également car lorsque Faust veut savoir pourquoi le démon se trouve hors de l’Enfer, il répond : " Mais l’Enfer c’est ici, je n’en suis pas sorti. Penses-tu que moi qui ai vu Dieu en face, Qui ai goûté du ciel

Venise compta très tôt notamment grâce à l’apparition du premier manuel de compta créé en 1494 par Lucas Pacioli (Summa de arithmetica, geometria, proportioni e proportionalita, particulares de computis e scripturis à connaitre). C’est un moine franciscain qui participe à la diffusion de la comptabilité en Allemagne et aux Pays Bas => c’est le début de la comptabilité en Europe. C’est lui qui a fait en sorte que la comptabilité en partie double se développe. C’est un ouvrage qui fait état des connaissances

dans un premier temps au détriment de la papauté, alors que l'Église, mais aussi le pouvoir impérial traversent à tous points de vue une crise grave, au Xe siècle, et il faut attendre la réforme grégorienne (seconde moitié du XIe siècle – premier tiers du XIIe siècle) pour que le pape affronte l'Empereur germanique, lors de la querelle des Investitures. Cette dernière, qui s'achève sur un compromis, est déterminante pour assurer l'indépendance du siège apostolique. Au XIIIe siècle, enfin, la papauté

clerc de n’importe quelle Église ; 15. Celui qui a été ordonné par lui peut gouverner une autre Église, mais non combattre ; il ne doit pas recevoir d’un autre évêque un grade supérieur ; 16. Aucun concile ne peut être appelé général sans son ordre ; 17. Aucun texte canonique n’existe en dehors de son autorité ; 18. Sa sentence ne doit être réformée par personne et seul il peut réformer celle de tous ; 19. Il ne doit être jugé par personne ; 20. Personne ne peut condamner une décision du

bénédictin de Cluny compte plus de 1400 monastères dans toute l'Europe occidentale. Son succès tient aussi au fait qu'elle s'est mise hors de portée des influences laïques par le système de l'exemption : un privilège qui permet à une abbaye ou à un ordre religieux de ne relever que de la papauté et pas de la juridiction de l'évêque. Déclin de Cluny au XIème, et au XIIème, l'ordre des Cisterciens prend le relais : volonté de retour à une tradition bénédictine dévoyée par les Clunysiens. Dès la seconde

les deux phénomènes en étudiant des régions d’Europe dont ils n’avaient pas et ne pouvaient pas avoir une bonne connaissance. Ils ont même donné de manière malencontreuse l’avertissement suivant : le code est caractérisé par le but de construire un ordre légal « nouveau », « complet » et définitif qui inclut parmi ses formulations les solutions pour tous les cas possibles. Or c’est précisément cette caractéristique qui distingue le code des consolidations législatives de l’époque précédente, qui avaient