Théâtre Censure

Censure cléricale et survivance de la littérature Québécoise Introduction La Société québécoise a vécu plus d’un siècle de censure cléricale. L’époque qui nous intéresse ici se situe entre 1810 et 1959. Cette dernière a fait couler beaucoup d’encre et de larmes. Au Québec, la censure principalement du pouvoir religieux du milieu du XIX ième siècle jusqu’à la révolution tranquille s’est affirmée dans les écoles catholiques, les collèges et les couvents du Québec, menaçant même les élèves d’excommunication

ouvrages : des romans, des nouvelles et des pièces de théâtre sous le régime soviétique. Il traite de divers thèmes politiques et sociaux en utilisant la satire et le fantastique. Parmi les nouvelles qu’il a écrite, une des plus importantes et révélatrice de son style est Cœur de chien. Ecrite en 1925 dans un contexte de censure et d’interdictions liés à la révolution Russe, cette œuvre sera comme plusieurs de ses autres écrits, soumise à la censure soviétique. Elle ne sera publiée en Russie qu’en 1985

s’agit. Puisqu’elle est ouverte, elle est écrite pour le public (relève du théâtre avec la double énonciation = 2 destinataires) Il s’agit ici, d’un cas de double énonciation car il s’agissait au départ à être destiné au premier commis, in fine, il est adressé ouvertement à la société. Registres : comique (l.1), polémique et satirique Thème : La censure Dénonciation : censure étatique Proposition : limitation de la censure ainsi que de la liberté de jugement du public Thèse : Ce n’est pas à

ou noir. » Le théâtre n’est pas en reste, tout aussi engagé que les autres genres. Pensons à Figaro, dans Le Mariage de Figaro, qui défraya la chronique à la veille de la Révolution. Ce valet est capable d’émouvoir, d’occuper le 1er rôle : il devient le prétexte de la critique sociale de Beaumarchais : « Vous vous êtes donné la peine de naître et rien de plus ! », lance-t-il au comte Almaviva, faisant écho aux idées nouvelles d’égalité... Ce héros va jusqu’à dénoncer la censure qui empêchait les

être défini par certaines normes qui délimitent les interactions entre les personnes. Selon la culture et le milieu, le processus de sociabilisation devra prendre plus ou moins en compte l'importance du silence. Barsalou définit la vie comme un « Théatre Social  »[4] ou chacun respecte l’interprétation de son rôle dans la société. Ainsi, le statut du silence prendra tout son sens hiérarchique en fonction du sexe, de l'age, de l'emploi ou de la place dans la famille, également en fonction de son niveau

Ce vendredi 18 février 2011, à 20 h 45, à la salle des fêtes de Millau, ville française située dans le département de l'Aveyron, la troupe « Les Colporteurs » a interprété la pièce de théâtre« Diabolus in Musica », librement inspirée de « Diableries » de Mikhaïl Boulgakov. Cet écrivain et médecin russe d’origine ukrainienne, né à Kiev en 1891 et mort à Moscou en 1940, est l’auteur de nombreux ouvrages dramatiques et littéraires. Il a écrit notamment le « Roman de monsieur de Molière » dans lequel

nombreuse barrières. L’œuvre artistique est depuis longtemps un moyen utilisé afin de critiquer et dénoncer la société. Comme le dit Molière dans la préface du tartuffe « L'emploie de la comédie est de corriger les vices des hommes ». En effet le théâtre fut beaucoup utilisé afin de critiquer le Roi, les bourgeois et le clergé. Dans l'avare de Molière, celui-ci dénonce l'avarice en mettant en scène le personnage d'Harpagon a la personnalité très exagérée, mais également le pouvoir de l'argent sur

à la discrimination ou à la violence nationale, raciale ou religieuse » et « diffamation publique racial et religieuse ». Plus ancien, au XVIIème siècle, c’est la pièce de théâtre Tartuffe de Molière, faisant une critique satirique de la dévotion qui fut interdite pendant cinq ans. Au XVIIIème, siècle des Lumières, la censure et les sanctions pour ceux qui osent provoquer avec humour sont très présentes et très vives, les philosophes comme Diderot (L’Encyclopédie), Voltaire (Le Dictionnaire philosophique)

moyens de contournements de la censure La censure est-elle un obstacle réel à la diffusion de la pensée ? Introduction : Depuis toujours, la liberté d’expression est accompagnée de la censure. Les premiers postes de censeurs ont été créés à Rome pour « maintenir les mœurs » car elle était considérée comme un moyen de régulation de celles-ci et de la vie politique. La censure augmenta avec l’arrivée de l’imprimerie, qui amène le besoin de renforcer la censure déjà présente. C’est en 1535 qu’intervint

d’un personnage quasi-divin à qui on doit montrer respect et obéissance aveugle. Pour cela les régimes totalitaires mettent en place une censure systématique de la culture et de la littérature en particulier, et prônent une littérature de propagande. Ainsi ils prennent le contrôle d’un moyen d’expression, de dénonciation et d’information majeur. A) La Censure Littéraire - En Allemagne, pendant la période nazie, Goebbels est chargé dès 1933 d’organiser la propagande. Il se donne pour mission