Thérèse Raquin

EXPLICATION INCIPIT DETHÉRÈSE RAQUIN Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine Ce passage a trente pas de long et deux de large ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse Par les beaux jours d'été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté

En quoi cet extrait (chapitre 7) révèle-t-il la personnalité de Thérèse ? Au XIXème siècle, les auteurs naturalistes se proposent de montrer le réel avec une grande précision en soulignant l’aspect physiologique des personnages. L’extrait du chapitre treize de Thérèse Raquin écrit par Émile Zola en 1867, nous mène à nous demander en quoi ce passage donne-t-il une vision naturaliste de la morgue. En premier lieu, dès le début, le point de vue interne

Thérèse Raquin est un roman publié en 1867 par le chef de file du gouvernement naturaliste Emile Zola dont c’est une œuvre de jeunesse. Dans ce roman naturaliste l’écrivain se propose d’étudier en scientifique le tempérament de deux personnages et la domination qu’exercent sur eux leurs nerfs. Le passage qui nous intéresse est un extrait du chapitre 13 et se situe dans une morgue où Laurent va régulièrement à la recherche du cadavre de Camille afin de pouvoir être sûr que la mort de ce dernier est

Turlure Adrien 2de5 Paragraphe Argumenté Nous allons nous interesser aux enjeux de l'incipit qui met en place un programme de lecture. En effet, l'incipit fait une déscription sociale et réaliste du quartier où ce situe la boutique des Raquins. Par exemple, nous étudirons les connecteurs spaciaux comme : "au bout de" , "à gauche" , "à droite" et "au dessus". Cette déscription du quartier est dans un premier temps réaliste car elle s'attache aux détails et aux présisions. Elle est aussi dans

dont les boiseries d’un vert bouteille suaient l’humidité par toutes leurs fentes. L’enseigne, faite d’une planche étroite et longue, portait, en lettres noires, le mot : Mercerie, et sur une des vitres de la porte était écrit un nom de femme : Thérèse Raquin, en caractères rouges. A droite et à gauche s’enfonçaient des vitrines profondes, tapissées de papier bleu. Pendant le jour, le regard ne pouvait distinguer que l’étalage, dans un clair-obscur adouci. D’un côté, il y avait un peu de lingerie

Au bout d’une semaine, Laurent était écœuré. La nuit, il rêvait les cadavres qu’il avait vus le matin. Cette souffrance, ce dégoût de chaque jour qu’il s’imposait, finit par le troubler à un tel point qu’il résolut de ne plus faire que deux visites. Le lendemain, comme il entrait à la morgue, il reçut un coup violent dans la poitrine : en face de lui, sur une dalle, Camille le regardait, étendu sur le dos, la tête levée, les yeux entrouverts. Le meurtrier s’approcha lentement du vitrage, comme attiré

objets n'ont aucune valeur. Les commerçants dissimulent la mauvaise qualitée de leur produit. Le narrateur fait une allusion à la duplicité de ces personnages. Le contenu des boutiques est à peine visible, tout est dans l'obscurité, caché. Thérèse et Laurent cacheront aussi leur crime, et eux aussi ont une part sombre. La fin du paragraphe contient une autre allusion à la mort "la boite en acajou", rappelle le cercueil de Camille. Le dernier paragraphe La muraille prend une dimenssion

Quand Germaine revint du cimetière elle s'installa sur son lit et versa toutes les larmes qu'elle avait retenu pendant cette lourde journée. elle repensa a son mari et a tout ce qu'ils avaient vécu ensemble ,cela lui faisait drôle de se retrouver seule. germaine était très prudente par rapport à sa relation secrète avec baptiste Bien sûr ,toutes ces années ou elle vivait dans le mensonge lui avait beaucoup couter mais cela valait la peine pour continuer de voir son baptiste qu'elle aimait tant

Laurent était un vrai fils de paysan, d’allure un peu lourde, le dos bombé, les mouvements lents et précis, l’air tranquille et entêté. On sentait sous ses vêtements des muscles ronds et développés, tout un corps d’une chair épaisse et ferme. Et Thérèse l’examinait avec curiosité, allant de ses poings à sa face, éprouvant de petits frissons lorsque ses yeux rencontraient son cou de taureau. Émile Zola (à l'état civil Émile Édouard Charles Antoine Zola1) est un écrivain et journaliste français, né

Sujet d'invention : Ainsi, nous nous installons dans la barque et je voit que Thérèse n'est pas rassurée et qu'elle hésite avant d'embarquer. Laurent prend les rames, nous nous enfonçons dans la rivière le crépuscule vient déjà, j'ai froid. Laurent, s’arrête de ramer et se met alors sur le petit banc à coté de moi. Nous sommes calme. Je profite du paysage, le crépuscule d'automne, les îles et les arbres qui reflète sur la seine.. Je me met à plat ventre dans la barque, penche la tête au dessus