Théatre Cruel

Voici la question de corpus sur le théâtre : TEXTE A : Jean Racine, Iphigénie, acte IV, scènes 7 et 8, 1674 TEXTE B : VH, Ruy Blas, Acte V, scène 3, 1838 TEXTE C : Laurent GAUDE, Pluie de cendres, acte IV, scènes 5 à 7, 2001 QUESTION DE CORPUS : Quels sont les moyens théâtraux mis en œuvre dans ces trois textes pour exprimer les enjeux difficiles du choix auxquels sont confrontés les personnages principaux ? Les trois textes du corpus (Jean Racine, Iphigénie, acte IV, scènes 7 et 8, 1674 ; VH

évoque Staline, il rappelle sa « volonté de puissance » (p. 78). Ce zèle qu'il consacre à ses tâches est la clé de voûte de son caractère. Il ne connait ni la « pitié », ni même l'indulgence. La sensibilité lui est inconnue, il est intrinsèquement cruel. Il se méfie de chaque personne qu'il considère comme « un obstacle ou un danger » et qu'il n'hésiterait pas à faire éliminer. Le lexique de la dissimulation, du faux-semblant, lui est alloué. Il est décrit de façon très imagée : « communiste habillé

Petit Chose (1868) ; Sapho (1884) • É. Zola. L’Éducation sentimentale (1869) • G. de Maupassant. Une Vie (1883) ; Bel Ami (1885) ; Les Contes de la Bécasse (1883) ; Les Contes du jour et de la nuit (1885) ; etc. (auteur de 300 contes et nouvelles) Le théâtre réaliste (1850-1900) : • H. Becque. Les Corbeaux (1837) (comédie de mœurs) • A. Dumas, fils. La Dame aux camélias (1851) (comédie sérieuse) • E. Labiche. Un chapeau de paille d’Italie (1851) (vaudeville) • É. Augier. Le Gendre de monsieur Poirier

L'histoire / La storia : La commedia dell'arte est une forme de théâtre originaire d'Italie, fondée sur l'improvisation. Scène de Commedia dell'arte Au temps de Rome, ce genre théâtral s'appelait l'atellane.Il y avait plutôt des farces mais aussi des tragédies. Les masques étaient déjà utilisés. Au Moyen Âge, la comédie va se propager dans les rues des villes, sur le parvis des églises ou encore dans les châteaux. Ruzante, de son vrai nom Angelo Beolco, va alors écrire les

Molière , Le Fâcheux, I, 1 1661 Dans cette comédie ballet, Eraste dresse le portrait d’un fâcheux qui sévit dans les salles de spectacles et perturbe la représentation par son impolitesse. ERASTE J’étais sur le théâtre, en humeur d’écouter La pièce qu’à plusieurs j’avais ouï vanter. Les acteurs commençaient, chacun prêtait silence, Lorsqu’un air bruyant et plein d’extravagance, Un homme à grands canons est entré brusquement, En craint «  Holà, ho ! un siège promptement 

commandeur. C’est l’occasion ici pour lui de retrouver confiance en lui, de réaffirmer son talent, de retrouver une certaine supériorité (certes un peu facile comme avec les paysannes dans l’acte II). Le théâtre dans le théâtre Autre contribution : « De plus, le propos n’est-il pas de parler du théâtre, de ses artifices ? C’est une lecture possible. Ici, Don Juan joue et se joue de M. Dimanche. Il est chez lui, maître des lieux, il règne. » L’image complexe de Don Juan dans cette scène On

dans cette scène que Lorenzo n’a pas toujours été l’entremetteur corrompu et lache qu’il est maintenant. Son enfance a été très prometteuse. Sa mère nourrissait beaucoup d’espoir pour son avenir, et elle a maintenant honte de lui : « Il est assez cruel pour une mère de ne pouvoir parler de son fils […] sa naissance ne l’appelait-elle pas au trône ? Selon sa mère, Lorenzo n’était manifestement pas destine a être un soldat : « ce ne sera jamais qu’un guerrier mon Renzo » ; mais plutôt être un érudit

: savoir lire et savoir écrire Biographie : Victor Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon en France. Ecrivain majeur du XIXe siècle et chef de file du romantisme, Victor Hugo est non seulement un auteur ayant marqué la poésie, le roman et le théâtre, mais encore un homme engagé, connu pour sa reconversion politique, son implication sociale et sa lutte sans relâche contre Napoléon III. Sa devise «!Ego Hugo!» traduit son orgueil légendaire. Il écrivait pourtant avec simplicité et puissance les

la parole que son apparition, beaucoup moins l’amour de Phèdre que son aveu. Phèdre est son silence même : dénouer le silence, c’est mourir, mais aussi mourir ne peut être qu’avoir parlé ». La parole: La parole est nécessaire. Effectivement, le théâtre Racinien est très statique (il n’y avait qu’une didascalie pour Phèdre !) La parole est donc le seul moyen d’expression, faisant de cette pièce une tragédie de la parole. La parole permet de rompre le silence. Elle est révélatrice des pensées des

*Contexte: Théatre de l'absurde, qui montre les défauts de la société, comme la difficulté des êtres à communiquer ; Ionesco. *Plan: I. Un texte comique 1. Comique de mots 2. Comique de caractère 3. Comique de situation Professeur = tyran II. Critiques de la société 1. Critique de l'enseignement 2. Difficulté des personnes à communiquer 3. Dérive de l'autorité en tyrannie *Conclusion: - Faire