Thoutmôsis IV

Le XIIIème siècle marque l'hégémonie de la France sur le plan Européen. Cependant, à la fin du siècle, l'enrichissement rapide de l'Angleterre et de la Flandre, les nombreuses crises politiques et religieuses qui la secouent ternissent son image et la font petit à petit passer au second plan. L'Eglise, forte des succès des croisades, tente d'imposer en Occident une théocratie en soumettant les rois à sa volonté. Mais les temps changent. Les templiers n'ont pas pu empêcher la perte de la terre sainte

les premières atteintes, il donna une édition nouvelle de sa traduction latine d'Hécube et d'Iphigénie à Aulis, et revit le texte de Térence et de Plaute. Il alla passer l'hiver de 1508 à Padoue, comme précepteur d'Alexandre, fils naturel de Jacques IV d'Ecosse, et archevêque de Saint-André. Là il se lia d'amitié avec Scipion Cartéromaque et le célèbre helléniste Marcus Musurus. Puis, passant par Sienne, où il laissa son élève pour quelque temps, il se rendit à Rome, où sa réputation l'avait précède

Rome et l’autre à Avignon, que l’on nommait alors l’antipape. Tout nait d’un conflit entre Philippe IV le Bel et Boniface VIII, car Philippe IV le Bel défendait l’indépendance du pouvoir temporel par rapport au pouvoir spirituel, ce qui entraîna un conflit entre le roi de France et le pape Boniface VIII. La doctrine du gallicanisme fut donc formulée pour la première fois par les proches de Philippe IV le Bel. Le Gallicanisme est très présent à cette époque grâce aux décrets des conciles. Après celui

pas de supérieur, et que tu n'es pas soumis au chef suprême de l'Eglise te trompent ». Le pape déclare qu'il détient une autorité supérieure à celle du roi, il peut donc contrôler le roi et tous les rois chrétiens (théo­cratie pontificale). Philippe IV le Bel réunit en 1302 une assemblée des trois ordres du royaume afin de réconforter sa position; veut montrer au pape que ses sujets le soutiennes; l'assemblée convoquée sou­tient évidemment le roi Philippe le Bel. La même année, le pape adopte un autre

Tamango de Mérimée écrit en 1829 l'auteur : Prosper Mérimée naît le 23 septembre 1803 dans une famille d’artistes bourgeois installée à Paris. Prosper effectua de brillantes études au lycée Napoléon (Henri-IV). En 1819, il s’inscrit dans une faculté de droit, marchant ainsi dans les pas de son grand-père. Il obtient sa licence en 1823. De cette année là jusqu’en 1931, date de son entrée dans la fonction publique, Mérimée n’exercera aucun métier hormis celui d’écrivain. Il s’aperçoit rapidement

chroniques hebdomadaires qu'il intitule « Propos du dimanche », puis « Propos du lundi », avant de passer à la forme du Propos quotidien. Plus de 3000 de ces « Propos » paraîtront de février 1906 à septembre 1914. Devenu professeur de khâgne au lycée Henri-IV en 1909, il exerce une influence profonde sur ses élèves (Raymond Aron, Simone Weil, Georges Canguilhem, André Maurois, etc.). À l'approche de la guerre, Alain milite pour le pacifisme. Lorsque celle-ci est déclarée, sans renier ses idées, et bien

1871 (Lachelier était né en 1832, Ravaisson en 1813 et ils furent tous deux professeurs à l’École normale supérieure). Bergson s’installa ensuite de nouveau à Paris, et, après avoir enseigné quelques mois au collège Rollin, il fut nommé au lycée Henri-IV, où il resta huit ans. Il eut en 1891-1892 Alfred Jarry pour élève. En 1892, il épouse Louise Neuburger. Ils eurent une fille, Jeanne. En 1896, il publia son second ouvrage majeur, Matière et mémoire. Ce livre relativement difficile, mais très riche

Jean-Paul Sartre est rapatrié d’urgence à Paris. Soucieuse de son éducation qui pourrait être « pervertie » par les mauvais garçons du lycée du Havre, sa mère décide de l'y faire rester. Années d'études À 16 ans, Sartre réintègre le lycée Henri-IV où il avait été élève en sixième et cinquième. Il y retrouve Paul Nizan, lui aussi apprenti écrivain, avec qui il nouera une forte amitié jusqu’à sa mort en 1940. Épaulé par cette amitié, Sartre commence à se construire une personnalité. Pour l’ensemble

seulement des filles. C'est sont frère Charles qui prendra le titre de Charles IV le Bel et qui réaffirme le principe de collatéralité. Charles meurt en 1328 et ne laisse aucun fils. Crise dynsatique interne qui se transforme en crise politique internatioanale. III) L'exclusion des parents par les femmes A la mort de Charles IV le Bel , il faut trouver un successeur. Il y a Edouard III d'Angleterre petit fils de Philippe IV le Bel et Philippe de Valois un cousin au quatrième degré mais qui est en

OSMTH [pic] France GRAND PRIEURÉ DE FRANCE DES TEMPLIERS DE JERUSALEM OSMTH – G.P.F.T.J. ((((((((( [pic] 2 0 0 8 Un ordre Templier en pleine lumière Non Nobis Domine Non Nobis Sed Nomini Tuo Da Gloriam Si d'aventure, quelques décennies après l'An Mil, vous traversiez l'Europe et la France, vous auriez certainement ressenti quelque surprise devant le chaos où s'était peu à peu enlisé l'Occident. La première croisade, "la Croisade Populaire" prêchée par Pierre l'Ermite avait