Thiers Gambetta

Napoléon III son coup d’état et la constitution de l’Empire. Ils lui refusent tout soutien malgré des efforts de Napoléon III. Les principales représentant de ce courant sous Jules Ferry, Jules Grévy, Léon Gambetta. Ils ont un programme politique connu, il est contenu dans un discours prononcé par Gambetta à Belleville en 1869. Mais ce ne sont pas non plus des Révolutionnaires. Les révolutionnaires : l’opposition révolutionnaire est exclusivement limité a quelques grandes villes : Lyon, Marseille, et surtout

propose la suppression de la loi électorale du 31 mai 1850. Il s'agit d'une loi réactionnaire car elle prive du droit de vote trois millions d'électeurs en posant des cas de déchéance électorale. Au moment de l'élaboration de cette loi par Adolphe Thiers, ce dernier a pour objectif d'écarter la gauche. Lorsque Bonaparte propose la suppression de cette loi et le rétablissement du suffrage universel entier, il apparaît comme plus démocrate que l'assemblée qui refuse de voter son abrogation le 13 novembre

César la liberté de Rome pour du pain et des cirques ; c’est cette multitude qui a applaudi ensuite au supplice de Robespierre ; qui applaudirait au vôtre, au nôtre. Discours de Thiers à la Chambre, lors de la discussion de la loi du 31 mai 1850. Questions :  Qui est désigné par le terme « multitude » dont parle Thiers ?  Quel est l’enjeu de cette loi ? Que remet-elle en cause ? B/ La république confisquée B.1/ Le césarisme démocratique. • Supports : dossier documentaire pp.122-123

écroulement, La politique étrangère du Second Empire L’expansion coloniale Des succès mitigés : Crimée et Italie Des fiascos retentissants : Mexique et Prusse Devoir-type n° 2 L’explication d’un document écrit « Les libertés nécessaires » d’Adolphe Thiers Chapitre 3 > 1870-1879, une décennie d’incertitudes politiques A ................................................................................................................................. 182 1871, l’écrasement de la Commune

Adolphe Thiers, premier président de la IIIe République dira ceci « La République existe, elle est le gouvernement légal du pays, vouloir autre chose serait une nouvelle révolution et la plus redoutable de toutes ». En effet selon le chef de l’état, il n’est pas du tout judicieux de passer à un autre régime politique. Passer à un autre régime politique pourrait aboutir à un conflit. En tant qu’un bon chef de l’état, Adolphe Thiers cherche à défendre la république via son discours. Adolphe Thiers détient

monarchistes mais pas de roi Le Second Empire prend fin avec la capture de Napoléon III par l’armée Prussienne à Sedan, le 2 Septembre 1870. A peine annonce-t-on la nouvelle de sa capture que Paris connaît une nouvelle journée d’insurrection. A Paris, Gambetta, Favre et Ferry, prononcent la Chute de l’Empire et proclament dans le même temps la République. Un gouvernement de Défense Nationale dirigé par Favre et le Général Trochu se met en place tandis que la France se déchire entre la droite monarchiste

proclamée, 2 mouvements : un mouvement dit modéré et l’autre dit plus radicaux, ces deux mouvements vont se concurrencer, celui qui va gagner c’est celui des républicains modérés car ils vont se dépêcher de constituer un gouvernement provisoire (Gambetta) cette opposition est le gêne de la Commune, c’est un gouvernement de faits et non de droits, il lui manque une légitimité juridique, elle est gênante car il faut conclure la paix donc il faut un gouvernement de droit. Il va essayer de convoquer

francs/an) Les employés et les profs (1 000 à 10 000 francs/an). Ils étaient plutôt pro-républicains. 3 personnes sont à connaitre : F. Guizot : ancien prof, il était le favori de Louis-Philipe, il était son 1er ministre. Il était monarchiste libéral A. Thiers : ancien avocat et journaliste. Il était libéral pendant la Monarchie, monarchiste pendant Louis-Philipe et durant Napoléon 1er et devint président de la 3ème république. Ferry : ancien avocat La classe ouvrière : Villermé était un fonctionnaire

donna la primauté à l'Assemblée, et le pouvoir exécutif fut donc secondaire. En effet, l'Assemblée tenait à se garantir de sa primauté dans la République. Ce n'est que par une résolution du 17 février 1871 que l’Assemblé Nationale nomma monsieur Thiers comme « Chef du Pouvoir exécutif de la République française ». Etant donné qu’il ne fut pas mis en place de Chef de gouvernement, l’exécutif se trouva tout d’abord monosépale. Seulement, un décret du 2 septembre 1871 institutionnalisa la fonction

l’Etat soutient et encourage. A partir de 1860, le régime se libéralise (voir doc 4p.123). Cette libéralisation entraîne un réveil de l’opposition : à droite la monarchie et à gauche les républicains. L’opposition de gauche est incarnée par Léon Gambetta. L’empire est plébiscité en 1870. La chute de l’Empire est précipitée par la défaite écrasante de la France face à la Prusse. Napoléon III est fait prisonnier le 1er septembre 1870 à Sedan. Le 4 septembre 1870 la République est donc proclamée