Thermopyles

alors la plus importante, beaucoup des principaux peuples de la Grèce, dont des Thessaliens, des Doriens et des Ioniens en étaient membres . Les assemblées de cette amphictionie se réunissaient deux fois par an alternativement à Delphes et aux Thermopyles. Diverses attributions : c'est elle qui organise les jeux concours des Pythia, renommés à l'égal des jeux Olympiques pour ses épreuves musicales et poétiques. Elle s'occupe de la gestion des biens mobiliers et immobiliers d'Apollon et de l'entretien

permet de prendre un large avantage sur l’adversaire comme le fit Léonidas Roi de Sparte en 481 av JC qui avec seulement 6000 soldats repoussa durant plusieurs jours des milliers de Perses car il les forçait à engager le combat dans le défilé des Thermopyles (Grèce) dans lequel le nombre de combattant n’était pas un avantage puisque la largeur était très restreinte et que les Spartiates étaient entraînés à combattre en rang serrés et organisés au contraire des armées barbares perses. Néanmoins la connaissance

de Crémère où 306 Fabii s’illustrèrent dans une défense vaine, mais héroïque. La précision du nombre des "trois cent six Fabii" est une référence aux 300 spartiates qui ont glorieusement tenus face aux envahisseurs perses durant la bataille des Thermopyles en 480 avant J-C. Cette allusion élève les Fabii au rang de sauveur de la République. En 478, les Véiens forment des alliances avec d'autres cités Étrusques pour écraser le fort des 306 Fabii. Mais cela ne suffit pas et les Fabii avancent de victoire

Macédoine. Les Athéniens s'associent aux Etoliens pour attaquer les garnisons. Démosthène cette fois soutient la coalition. Le régent de Macédoine Antipatros (ou Antipater), qui ne dispose que de troupes assez réduites, se réfugie à Lamia du côté des Thermopyles après avoir été battu en Béotie. En 322 les coalisés sont écrasés aussi bien sur terre que sur mer après l'arrivée des secours Macédoniens. Dès lors un traité rigoureux va peser sur Athènes. On installe une garnison Macédonienne au Pirée. La démocratie

fatale orpheline; Et cette Jeanne d'Arc se change en Messaline. Ah! quand Gracchus se dresse aux rostres foudroyants, Quand Cynégire mord les navires fuyants, Quand avec les Trois−Cents, hommes faits ou pupilles, Léonidas s'en va tomber aux Thermopyles, Quand Botzaris surgit, quand Schwitz confédéré Brise l'Autriche avec son dur bâton ferré, Quand l'altier Winkelried, ouvrant ses bras épiques, Meurt dans l'embrassement formidable des piques, Quand Washington combat, quand Bolivar paraît,

commémoration a souvent besoin de support, d’un monument qui fédère et regroupe les citoyens. Le culte des anciens pour le lapidaire et le monument mémoriel s’explique ainsi par la nécessité de « laisser une trace » permettant le souvenir : des Thermopyles («Passant, va dire à Sparte… »), à l’ossuaire de Douaumont, en passant par la colonne Trajane et le monument aux soldats morts en OPEX inauguré en 2012, l’Etat élève des monuments mémoriels rappelant à chaque instant la dette des citoyens envers

de l’Europe aussi que de retrouver le cheminement d’une même métaphore en Europe à travers les siècles, les cultures et les langues. Ainsi Simonide de Ceos, le poète grec inventeur de « l’Art de la mémoire », écrit-il : « Pour les soldats morts aux Thermopyles…. point de larmes mais des hymnes ; point de gémissements mais des odes : monument que ne pourrait détruire ni la rouille, ni le temps dévorant ». Cette métaphore du poème « monument indestructible » sera reprise par Horace dans ses Odes : « J’ai

l’évacuation d’Athènes vers l’île de Salamine où se réfugie également le gouvernement. Ensuite il y a une tactique militaire pour attaquer les forces ennemies qui est mise au point. Le but est de piéger les Perses. Un premier engagement eu lieu aux Thermopyles où 3000 soldats spartiates combattent jusqu’au dernier pendant que le reste des troupes se place suivant la stratégie adoptée dont le messager relate les faits : « Un Grec vint en effet de l’armée athénienne dire à ton fils Xerxès que, sitôt tombées

un lieu stratégique et était trop éloignée de la cité.   Plus tard, au début de la période classique, Mycènes est reconstruite et habitée de nouveau, sans toute fois jamais retrouver son importance antérieure. Les Mycéniens vont combattre aux Thermopyles et à Platée lors des Guerres Médiques contre les Perses Achéménides. Puis la cité sera supplantée par Argos dont, en 462, les troupes prendront la ville et expulseront les habitants. À partir de cette date, Mycènes cessa d'être habitée.      

hommes Perses + mèdes + Saces (tous de l'actuel Iran) Traversent l'hellespont – arrive en Thrace (aucune résistance conquis par les perses ) + mécadoine (accepter de reconnaître la souveraineté du grand roi) – thessalie (pareil) Ils tombent aux Thermopyles - b) Les Grecs unis Les Grecs ont tiré les leçons de la Première Guerre Médique – s'organisent (Sparte à l'initiative de cela) => elle va réunir à Corinthe en 481 les Grecs qui souhaitent résister aux Perses afin de décider d'une stratégie commune