Therese Desqueyroux Conclusion

littéralement » insistant sur la réalité de cet aveuglement. Elle semble de fait avoir une dimension surnaturelle, car la « clarté blême » du réverbère n'a aucun effet sur son visage qui ne peut pas « pâlir ». C'est une femme décidément inquiétante. Conclusion Le héros se laisse donc symboliquement entraîner sur un chemin de perdition par cette femme flamboyante, à la séduction aussi irrésistible qu'inquiétante. Il ira jusqu'au bout de sa quête qui l'amènera à percer le mystère de ce personnage : sous

de ce carnage. Ce que ces œuvres ont voulu monter, c’est qu’il ne faut pas obéir aveuglément aux ordres. 2°) Une œuvre littéraire doit nous faire voir la condition humaine afin de nous alerter sur certaines inégalités Ex : - Thérèse Desqueyroux, François Mauriac, 1927 : si cette femme est criminelle, elle est avant tout l’image, le symbole de la femme moderne qui refuse de suivre les règles édictées par la famille, la société ainsi que son mari. C’est une femme éprise de liberté qui

lorsque le personnage parvient à la conclusion que « c’était un avantage » (l. 25). Meursault demeure un personnage positif et pragmatique dans la mesure où il prend du bon côté tout ce qui lui arrive. Cependant, on peut douter de sa capacité à prendre conscience de la réalité. Ainsi, le fait de se raccrocher à sa mémoire ou à l’exploration mentale de sa chambre lui permet d’oublier, ou tout au moins d’occulter, la raison qui le fait demeurer en prison. Conclusion Meursault est un personnage sans

Les années folles de la France - S’amuser pour oublier la guerre - Le théatre d’avant-garde - Le role du sport dans la vie des gens - Une femme émancipée - Les années folles de la chanson française - Le roman français entre deux guerres 3. Conclusion Introduction Les Années folles..On en connait peu de choses, elles sont quasiment inconnues au public russe ni meme à sa partie francophone. Et cependant, la prise de connaissance des Années folles de la France est très captivante et donne

extérieures et les actions. Le récit peut même se confondre avec les mouvements de la pensée d'un personnage : c'est le cas de ce que l'on nomme le monologue intérieur. * roman d'analyse : Stendhal : Le rouge et le noir François Mauriac: Thérèse Desqueyroux Georges Bernanos : Sous le soleil de Satan * monologue intérieur: James Joyce : Ulysse Les formes du roman Les formes prises par le roman sont également très nombreuses. On distinguera * le roman dans lequel l'histoire apparait sans narrateur

Roosevelt, décide d'utiliser la bombe atomique, récemment découverte (le premier essai a eu lieu en juillet 1945) sur Hiroshima le 6 août 1945, puis sur Nagasaki le 9 août, ce qui amène la capitulation sans conditions du Japon le 2 septembre 1945. Conclusion : la seconde guerre mondiale se termine là où elle avait commencé, en Extrême Orient après huit années de guerre (six en Europe) et soixante millions de morts. Les grands vainqueurs en sont les Etats-Unis et l'URSS. Le XXe siècle « littéraire »

même pas ─ qui change de physique (nez rond/ nez long) et ce monde qui semble s’annuler à mesure qu’on le parcourt, avant de s’anéantir dans l’image du fleuve qui file vers la mer… « et qu’on n’en parle plus ». Revenons à Mauriac, l’auteur de Thérèse Desqueyroux a proposé dans Le romancier et ses personnages, un renversement intéressant du personnage classique : « On ne pense pas assez que le roman qui serre la réalité du plus près possible est déjà tout de même menteur par cela seulement que les héros

essentiel du drame. Marc qui commence dans la pureté finit par suivre les impulsions du sang, étant guidé lui aussi par le déterminisme de l’influence maternelle et de l’hérédité sexuelle. Mais il possédait déjà quelque chose de la lucidité de la Thérèse de ‘’La sauvage’’, une sorte de prise de conscience. La pièce est une tragédie de l’absence de communication, tous les personnages se taisant au moment où un mot pourrait les sauver. Cette pièce ne fut jamais représentée et ne figura pas dans le premier

essentiel du drame. Marc qui commence dans la pureté finit par suivre les impulsions du sang, étant guidé lui aussi par le déterminisme de l’influence maternelle et de l’hérédité sexuelle. Mais il possédait déjà quelque chose de la lucidité de la Thérèse de ‘’La sauvage’’, une sorte de prise de conscience. La pièce est une tragédie de l’absence de communication, tous les personnages se taisant au moment où un mot pourrait les sauver. Cette pièce ne fut jamais représentée et ne figura pas dans le

découvre: « les ténèbres éternelles » sont celles du néant, de l’absence totale de transcendance. Ce rire lui confère aussi une dimension infernale, en opposition absolue avec la religiosité de Bournisien (Souvent le rire est attribué au diable). Conclusion: En faisant mourir Emma après ce rire, Flaubert ruine l’image pieuse du repentir: assurément, elle n’a rien à voir avec les héroïnes dont la mort rachète les fautes (Manon Lescaut), ni avec les vierges martyrs comme Virginie ou Atala. Ainsi, même