Théramène

protestations d’innocence de son fils, a appelé contre lui la malédiction de Neptune. L’acte IV se termine sur la jalousie de Phèdre, qui renonce ainsi à disculper Hippolyte. Mais l’acte V fait naître chez Thésée des doutes, trop tardifs : le récit de Théramène lui apprend la mort terrible d’Hippolyte. Dans cette scène 7 nous arrivons au dénouement. Quel sens donner à l’ultime aveu de Phèdre ?       UN PLAIDOYER     L’aveu intervient de façon brutale, dans les trois premiers vers de la tirade, introduit

riche et le pauvre : 82 « Guiton » et « Phédon ». Livre VII : « De la ville » :Les lieux, les différentes sociétés : de 1 à 5. Les dépenses ostentatoires, les magistrats : 10. La routine de Narcisse, un Moderne : 12.L’oisiveté des citadins : 13.Théramène, un galant séduisant car riche et fortuné : 14. Paris, le singe de la Cour « Paris pour l’ordinaire le singe de la Cour, ne sait pas toujours la contrefaire » : 15Les femmes de la ville et le primat de l’apparence (carrosse, armoirie) : 15, 16, 17

l’attaque tout seul. Il est aussi très fier et replié sur soi même, fermé au autres puisqu’il refuse de s’interrésé a l’amour même si il finit par aimer Aricie. Les personnages secondaires sont : Oenone (même si elle joue un rôle essentiel), Aricie, Théramène, Ismène, Panope et les gardes. OPINION PERSONNEL J’ai bien aimé le livre même si il était assez compliqué à lire. Le faire sous forme de poésie est original c’est la première fois que je lis un livre comme ça . J’aimme aussi le côté mythologique

v=tVojvGK7wHM -L’action se situe à Trézène, dans la région du Péloponnèse. Actuellement, cette ville se situe en Grèce . -L’action ne dépasse pas les vingt-quatre heures. -Au début de la pièce, Hippolyte, fils de Thésée, annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle

protestations d'innocence de son fils, a appelé contre lui la malédiction de Neptune. L'acte IV se termine sur la jalousie de Phèdre, qui renonce ainsi à disculper Hippolyte. Mais l'acte V fait naître chez Thésée des doutes, trop tardifs : le récit de Théramène lui apprend la mort terrible d'Hippolyte. Dans cette scène 7 nous arrivons au dénouement. Quel sens donner à l'ultime aveu de Phèdre ? UN PLAIDOYER L'aveu intervient de façon brutale, dans les trois premiers vers de la tirade,

lui emprunta les plaintes de Phèdre mourante, les pressantes suppliques de la nourrice et l'aveu à celle-ci (I, 3), puis l’affrontement entre le fils et le père, qu'il raccourcit cependant de près de la moitié (lV, 2), et, en partie, le récit de Théramène (V, 6). Certains vers de sa ‘’Phèdre’’ ne sont même que des transcriptions des vers d'Euripide. Cependant, il modifia certains détails dans la conduite de I'action ; ainsi, chez le Grec, Hippolyte se taisait parce qu'Oenone le lui avait fait jurer

s'ouvre sur une situation initiale qui permet de présenter les personnages et les actions dans lesquelles ils sont engagés : c'est l'exposition, qui occupe tout ou une partie du premier acte. Ici, le long dialogue entre Hippolyte et son confident Théramène qui ouvre Phèdre ne se limite pas à une présentation des personnages et des enjeux de l'intrigue : il apporte une révélation, l'amour d'Hippolyte pour Aricie, qui se double d'une résolution, le projet de son départ. C'est dans la scène III que l'exposition

comme un théâtre où tout est caché • Narcisse le snob : “Il fera demain ce qu’il fait aujourd’hui et ce qu’il a fait hier ; et il meurt ainsi après avoir vécu.” - il est ponctuel, il lit des recueils de poésie, et il se promène à la Plaine. • Théramène l’héritier à épouser : “Il était riche. [...] Un jeune homme fleuri, vif, enjoué, spirituel.” D / “De la cour” - Satire de la cour de Louis XIV, société superficielle et impitoyable où les destinées sont soumises aux hasards et où le destin d’un

d’une passion (ACTE II, scène 5 : l’aveu de Phèdre à Hippolyte (vers 631 à 711)   ( Phèdre, une reine incandescente ( ACTE IV, scène 6 : la jalousie de Phèdre (vers 1225 à 1294) ( ACTE V, scène 6 : Le récit de la mort d’Hippolyte par Théramène ( Etre lu et être joué : la double spécificité du texte théâtral ( ACTE V, scène 7 : l’agonie de Phèdre (vers 1622 à 1654) ( CONCLUSION : Phèdre est-elle coupable ? SEQUENCE IV : l’éloge et le blâme Perspective dominante :

personnages ne sont en quelque sorte que des comparses. Cela paraît aller de soi pour les confidents qui, traditionnellement, dans la tragédie, sont là pour proposer des solutions dialectiques, opposer leur empirisme au dogmatisme des héros. Théramène, un homme de quarante-cinq ans encore vigoureux, est le «gouverneur» (précepteur) d’Hippolyte, à la fois son précepteur, son maître d’armes, et son compagnon de chasse. Il montre rigueur et grandeur d’âme. Il a affronté les fatigues et les dangers