Théodose l'Ancien

tous les quatre ans dans la cité grecque, avant d'être déplacés à Rome en -80 av. J.-C. sous l'empire romain. Ils furent ensuite interdit par l'empereur Théodose en 393 après J.-C. La ville d'Olympie et le temple de Zeus seront détruits sur ordre de Théodose II en 426. Les tremblements de terre en 512 et 561 finiront de transformer l'ancien sanctuaire en ruine dont il ne reste aujourd’hui plus que quelques vestiges du monde antique.. Aujourd'hui, La cité grecque concentre une forte attractivité

L’Hippodrome Construit en 330, il peut contenir de 30 000 à 50 000 spectateurs. On y organisait de grandes courses de chars, des jeux de cirque et de théâtre, des exhibitions d'animaux. L'hippodrome communique avec le Grand Palais. Mur de Théodose Le mur de Théodose, construit au Ve siècle, entoure la ville ancienne : il mesure 21 km de long, pour une hauteur de 12 à 15 mètres. Il couvre une surface de 750 hectares. Et protégeait la ville des nombreuses tentatives d’invasions Basilique Sainte-Sophie

de de Théodose Ier (379-395), >, c’est-à-dire qu’il n’est pas tenu par les lois ordinaires et a pour tâche de les améliorer. Face à la prolifération des textes, des compilations deviennent nécessaires. 3) la codification des lois : du Code théodosien au Code Justinien. La tentative de codificiation la plus importante est l’oeuvre de l’empereur d’Orient Théodose II (408-450). Le Code théodosien rassemble toutes les constitutions impériales depuis Constantin est publié en 438 par Théodose II pour

consolider aussi son pouvoir donc il doit y être plus présent d'ou la fondation de Constantinople. La symbolique de la fondation : La nouvelle Rome on remarque des reconstructions : Balsamon XIIe siècle décrit une nouvelle Rome qui remplace l'ancienne. Ce texte de Balsamon est l'origine de la lutte entre le Pape et l'empereur. Autre texte « la donation de Constantin » qui affirme la légitimité du pape de gouverner Rome de manière temporaire. Pb=> Ce texte est un Faux. Socrate : historien byzantin

III- l’appoRt chRétien à la civilisation gRecquo- romaine A- petit Rappel de l’histoiRe judéo-chrétienne Au 18e siècle avant JC, Dieu s’adresse à Abraham, et noue une alliance avec lui et les Hébreux, c’est le début de l’Ancienne Alliance, racontée dans l’Ancien Testament. Au 13e siècle avant JC, les Hébreux sont prisonniers en Egypte. Dieu dit a Moïse qu’il est le dieu unique (début du monothéisme). Il délivre les Hébreux, puis dans le désert du Sinaï, Dieu donne par l’intermédiaire

Odoacre. Après 476, seule la partie orientale de l'empire Romain, continue d'avoir à sa tête un empereur à sa tête. 395 : l'empereur Théodose I° (empereur romain depuis 379) meurt, à sa mort son empire est partagé entre ses deux fils, et c'est à partir de ce moment là que l'empire romain est partagé (au moins administrativement) en deux blocs. L’empereur Théodose I° fut le dernier a régner sur l’empire romain unifié. L'avènement de Justinien à Constantinople. Justinien a pour projet de reconquérir

par la culture et l'art de vivre athéniens, les Romains en copièrent les œuvres d'art et les mœurs et ne cessèrent d'embellir la ville : la Tour des Vents, le temple de Rome et d'Auguste sur l'Acropole, l'agora romaine, le théâtre de l'Odéon dans l'ancienne agora sont parmi les monuments édifiés à cette époque. Aux alentours de l'an 1, la ville comptait ainsi environ 300 000 habitants. À partir de 53, les prêches de saint Paul devant l'Aréopage ne donnèrent qu'un faible écho au christianisme à Athènes

la religion va le faire. Le droit a de quelque chose de social, le droit s’exprime dans des normes, dans des règles. Aujourd’hui ces normes sont adoptées par une autorité légitime, ces normes sont obligatoires et accompagnées d’une sanction. Dans l’ancien droit, ce qui prédomine, ce sont les coutumes qui part définition sont des règles non écrites fondées sur la croyance d’un groupe dans son caractère obligatoire. A partir de 1789, la loi va s’imposer comme la source du droit. Art6. De la DDHC « 

même pouvoir impérial qui avait en vain essayé de l’anéantir, elle va devenir en quelque sorte responsable d’une société énervée par trois siècles de servitude et gangrenée par tous les raffinemens de la corruption. Il ne lui suffit pas de dominer l’ancien monde, il faut encore qu’elle le transforme et qu’elle le remplace. C’était une tâche formidable, mais qui ne devait pas être au-dessus de ses forces. Dieu choisit ce moment pour envoyer à son église une nuée de saints, de pontifes, de docteurs

réunissant tous les évêques et autorités ecclésiastiques du christianisme (oikumènè, « totalité de la terre habitée »). Les premiers conciles œcuméniques sont convoqués par des autorités séculières, notamment les empereurs romains (Constantin, Théodose 1er, Théodose II et Marcien). On a donc l’irruption du pouvoir impérial, temporel dans le pouvoir spirituel, dans les affaires des chrétiens. Le sujet nous invite à nous interroger sur la période s’étendant du IVe siècle jusqu’au milieu du Ve siècle