Théodore Botrel

Anne-Louis Girodet , Les Funérailles d’Atala 1808 Le romantisme « Qui dit romantisme dit art-moderne c'est-à-dire intimité, Spiritualité, valeur, exprimé par tout les moyens propres à l’art » Baudelaire William Turner, Lumière et couleur, le matin   après le déluge 1843 Définition : Le romantisme débute dans les années 1800 et se finira vers 1848. C’est une tendance que l’on trouve en littérature,  Le romantisme peut être présent dans les romans du XIXe siècle comme chez Hugo, Chateaubriand

naît dès les années 1790 avec les illustrations visionnaires de William Blake, les scènes fantastiques et cauchemardesques de Johann Heinrich Füssli et les gravures de monstres et de démons de Francisco Goya. En France, il est représenté surtout par Théodore Géricault (le Radeau de la Méduse, 1819) et Eugène Delacroix (la Mort de Sardanapale, 1827). Les principaux romantiques sont en Allemagne Caspar David Friedrich et en Grande-Bretagne John Constable et Joseph Mallord William Turner. LE ROMANTISME

feuilles Pour te garantir du soleil. Puis, lorsque sa besogne est faite, Et que son règne va finir, Au seuil d’avril tournant la tête, Il dit : « Printemps, tu peux venir ! » Ce troisième poème, intitulé « Le printemps », a était écrit par Théodore de Banville, un poète dramaturge et critique français . Dans son poème, le poète fait une description du printemps, saison fleurissante et joviale. Te voilà, rire du Printemps ! Les thyrses des lilas fleurissent. Les amantes qui te chérissent

parus dans La Revue pour tous en janvier 1870. L’orientation poétique est alors celle du Parnasse avec la revue collective, Le Parnasse contemporain. Le 24 mai 1870, Arthur, alors âgé de quinze ans et demi, écrit au chef de file du Parnasse, Théodore de Banville, pour transmettre ses volontés : « devenir Parnassien ou rien » et se faire publier. Pour cela, il joint trois poèmes : Ophélie, Sensation et Credo in unam. Banville lui répond, mais les poèmes en question ne paraîtront pas dans la revue

orphelins, parus dans La Revue pour tous en janvier 1870. L’orientation poétique est alors celle du Parnasse avec la revue collective, Le Parnasse contemporain. Le 24 mai 1870, Arthur, alors âgé de quinze ans et demi, écrit au chef de file du Parnasse, Théodore de Banville, pour transmettre ses volontés : « devenir Parnassien ou rien » et se faire publier. Pour cela, il joint trois poèmes : Ophélie, Sensation et Credo in unam. Banville lui répond, mais les poèmes en question ne paraîtront pas dans la revue

poème de sa composition, intitulé La Mort. A 21 ans, Verlaine est chargé de la critique littéraire dans la revue "L'Art", il écrit des articles élogieux sur Charles Baudelaire et Victor Hugo. Il rencontre les parnassiens, François Coppée, Théodore de Banville, José-Maria de Heredia et Leconte de Lisle. Son père meurt la même année. Il fréquente les cafés et salons littéraires parisiens puis, en 1866, collabore au premier Parnasse contemporain et publie les Poèmes saturniens. On y sent

l’ayant influencé : Baudelaire, Nerval. Mais il y a aussi des personnages ayant vraiment communiqué avec Rimbaud, ayant été réellement proche de lui comme Germain Nouveau, Verlaine ami et amant, Izambard qui fut un de ses professeurs révélateur, et Théodore de Banville, qui correspondait avec Rimbaud. Il y a aussi Carjat, le photographe de Rimbaud (voir question 9) et Mallarmé, un célèbre poète du symbolisme. II] La démarche de Michon : 4) La « Vulgate » est la traduction de la bible en latin

des Muses : le Parnasse o Garde du romantisme l’horreur du quotidien, l’absolu o Rejette les lamentations o Certains poèmes en prose o Baudelaire : « sonnets libertins » + Leconte de Lisle (le principal) + José Maria de Heredia + Théodore de Banville (« Petit traité de versification française » très rigoureux) 3) Le symbolisme o Mis en place par Jean Moréas. Veut s’opposer au réalisme dit « scientifique » o But : exprimer une vérité idéale qui se cache sous le monde concret

travail par une conclusion reprenant les divers points évoqués ainsi que notre opinion sur le thème des enfants surdoués. 1. Histoire de la surdouance La notion de surdouance ne peut exister sans celle de l’intelligence. En 1905, Alfred Binet et Théodore Simon ont été les premiers à créer une échelle de mesure de l’intelligence. « L’échelle métrique de l’intelligence » est née à la suite d’une commande du ministère de l’instruction publique qui souhaitait mettre en place des dispositifs objectifs

que « l'art vit de contraintes et meurt de liberté », comme le dira au siècle suivant Paul Valéry, défendront les règles traditionnelles (vers syllabique, rimes, poèmes à forme fixes comme le sonnet) avec Théophile Gautier ou les Parnassiens comme Théodore de Banville, Leconte de Lisle ou José-Maria de Heredia. Cette conception esthétique ira même avec Mallarmé jusqu’à un certain hermétisme en cherchant à « donner un sens plus pur aux mots de la tribu » et à relever des défis formels (comme le sonnet