Théâtre des Champs-Élysées

de M. Legrandin, ingénieur à Paris qui n’était là que pendant les vacances, et de sa sœur, Eulalie. Il se souvint des déjeuners du dimanche, d’un coin du jardin, de l'arrière-cuisine, du cabinet de l'oncle Adolphe. Le narrateur avait « l'amour du théâtre », mais se contentait de rêver sur les titres qui apparaissaient sur des affiches. À Paris, chez l'oncle Adolphe, il fit la rencontre d’une «dame en rose » et découvrit que cet oncle était brouillé avec sa famille. Il évoque « la fille de cuisine »

Tu verras là tout le monde officiel. " Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience : " Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là ? " Il n'y avait pas songé ; il balbutia : " Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi... " Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche ; il bégaya : " Qu'as-tu ? qu'as-tu ? " Mais, par un effort

employés. Tu verras là tout le monde officiel.» Elle le regardait d’un œil irrité, et elle déclara avec impatience : « Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là ? » Il n’y avait pas songé ; il balbutia : « Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi... » Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche ; il bégaya : « Qu’as-tu ? qu’as-tu ? » 2 Mais, par un

a été fondée. Plusieurs figures de proue ont marqué l’expansion de ce style notamment : Joséphine Baker, véritable pionnière, qui a révolutionné le siècle en participant en 1925 à Paris à une représentation dans la « Revue Nègre » au théâtre des Champs-Élysées, vêtue d’une ceinture de banane. Cela a beaucoup fait jaser et a procuré une visibilité, alors quasi-inexistante, à la danse africaine. Elle devint, suite à cela, l’« icône noire » du public et a donné le courage et l’audace nécessaire à

verras là tout le monde officiel. Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience:  - Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là? Il n'y avait pas songé; il balbutia: - Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi... Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche; il bégaya: - Qu'as-tu? qu'as-tu? Mais, par un effort

le remarquer le président de la République lui-même. Un moment certes, mais unique, qui a permis de révéler paradoxalement tout ce dont cette société manque et qu'elle possède pourtant en elle comme aspirations et capacités de partage. Sur les Champs-Élysées à Paris, sur la plage de Marseille, dans les lieux publics partout en France, un peu plus de mixité sociale, un supplément d'âme nationale et de fraternité se sont cristallisés. De quoi suffire pour remercier les Bleus. Anne RAPIN, « La France

tout le monde officiel. Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience: - Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là? Il n'y avait pas songé; il balbutia: - Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi... Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche; il bégaya: - Qu'as-tu? qu'as-tu? Mais, par

pouvoir qui se fonde sur le rassemblement des Français par delà les partis politiques et les clivages de classe) Critique de Mitterrand -> monarchie, pouvoir personnel trop fort et pas assez de délégation vers les autres pouvoirs. VGE : remontre les Champs Elysées à pieds le jour de son installation officielle. Invite les éboueurs à venir petit déjeuner avec lui Noël 1974. Marque une pause dans la manière gaulliste de gouverner. Ne change pas le statut du président bien qu'il en ait dénoncé "l'exercice

des hululements, des sifflets soutenus qui dominaient la musique, et puis des gifles, voire des coups... » Témoignage du peintre Valentine Cross-Hugo Analyse de l’époque On le sait, la première du Sacre, le 29 mai 1913 au Théâtre des Champs Élysées à Paris, donna lieu à l'un des plus retentissants scandales de l'histoire de la musique. Dès les premières notes aiguës du basson, des moqueries et des sifflets fusèrent de la salle. La rixe entre partisans et opposants de l'œuvre était

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