Tfe Morphine

un bolus d’ACTILYSE® (altéphase) qui est un thrombolytique puis ont mis en place une SAP (seringue auto pulsée) de Risordan® (isosorbide dinitrate) qui est un vasodilatateur. Enfin, ils ont réalisé une injection de Morphine® (morphine chlorhydrate) de 5mg en sous-cutané ; la morphine est un antalgique de palier 3. Mr CORO est entré le 3 novembre 2010 à 10h pour infarctus du myocarde dans le service de cardiologie en soins intensifs. Il y a été observé pendant 24h avec un monitoring cardiaque en

Analyse de pratique La situation se déroule dans un hôpital privé de la région, plus précisément en chirurgie. Mon analyse de pratique porte sur le problème d'évaluation de la douleur. Je me rendais dans la chambre d'une nouvelle patiente pour remplir son dossier d'admission. Cette même patiente devait se faire opérer trois jours plus tard pour une cholécystectomie. Une fois dans la chambre je demande a la patiente comment elle va. Elle me dit alors qu »elle à un peu mal au ventre. Je lui

analgésiques non morphiniques pour les douleurs faibles ou modérées. – niveau 2 = analgésiques morphiniques faibles pour les douleurs modérées à sévères. – niveau 3 = analgésiques morphiniques forts pour les douleurs très sévères voire rebelles Niveau 3 Morphine, fentanyl, nalbuphine, Niveau 2 Codéine, dextropropoxyphène, Tramadol Niveau 1 Paracétamol, Aspirine, AINS Antalgiques périphériques OMS : niveau I Mécanisme d’action Diminution de la sensibilité à la douleur par une inhibition de la sécrétion

urinaire et une baisse de la pression dans les voies excrétrices, d’où une diminution de la douleur. La restriction hydrique suit le même but et doit être poursuivie tant que la douleur n’a pas cédé. Des antalgiques (allant jusqu’à l’utilisation de Morphine) peuvent aussi être donnés ainsi que des antispasmodiques. Il faut surveiller la diurèse et la température. Les urines sont tamisées pour récupérer le calcul en cas d’émission. Le bilan initial comporte un ECBU, une bandelette pour le pH, une

Présentation de la personne : Madame S.est née le 14 septembre 1973. elle a été admise à la Clinique le 29 septembre 2013 pour l'opération d'une hernie discale lombaire le 30 septembre 2013. Elle mesure 157 cm, pèse 64kg, et un IMC de 25kg/cm². Elle ne porte aucun appareillage. Depuis son opération Madame S. doit porter des bandes biflex et ça pendant au moins un mois. Madame S. est très coopérative lors des soins et aime discuter avec les soignants. Elle a une addiction à l'alcool et un

drogues (drogues légales et drogues illégales) I. Drogue légales La Nicotine L’ Alcool L’ Absynthe L’ Oxyde nitreux Le Caféine Médicaments II. Drogue illégales Le Cannabis Le Haschich La Cocaïne Le Crack L’ Héroïne L’ Opium La Morphine L’ Ecstasy Crystel Meth 3. Effets, risques et dangers de certaines drogues La Cocaïne Termes du milieu : Coke, Neige, Coca, Corrine, Chartie, Snowflake Description : Poudre cristalline luisante , ressemblant à de la neige

Columbus et de Bay City. Ses débuts dans la capitale de la Géorgie sont flamboyants au point qu'il crée la J.-S. Pemberton & Company en 1879. Vétéran de cette guerre au cours de laquelle il est blessé, John Pemberton a contracté une addiction à la morphine pour soulager la douleur due à ses blessures. Il est alors à la recherche d'une boisson qui pourrait lui permettre de se désintoxiquer progressivement2. La première recette ancêtre du Coca-Cola, le French Wine Coca, est inventée par John Pemberton

Oxycodone (oxynorm) 10 mg 4xjr Nefopam (acupan) 20mg/2ml 3xjr (uniquement si dlrs non soulagées par paracétamol et morphine) MEOPA pendant la réfection des pansements Aministration du ttt suivant les douleurs Evaluation de la douleur Vérification de l’efficacité du ttt Surveillance des EI des ttt : - paracétamol : atteinte hépatique (hépatotoxicité) en cas de surdosage - morphine : dépression respiratoire, somnolence - nefopam : somnolence, sueurs, nausées. - MEOPA : nausées, vomissement,

toute l’équipe est un peu agacée par cette dame, qu’il ne fallait pas être trop dans l’empathie pour cette dame qui allait sinon devenir de plus en plus exigeante envers l'équipe soignante, que son traitement est adapté (parce que ne supporte pas la morphine et que le dernier oxynorm a été pris à 15 h 00, c'est à dire il y a de 2 h 00). Que sa fille la conforte dans ses plaintes ce qui amplifient ses angoisses et donc ses souffrances. Cette situation m'a interpellé, d'une part, parce que dès mon entrée

Pharmacologie =DAFALGAN CODEINE, CLARADOL CODEINE, CODOLIPRANE, KLIPAL, LINDILANE, TOPALGIC, CONTRAMAL, MONOCRIXO, ZALDIAL, IXPRIM… Palier 3 : Douleurs intenses dont le traitement sera les opioïdes forts, on retrouve les morphiniques majeurs ( morphine, fentanyl, oxycodone, l’hydromorphone…). Pharmacologie = MOSCOTIN, SKENAN LP, ACTISKENAN, DUROGESIC, SOPHIDONE, OXICONTIN, OXINORM… Il existe aussi une classification selon leur mode d’action. On distingue alors 2 grandes classes pharmacologique :