Tfe Morphine

ECHELLE DOLOPLUS EVALUATION COMPORTEMENTALE DE LA DOULEUR CHEZ LA PERSONNE AGEE NOM : Prénom : DATES Service : Observation comportementale RETENTISSEMENT SOMATIQUE 1• Plaintes somatiques 2• Positions antalgiques au repos 3• Protection de zones douloureuses 4• Mimique 5• Sommeil • pas de plainte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 0 0 0 • plaintes uniquement à la sollicitation . . . . . . . . . .

naturel/synthétique). Meilleure définition drogue : substance qui produit une action directe sur fonctionnement SNC. 1. Dépresseurs (les + toxiques, + de décès) Substances : alcool, benzodiazépines, barbituriques, solvants (essence, colle), opiacés (codéïne, morphine, héroïne, méthadone). Effets dépresseurs (en stades): 1 et 2 sont les effets les + recherchés 1. Anxiolytique : calmant 2. Désinhibition : dégêne, parle plus 3. Sédation : somnolence 4. Hypnotique : endormissement 5. Anesthésie générale : ne ressent

MUCOMYST®). Dose maxi (4 prises espacées de 6h) : adulte (4g/jour) et enfant (60mg/kg/jour). Formes orales et rectales (DOLIPRANE®, EFFERALGAN®, DAFALGAN®) et injectables (PERFALGAN®). CODEINE : analgésique morphinique centrale d’activité 5 à 10 fois < morphine ; +paracétamol = action synergique. Effets indésirables : constipation, nausées, somnolence, + rarement réactions allergiques, vertiges, dépression respiratoire ; risque de dépendance (éviter utilisation prolongée à forte dose), de somnolence (prudence

et qui aide le dentiste à opérer sans que le patient ne se plaigne ou ne bouge de trop. Pendant tde longues années les pratiques d'anesthésies ont évolué. Les premières intraveineuses sont testés expérimentalement en 1902 avec l’apparition de la morphine et du thiopental (produits à action rapide), qui s’injecte directement dans les veines. L’anesthésie est approfondie car elle devient un procédé qui devient obligatoire, donc des chirurgiens vont commencer à se pencher sur la fonction neurologique

l’association neurotransmetteur récepteur assure la transmission des messages 2Modulation du message nerveux : enképhalines et récepteurs opioïdes  La transmission des messages nerveux peut être modulée par des peptides tels que les enképhalines ou morphines endogées, qui agissent à différents niveaux du système nerveux central.  Dans la corne dorsale de la moelle épinière, les enképhalines interviennent au niveau des neurones nociceptifs. Les enképhalines sont libérées par des inters neurones spécialisés

psychotiques comme la paranoïa, des hallucinations et des idées délirantes; un comportement excentrique, bizarre et parfois violent. [pic] Cocaïne Héroïne: C’est un dérivant de l’opium semi synthétique produit à partir de la morphine. Elle coûte très cher ce qui pousse les héroïnomanes à se procurer de l’argent par tous les moyens en particulier illicites qui conduisent nombres d’entre eux en prison. En France le coût journalier de l’héroïne pour un accro est compris entre 1000

âgé de 49 ans , est entré en soins palliatifs pour phase terminale de cancer pulmonaire . Monsieur B était constamment dyspnéique, encombré, sous O2 6 litres , avec de fréquentes désaturations . Il était aspiré 1 fois par jour et bénéficiait de morphine . Il connaissait bien le pronostic de son cancer Après 2 semaines d’hospitalisation , Mr B demanda au médecin de mettre fin à ses jours , il disait qu’il en avait «marre de souffrir » , de se sentir tout le temps fatigué , de voir ses enfants

impropre de l’anglais balanced analgésia), par analogie avec l’anesthésie balancée, a été introduit au début des années 90 par le chirurgien danois Henrik Kehlet, au moment où l’analgésie post-opératoire était assurée pratiquement exclusivement par la morphine (PCA IV), avec des résultats insuffisants sur les DPO à la mobilisation et des effets secondaires importants en rapport avec l’excès d’utilisation. Le principe est que plusieurs analgésiques et/ou techniques agissant à différents endroits dans la

avait dans les 10 minutes qui suivaient subit de violentes nausées avec vomissement malgré le Zophren® et me conseille donc de ne pas lui en administrer à nouveau. Le médecin lui avait prescrit du Perfalgan et du Topalgic en systématique et de la morphine en si besoin. Son hémodynamique était stable, ses suites opératoires non compliquées, ses drains de Redon donnaient de moins en moins. Il s’agissait de la première patiente adulte que je prenait en charge lors de ce stage et lors de mon premier tour

l’automédication avec les AINS Eviter le sur poids Limiter la stase veineuse en portant les collants. Ordonnance N° 3 : 7pts 1- Recevabilité de l’ordonnance : 0.5pts Manque la date de l’ordonnance La durée de traitement La prescription de la morphine doit se faire sur une ordonnance à souche (à ne pas délivrer) 2- Analyse des médicaments : 2pts DCI CLASSE PHARMACOLOGIQUE Analgésique central ; opiacée INDICATIONS THERAPEUTIQUES Traitement de la douleur intense Paracétamol Antalgiques