Tête de Moine

Texte : Le Coche et la Mouche - Jean de la Fontaine - Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé, Et de tous les côtés au Soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un Coche. Femmes, Moine, vieillards, tout était descendu. L'attelage suait, soufflait, était rendu. Une Mouche survient, et des chevaux s'approche ; Prétend les animer par son bourdonnement ; Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment Qu'elle fait aller la machine, S'assied sur le timon, sur le nez du

puissance du démon, si ce n’es pas lui qui me séduit dans les discours artificieux du lutin ». On voit bien que la belle Jeannie lutte contre ses sentiments qu’elle éprouve pour Trilby et la réalité qu’elle était mariée, et pour qu’elle se mette dans la tête ce fait, elle se doute de paroles charmantes de Trilby, et elle s’en sort avec une grande détermination, se disant en elle-même : « Dougal est mon ami, mon mari l’époux que je choisirais encore, il a ma foi et rien ne triomphera de ma résolution et

deuxième acte, Torquemada, étant un simple moine dans un monastère, n’apparaît que comme un « spectre »[footnoteRef:2]. Il est désigné par des syntagmes tels que « figure hagarde », « un fou », « pâle », « vieux »[footnoteRef:3], « aux allures étranges »[footnoteRef:4]. Bien que ce personnage ait déclaré son nom à la scène VII de l’acte premier, lorsque l’évêque lui demande son nom, le dramaturge a, en effet, préféré le garder indéfini sous le terme de « moine » dans la dénomination des noms dans le

Gargantua, scène de combats Chapitres 27, 36 et 44 Ces trois chapitres mettent en avant des scènes de combat violentes qui opposent Gargantua à des brigands et le moine à l’armée de Picrochole. Les scènes de combat sont liées à un vocabulaire du corps très précis et suivies d’exagérations, d’hyperboles...qui amplifient le côté démesuré de l’œuvre. Chapitre27 :-l.12 : tumulte, armée -l.14 : lances, démolirent → Champ laxical de la guerre -l.15 : murailles, détruire -l.22-23-24 : jeune (…)

grosses sommes afin que ceux-ci se retirent et cessent de piller les riches abbayes. Mais rien n'y fait, les Normands touchent la rançon et reviennent plus tard. En raison de son incapacité à soumettre l'envahisseur, les grands du royaume, ayant à leur tête Robert le Fort, se rebellent contre Charles et demandent l'aide de son frère Louis II de Germanie. Au cours de l'automne 858, tandis que Charles II assiége l'île d'Oscelle occupée par des Vikings, Louis II quitte Worms et envahit le royaume de Charles[13]

 LECTURE ANALYTIQUE 1 Extrait de Gargantua, chapitre 25 « Comment un moine de Seuillé sauva l’enclos de l’abbaye du saccage des ennemis » Problématique : dans quelle mesure Rabelais se joue-t-il des registres pour mieux dénoncer ? Analyse des mots clés : registre : -satirique -comique (fantaisie, burlesque) -épique -parodique Dénoncer= critique grâce à la satire Recherche des grandes idées directrices I-Un combat épique II-Qui tourne à la parodie III-Au service de la dénonciation

notion de héros. Dans quelles mesures peut-on considérer Fère Jean comme un véritable héros ? Frère Jean, incarnation des valeurs humanistes - De moine, il devient soldat pour défendre son pays et fait preuve d’une certaine bravoure. Il encourage même ses frères d’armes pour la cause qui les mobilise comme l’indique le titre du chapitre « Comment le moine donne courage à ses compagnons et comment il pendit un arbre » - Son humanisme se manifeste dans son esprit de solidarité et son désir de soulager

dernier (Photo du tympan de l’église Sainte Foy de Conques) Le monstre biblique, le Léviathan, la gueule grande ouverte, engloutit les damnés, poussés par un diable, tête tournée pour regarder les élus qui lui échappent. Le monstre biblique, le Léviathan, la gueule grande ouverte, engloutit les damnés, poussés par un diable, tête tournée pour regarder les élus qui lui échappent. Entrée de l’enfer Entrée de l’enfer Entrée du paradis Entrée du paradis Le cortège des élus Le cortège des élus

habitent au Chenal-du-Moine, en face des îles de Sorel, depuis plusieurs générations. Ils cultivent une terre qu’ils se sont transmise de génération en génération. Le père Didace, le patriarche, a perdu sa femme voici un an. Quelques années auparavant, c’est son fils Éphrem qui s’était noyé. Il se retrouve seul avec son fils Amable et sa bru Phonsine, deux êtres plutôt falots, et il ne voit pas comment ceux-ci pourraient maintenir la tradition des Beauchemin au Chenal-du-Moine. C’est dans ce climat

François RABELAIS (1494?-1553) Né d'un père avocat à Chinon, François Rabelais étudie le latin, le grec, et correspond avec le célèbre humaniste Guillaume Budé. Il a d'abord été moine et traducteur avant d'exercer les fonctions de médecin puis d'écrivain. Homme de la Renaissance, il a allié, sa vie durant, foi en Dieu, discours anticléricaux, pensée humaniste et sens de la farce. Ses deux principaux héros littéraires, Gargantua et Pantagruel, des géants, père et fils, sont issus de la littérature