Tête de Moine

PORTRAIT D'après les témoignages de ses compagnon[][] il n'était ni longiligne ni trapu, sa peau n'était ni d'une blancheur éclatante ni foncée, sa chevelure n'était ni crépue ni outrancièrement longue. Il avait les paumes et les pieds épais, sa tête était grosse et ses articulations imposantes. Les poils qui descendaient de sa poitrine à son nombril formaient une longue ligne. Quand il marchait, il s'inclinait vers le devant comme s'il descendait d'une pente. Sa barbe était ample. [pic]

au début du IVe siècle. Au contraire, les moines sont un moyen, un outil au service des carolingiens tant dans le domaine de l’éducation que lorsqu’il s’agit d’unifier ou de pacifier un vaste empire. Les moines, garant de l’unité carolingienne, à la tête d’un pouvoir considérable, deviennent, in fine, un enjeu remarquable. A l’époque carolingienne, les moines furent appelés à participer à la réforme de l’Eglise voulue par le pouvoir. Aussi cette réforme, commandé par le pouvoir central, fut au

L’extrait que nous devions analyser se situe vers le début du roman, tout juste lors de l’arrivée du personnage principal, soit le Survenant. Dans cet extrait, on y découvre la famille Beau chemin, des cultivateurs ancrés au petit village Chenal du Moine. C’est dans ce passage de l’histoire, que le Survenant fait sa première apparition, lorsqu’il vient cogner à leur porte afin d’y demander quelque chose à manger afin d’apaiser sa faim. Le passage que nous avons a analysé ce déroule autour de la présence

l'exploration et la conquête de grands empires.Le premier de ces grands empires est l'empire des Aztèques. En 1519, c'est à la tête d'environ 500 soldats, une dizaine de chevaux et des canons, qu'Hernan Cortès conquiert l'empire aztèque. L'expédition rencontre d'abord les Mayas qui leur offrent une interprète qui parle le Maya et le Nahuatl (langue des Aztèques).A la tête de l'empire aztèque se trouve un empereur, Moctezuma. Les Aztèques ont soumis une série de peuples dont les Tlaxcaltèques qui se

pour que les gens prennent conscience qu'ils doivent l'arrêter. Pour commencer à la page 229, Frère Jean, un moine de Seuillé massacre une horde d'ennemis : « Aux uns il écrabouillait la cervelle […] émiettait les tibias», mais également « il leur transperçait la poitrine […] il perçait le boyau culier» Il n'avait aucune pitié, car même ceux qui essayaient de fuir, il leur tranchait la tête. Avec toutes ces atrocités Frère Jean tua à lui seul treize mille six cent vingt-deux personnes. Ensuite, il

dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique, pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher, si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête ; et ils ont le nez si écrasé, qu'il est presque impossible de les plaindre. On ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. Il est si naturel de penser que

Seuilly pour l'y faire moine et voulussent consacrer au Seigneur leur dernier-né. Selon Bruneau de Tartifume (1574-1636), Rabelais est novice, vers la fin de 1510 jusqu'en 1520, au monastère des Cordeliers (ordre des frères mineurs, ou franciscain) de la Baumette, construit devant la Maine, près du roc de Chanzé à Angers. Il reçoit alors une formation de théologie. Plus tard, Rabelais rejoint le couvent franciscain du Puy-Saint-Martin à Fontenay-le-Comte, où il devient moine vers octobre 1520. Il

Q1: Les personnages a) Dans le chap. 1 CA est présenté en 1er (normal pour le héros!) mais reprendra la place due à son statut de "bâtard" à la fin du § où sont présentés les autres perso. ds l'ordre "protocolaire" cette fois: les nobles (le mari en tête -noblesse oblige- la comtesse, etc.) le précepteur PA et enfin le bâtard. Donc société hiérarchisée, comme figée, vivant ds illusion de la noblesse entretenue par PA et la "cour" des domestiques (ils ne vont tt de même pas se transformer en dangrx

nouvelle constitution. Il est le point de convergence de la scène : Une ''forêt de bras'' se tend dans sa direction. 2- Au premier plan, l'abbé Grégoire, le moine Dom Guerle et le pasteur Rabaut de saint Étienne s’étreignent. Ils représentent les 3 visages de la religion chrétienne en france : le clergé catholique régulier car Dom Guerle est un moine dominicain. Le clergé catholique séculier car Grégoire est un simple curé de campagne. L'église protestante car Rabaut de Saint-Étienne est un pasteur. Jacques-louis

soumettre à Dieu MONTAIGNE : « Instruire, c’est former le jugement » : But de l ‘éducation du jeune noble : avoir une culture générale totalement désintéressée ; idéal de l’homme parfait : l’honnête homme. Qualités requises du précepteur : tête bien faite plutôt que bien pleine, Montaigne s’oppose au gigantisme. S’oppose au « par cœur » Il utilise l’image de l’ « accouchement », référence au maieutisme ( Socrate ) Idée : motiver l’élève, il doit y avoir un échange, tout ne doit pas venir