Testament Philippe Auguste 1190

code d’Hammourabi (pas le premier, mais le plus connu). Pris du nom du roi de l’époque à Babylone, 30 exemplaires conservés. Le droit Hébraïque est ensuite un des plus ancien droit existant. Il nous en reste de nombreux témoignages : l’ancien testament (issu aussi de la casuistique). On observe une tentative de codification beaucoup plus marquée avec les 10 commandements notamment au environ de -1250. Droit a caractère religieux, le décalogue des hommes est une transcription directe des droits

impériale. B) Les constitutions impériales : expressions officielles du pouvoir législatif du prince : Les premières lois remontent au règne d'Auguste alors même qu'Auguste ne s'est pas fait attribué de façon officiel un pouvoir législatif. Auguste comme d'ailleurs les auteurs du 19ème il usera avec prudence et sans excès de cette prudence du 2ème siècle que les juristes prennent actes que la loi n'émanant plus des assemblées du peuple prennent acte que légiférer n'est désormais plus que l'apanage

a une importance primordiale). Coutumes de Beauvaisis (1283): nature juridique: compilations de coutumes / source indirecte: car compilation (rédigée à titre privé) qui rapporte les coutumes en vigeur sur un territoire auteur: Philippe de Beaumanoir (1246-1296), bailli puis sénéchal, poète courtois, grand voyageur, formé au droit coutumier et au droit savant (romain) > comme Eike von Repgow contexte historique: Le phénomène des coutumiers (issus de particuliers+ territorialité:

caractérise notre époque. À Rome, la loi est un acte grave, et donc rare : on ne la galvaude pas. Plurimae leges, pessima res publica, disaient les Romains : trop de lois détruit l’État. Pour toute la durée de la République, entre les XII Tables et Auguste (soit quatre siècles et demi), on dénombre environ 800 lois. Encore la plupart d’entre elles concernent-elles des matières de droit public : seulement 24 portent sur des questions de pur droit privé, questions très précises dans la plupart des cas

les Dieux ne le sont pas nécessairement. Section 1 : Le volontarisme juif Paragraphe 1 : La Torah Pour les juifs de l'antiquité, la source du droit est la Torah (= en hébreu : la loi). La Torah correspond aux 5 premiers livres de l'ancien testament chrétien (Genèse, Exode, Lévitique, livre des Nombres et le Deutéronome, qui est une sorte de rappel des lois annoncées dans les quatre précédents livres). Ces cinq livres forment le Pentateuque. Ces textes sont une compilation qui datent du Ve siècle

dans la lie du peuple, comme dans nos derniers siècles, mais que ces horreurs extravagantes étaient pratiquées chez les riches. Les combats et les épreuves décidaient, comme nous le verrons, de la possession d'un héritage, de la validité d'un testament. La jurisprudence était celle de la férocité et de la superstition. Qu'on en juge des mœurs des peuples par celles des princes. Nous ne voyons aucune action magnanime. La religion chrétienne, qui devait humaniser les hommes, n'empêche point le

seulement dans la lie du peuple, comme dans nos derniers siècles, mais que ces horreurs extravagantes étaient pratiquées chez les riches. Les combats et les épreuves décidaient, comme nous le verrons, de la possession d'un héritage, de la validité d'un testament. La jurisprudence était celle de la férocité et de la superstition. Qu'on en juge des mœurs des peuples par celles des princes. Nous ne voyons aucune action magnanime. La religion chrétienne, qui devait humaniser les hommes, n'empêche point

praticiens. Au Ier siècle, ils forment une élite intellectuelle qui réfléchit sur les catalogues des actions et conseillent les préteurs. Lorsque la République devient Empire, les empereurs décident de s’assurer les services de ces intellectuelles : -Auguste récompense les plus talentueux en leur accordant le jus publice respondendi (les consultations délivrées par les juristes sont munies de l’auctoritas). -Peu à peu ils rentrent au service de l’empereur Des écoles de pensées se forment ayant chacune

dans la lie du peuple, comme dans nos derniers siècles, mais que ces horreurs extravagantes étaient pratiquées chez les riches. Les combats et les épreuves décidaient, comme nous le verrons, de la possession d'un héritage, de la validité d'un testament. La jurisprudence était celle de la férocité et de la superstition. Qu'on en juge des mœurs des peuples par celles des princes. Nous ne voyons aucune action magnanime. La religion chrétienne, qui devait humaniser les hommes, n'empêche point le

Il peut en déléguer à des agents locaux, va se retrouver au MA avec l'administration des seigneurs. 3e notion : l'imperium, pouvoir suprême de commandement au départ reconnu aux magistrats les plus importants puis à Auguste. Pouvoir militaire, de commandement, permet à Auguste de contrôler les armées romaines, complète les 2 autres pouvoirs. Empire Romain vaste donc des difficultés dans la gestion quotidienne des frontières. Fin 3e s après JC, période d'instabilité, anarchie militaire, (235