Tertiarisation Et Productivité

effet de révolutions industrielles successives qui auraient provoqué une rupture rapide entre une sorte d’ancien régime économique (celui des campagnes immobiles) et un nouveau système fondé sur l’industrialisation, l’urbanisation, puis la tertiarisation de l’économie. Cette vision, et notamment la notion même de révolution industrielle, est aujourd’hui rejetée par les historiens [… mais elle pourrait bien être quand même attendue par certains correcteurs au bac…] qui ne voit plus une industrialisation

de L en vue d’atteindre la productivité maximale. Le taylorisme et le fordisme sont les deux modes d’organisation qui ont le + marqué le monde du L et qui ont contribué au développement économique. NB : Avant, il y avait d’autres modes mais la recherche de la productivité n’était pas forcément le mot d’ordre, ex : au moyen age : maître/apprenti, autre exemple d’organisation du L : l’esclavagisme dans la civilisation égyptienne ou romaine, dans ce cas forte productivité 1. Le taylorisme : l’OST

et ses revalorisations successives se sont propagées à l’ensemble des bas salaires. Il en résulte que la distribution et la dispersion des salaires a été chamboulée. De plus, ces hausses de salaires n’ont pas toujours été contrebalancées par une productivité plus importante. Décomposition des revalorisations du SMIC depuis 1970 Ratio du 1er décile au salaire médian net Source : Rapport d’experts sur le SMIC, Direction générale du travail Source : INSEE, DADS Il y a deux conséquences

exploitables par agriculteurs exploitant ainsi qu’une substitution du capital au travail dans l’industrie - par la salarisation du marché du travail : recherche d’une meilleure stabilité/sécurité de l’emploi par rapport au statut d’indépendant - par la tertiarisation de l’économie qui entraine une baisse d’une secteur primaire et secondaire caractérisés notamment par des emplois Agricoles et Ouvriers au profit du secteur tertiaire de main d’œuvre Employée. Ce déclin a en effet entraîné une mobilité

l'abondance d'énergie bon marché (le pétrole) et le développement de nouvelles activités (électronique, aéronautique, informatique, etc.) sont de formidables moteurs de croissance. La généralisation du fordisme engendre par ailleurs d'importants gains de productivité qui permettent de produire à moindre coût. Ces leviers techniques sont renforcés par de nouvelles politiques économiques et sociales. Au niveau international, les efforts de coopération et de libéralisation des échanges (mise en place du système

1945, la croissance s’explique pendant quelques années par la reconstruction du pays. En cette période, on a une période où on a une forte augmentation de la productivité, le baby-boom, du progrès technique, avec de nouvelles formes d’organisation de travail, une société de consommation, une augmentation du niveau de vie, une tertiarisation de la société avec l’augmentation du taux d’activité des femmes. S’ajoute à cela, une augmentation du revenu qui a permis d’accéder à la consommation de masse (électro-ménager

échanges de marchandises depuis le début des années 1990. Mais l’évolution est très disparate d’une catégorie de services à l’autre, les services de l’assurance, de la banque et des télécommunications progressant le plus fortement, du fait de la tertiarisation des économies et de la libéralisation récente des échanges de services.   b- La géographie du commerce mondial   Le commerce mondial est principalement le fait des pays développés, dont la part oscille selon les années entre les 2/3 et les

d’urgence se multiplient. Notamment, aux Etats-Unis, la lean production prévoit un enrichissement des tâches mais une diminution des pauses et une rotation des tâches avec des postures difficiles. Cette organisation permettra une hausse de la productivité des entreprises mais une dégradation des conditions de travail des salariés. On remarque donc que l’évolution de nouvelles organisations donne une toute autre nature aux problèmes déjà existants : « Si les problèmes ne se posent pas au même

participé au phénomène de tertiarisation de l’économie. L’augmentation des qualifications de la population active est également une caractéristique importante, car elle reflète l’orientation de l’emploi vers le travail qualifié. L’utilisation des nouvelles technologies étant un enjeu de compétitivité pour les entreprises, leur maîtrise assure la stabilité de l’emploi des salariés. En effet, le progrès technique favorise la création d’emplois qualifiés et tend, par les gains de productivité qu’il génère, à détruire

capital et de celui du travail. Il correspond à l’élévation de la productivité globale des facteurs. Le rendement d’échelle se calcule sur une même courbe de production. Le progrès technique va déformer la fonction de production. Le progrès technique permet de garder le niveau de production tout en réduisant le facteur travail ou d’augmenter le niveau de production en gardant le même niveau de facteur travail. La productivité moyenne du travail = production / quantité de travail = Y/L Quand