Tendre est la nuit

d’un parfum délicieux enrobé d’une gomme tendre d’un autre parfum. Le mélange des deux est délicieux. - Tube: le packaging qui contient des dragées normales est jsute très solide et beaucoup plus hermétique ce qui est beaucoup plus pratique que les paquets de chewing-gum normaux. - My mix: grace à ce concept on peut mélanger eux dragées, acide et douce, d'un même parfum dans un même conditionnement - Style: chewing-gums sans sucres à la texture tendre et généreuse. Ils ont la forme de tablettes

respirer mon sein; Soudain, comme le flot refoulé du rivage Aux bords qui l'ont brisé revient en gémissant, Ou comme le roseau, vain jouet de l'orage, Qui plie et rebondit sous la main du passant, Mon coeur revient à Dieu, plus docile et plus tendre, Et de ses châtiments perdant le souvenir, Comme un enfant soumis n'ose lui faire entendre Qu'un murmure amoureux pour se plaindre et bénir! Que le deuil de mon âme était lugubre et sombre! Que de nuits sans pavots, que de jours sans soleil

qui tourne comme une « valse » : « vibrant » « s’évapore » « tournent » « vertige »  rimes embrassées en « -ige » et « -oir » dont la disposition alterne d’un quatrain à l’autre + rimes « soir » renvoient au titre & « noir » = soir = tombée de la nuit Les correspondances Les images 3 éléments décrits :  Nature : « tige » « fleur » « parfums » « ciel » « soleil » : thème romantique  Musique : « temps » « vibrant » « sons » « valse » « violon » : air mélancolique et harmonieux (renvoie au titre)

mollement comme de grandes palmes ; L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l’ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini. Victor Hugo, Toute la lyre Victor HUGO(1802-1885) Hugo est un écrivain important de

exaspération "et vous m’en contez à moi par-dessus le marché !", elle ne se met jamais en colère car elle excuse son très jeune âge : "si ce n’était pas un morveux sans conséquence..." C. La gestuelle renforce la gaieté de cet échange Le ruban de nuit de la Comtesse devient de cette manière l’enjeu d’un combat coquin. De multiples indications animent les didascalies :"vivement", "tourne autour", "arrache la romance" qui sont renforcées par la poursuite effrénée. On peut donc dire que la scène

ignorons que nous tendons vers l’agitation. De ce fait, il est donc extrêmement difficile de déterminer comment nous atteignons le repos et par conséquent le bonheur. Nous pouvons donc nous poser les questions suivantes: L’homme n’est-il pas fait pour tendre vers l’occupation et l’agitation au lieu du repos? Et par conséquent, est ce que l’homme atteint sincèrement le repos à un moment donné? Afin de répondre à ces questions et ainsi rendre compte du problème qui est en jeu dans ce texte, nous verrons

arbre et son frémissement forêt sombre d'appels, de cris, mange le cœur obscur de la nuit. Vinaigre et lait, le ciel, la mer, la masse épaisse du firmament, tout conspire à ce tremblement, qui gîte au cœur épais de l'ombre. Un cœur qui crève, un astre dur qui se dédouble et fuse au ciel, le ciel limpide qui se fend à l'appel du soleil sonnant, font le même bruit, font le même bruit, que la nuit et l'arbre au centre du vent. Antonin ARTAUD (1896 – 1948) Extrait de L'ombilic des

de toi quand tu auras besoin de moi et je te donnerais tous ce que tu as besoins je te dit a tous sincérité et en toute confiance l'amour peut être éternel si on le désire vraiment l'amour n'est pas dur et expérimental, il est merveilleux, doux et tendre moi donner d'abord mon vrai amour du cœur t’aimer te chuchoté te câliné te respecter être toujours pressent quand tu aurait besoin de moi te donner des plaisirs j'ai vraiment envie de te donner mon cœur l'amour est mystérieux mais il impose de ne

Pléthoriens avec Paul Silva-Coronel, Stock (1966) Le Radeau de la Méduse, Presses de la Cité (1969) Sillages, Presses de la Cité (1972) Comme un frère, Plon (1973) Tendre naufrage, Plon (1974) Les Chevaux du temps, Tchou (1977) Le tigre d'Anvers, Plon (1986) Cette œuvre regroupe en fait deux récits publiés en 1951 : Les Armes de la nuit et La Puissance du jour. C'est une réécriture de la même histoire dans des décors différents. Nouvelles Le Silence de la mer (1942) La Marche à l'étoile (1943)[inclus

lorsqu'il était jeune. Un soir, son père le trouve en pleurs, ne pouvant ce souvenir du visage de sa tendre maman. Le père décide donc d'amener Daniel au Cimetière des Livres Oubliés. Or, toute personne qui est nouvellement admis dans ce lieu choisit un livre qu'il doit chérir toute sa vie. Ou plutôt, un livre le choisit. Daniel tombe surL'ombre du vent de Julian Carax, auteur barcelonais anonyme. La nuit même, Daniel lit le bouquin au complet et en reste interloqué. Il décide de s'intéresser plus profondément