Temps atomique international

classique Bombardement atomique Date 13-15 février 1945 6 août 1945 Moyens 3 vagues de 316, puis 529, puis 450 bombardiers. 3 479 tonnes de bombes dont 75% incendiaires. 1 bombardier. 1 bombe nucléaire de 4 tonnes. Effets 30 km² détruits. 135 000 tués et disparus. Pollution par les cendres. 10 km² détruits. 70 000 à 80 000 tués et disparus. Contamination radioactive. J. KEEGAN, Grand atlas de la Seconde Guerre Mondiale ; Larousse, 1990. «  Pas un pas en arrière ». «  Il est temps d’en finir avec la

- Le bilan de la guerre Dans un premier temps , si nous devons évoquer le bilan de la guerre, il se doit de constater l'ampleur des pertes , au niveau démographique dans un premier temps . Il faut savoir que la Seconde Guerre Mondiale a causé 50 millions de morts, soit 4 fois plus que la première . L'Europe est sans contexte le continent le plus touché , et en particulier l'URSS qui à elle seule compte la moitié des pertes mondiales. En plus des pertes dites « directes » (abordées ci-dessus)

juste après est le Léviathan de Thomas Hobbes (1661). Ce cours se concentre sur la période post-seconde guerre mondiale. En effet, les forces en présence pouvaient se targuer de détenir les moyens les plus violents dans l’histoire des relations internationales. On a nommé cette période la guerre froide. Mais cette période n’a pourtant pas empêché l’usage de la violence, violence qui fut policière à défaut d’être militaire. Il faut lire Clausewitz pour la définition de la guerre. L’objectif de la sécurité

l’Arizona -, et tous les gens de tant d’espèces avec qui je parlais à longueur de jours et de nuits […]. J’étais prête à aimer l’Amérique ; c’était la partie de capitalisme, oui mais elle avait contribué à sauver l’Europe du fascisme4 ; la bombe atomique lui assurait le leadership du monde et la dispensait de rien craindre. » Simone de Beauvoir, La Force des choses, Editions Gallimard, 1963. Classe de Première L-ES/S Octobre 2013 Correction de l’étude critique d’un document

semble à l’ordre du jour après la prise de conscience engendrée par la crainte d’un conflit nucléaire, elle est cependant loin d’être définitive. La mort de Staline le 5 mars 1953 inaugure une ère nouvelle dans les relations internationales. Du côté de l’URSS s’amorce le temps du dégel : dotés de la bombe A depuis 1949, de la bombe H depuis 1953, les Soviétiques sont désormais sûrs de leur puissance et aspirent à la paix afin de pouvoir mettre en oeuvre un certain nombre de projets économiques à l’intérieur

Questions Internationales Conférence de M. Maillard LES CRISES DE PROLIFERATION :IRAN, COREE DU NORD, LIBYE Jusqu’en 2002, et outre l’officialisation de l’accession de l’Inde et du Pakistan, non parties au Traité de Non Prolifération (TNP), au rang de puissances nucléaires en 1998, « le régime international de non prolifération nucléaire (…) apparaissait crédité d’un relatif succès1 ». Cependant, depuis a eu lieu une série de crises autour de la Libye, de l’Iran et de la Corée du Nord, parties

longueur (et les grandeurs associées : surface, volume), la masse, le temps, la force, le débit volumique (par exemple le débit sanguin), la pression (atmosphérique, artérielle), la charge électrique, le courant électrique, le champ électrique, le potentiel électrique…. Des grandeurs de base sont admises par la communauté internationale, à partir desquelles toutes les autres grandeurs peuvent être dérivées. Ce sont : la longueur, le temps, la masse, la température, la quantité de matière (mole), l’intensité

Fulton en 1946, Churchill dénonce le « rideau de fer » qui s’est abattu sur l’Europe et les Etats-Unis décident de rompre avec l’isolationnisme. * Staline, lui, s’inquiète de la suprématie nucléaire américaine et réclame l’interdiction de la bombe atomique. B) Constitution de blocs rivaux : Les pressions soviétiques sur la Turquie et le développement de la guérilla communiste en Grèce en 1947, décident les américains à soutenir ces deux pays. * Plan Marshall : Accélère la division de

Tous d'abords nous aborderons le bilan de la guerre , puis l'espoir d'un monde meilleur et enfin de nouveaux rapports de forces. I- Le bilan de la guerre Dans un premier temps , si nous devons évoquer le bilan de la guerre, il se doit de constater l'ampleur des pertes , au niveau démographique dans un premier temps . Il faut savoir que la Seconde Guerre Mondiale a causé 50 millions de morts, soit 4 fois plus que la première . L'Europe est sans contexte le continent le plus touché , et en particulier

ont pris conscience que le réchauffement climatique est un fait qu'il est nécessaire de freiner pour préserver nos ressources. A l'occasion de cette conférence, l'ensemble des chefs d'Etat et de gouvernement va tenter de renégocier un accord international sur le climat qui remplacera le protocole de Kyoto, qui doit prendre fin en 2012. Il s'agit de trouver des solutions pour préserver l'environnement et favoriser ainsi le développement durable.Il convient d'expliciter ce que nous entendons par la