Temple de Vénus et de Rome

PLAUTE, TERENCE ET LE THEÂTRE A ROME Plaute et Térence furent partie des plus grands auteurs de la comédie latine. Non seulement ils marquèrent leur époque, mais ils furent également très présents dans les suivantes et dans de nombreux pays. Le temps et l'espace ne dégradent pas leurs écrits ; Plaute et Térence sont des auteurs universels. SOMMAIRE I) Plaute a) Biographie b) Œuvres II) Térence a) Biographie b) Œuvres III) Quelques citations a) Plaute b) Térence

La cité antique La République Romaine (Milieu IIe-44 av jc) L’univers grecque et romain se partage le même espace : la méditerranée. Très tôt Rome est entré en contacte avec les régions de la grande Grèce. Rome c’est lancer victorieusement à la conquête des terres grecque en qq décennie seulement. La Grèce et Rome on entretenu des fascinations réciproques. Les romains ont longtemps éprouvé un sentiment d’infériorité. Dans se monde grecque Athènes à attirer le regard des romains dès l’époque

Abraham Lincoln aux États-Unis clos bien le travail. PÉRIODE DE L’ANTIQUITÉ : Tout d’abord, sous le régime romain, plusieurs grandes constructions ont été mises en œuvre : Des grands bains publics luxueux, des arènes de combat immenses et des temples grandioses où vénérer les dieux. À première vue, cette époque semble fantastique, voir irréelle, mais toutes ces constructions se sont accomplies au détriment de milliers d’esclaves qui ont travaillés d'arrache-pied pour bâtir ces grandes structures

cependant son apprentissage à Paris chez Charles-Joseph Natoire et obtint le Prix de Rome en 1744 avec le tableau « La peste de David ». Son séjour à Rome entre 1743 et 1750 a étais décisif pour ses orientations esthétiques. Protégé du comte de Caylus, il est admis à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1754 et y crée un atelier où il forme ses élèves à ses théories. Il est directeur de l'Académie de France à Rome de 1775 à 1781 et Premier Peintre du roi Louis XVI en 1789. Considéré comme le

préfet du prétoire Macro, il fait venir Caligula dans sa retraite à Capri en l’an 31 et l’adopte faisant de lui son héritier direct. C’est une initiative paradoxale puisque cette action rapproche le jeune homme du pouvoir, mais l’éloigne également de Rome, le lieu d’exercice du pouvoir. De plus Tibère ne lui confie aucune charge importante et ne lui confère aucun honneur hormis celui, modeste, de la questure, ce qui peut paraître étonnant pour un jeune homme destiné à devenir empereur et qui a donc

analyse des pages 178 à 180 du journal de John Evelyn. Les pages concernées du journal de John Evelyn nous relatent quelques jours du séjour de celui-ci en Italie, et plus particulièrement à Rome. C’était au mois de février 1645. Le premier jour évoqué est le 24 février, en fin de journée. Il nous raconte qu’il a marché jusqu’à l'église de Sant’Andrea della Valle, près de l'ancien Théâtre de Pompéi et du célèbre Piccolomini qui a été donné à celle-ci et à l'Ordre des Théatins. Les Barberini

dans sa troisième puissance tribunicienne, deux fois consul, père de la patrie [[et du César Decimus Clodius Septimius Albinus]] et de Julia Domna Augusta mère des camps. Parce que Lucius Octavius Victor Roscianus [avait promis] la construction du temple de Saturne avec la somme honoraire […pour ?] une évaluation de cinquante mille sesterces […] le monument ( ?) et ses chapelles ( ?), il a légué cent mille sesterces pour mener à bonne fin ce travail, somme payée par ses héritiers et versée au trésor

feront surtout après la troisième et dernière guerre punique et les guerres qui suivirent –  en Orient contre Philippe V de Macédoine, Antiochus III de Syrie et, de nouveau en Macédoine, contre Persée. L’organisation civile, militaire et juridique de Rome lui est propre, antérieure aux leçons de la Grèce. Du reste, bien différents sont un Grec et un Romain : le premier, homme de mer (ce qui permit la victoire sur les Perses) ; le second, terrien, rustique à l’origine et ensuite souvent par goût (les

et aux traits vieillissants, voire accablés par l’âge et les soucis du pouvoir. Le Nouvel Empire, tout en gardant un souci de vérité, revient aux portraits idéalisés ou à une statuaire qui privilégie la jeunesse. Pour ce qui est de la Grèce et de Rome, l’opposition est évidente. Pour les Grecs, l’idéal de beauté est tout entier porté par la jeunesse. Les modèles choisis par les grands sculpteurs en témoignent à l’évidence : L’Aurige de Delphes (vie siècle av. J.-C.), Le Discobole, L’Apollon du Belvédère

société). Mais l’amour décrit dans ces poèmes, ne plait pas aux gens de par son côté négatif. L’élégie est donc peu appréciée à Rome et peu répandue. * EXEMPLE : Tibulle (48 à 18 ACN), Livre I, élégie 7 : Saepe ego temptavi curas depellere vino, At dolor in lacrimas verterat omne merum. Saepe aliam tenui, sed iam cum gaudia adirem, Admonuit dominae deseruitque Venus. Tunc me discedens devotum femina dixit Et pudet et narrat scire nefanda meam. Non facit hoc verbis, facie tenerisque lacertis