Temple de Diane

principalement sur la culture des céréales (orge et blé) c'est pourquoi elle était particulièrement vénérée en assurant l'abondance et l'épanouissement des cités. Elle resta toujours très proche des Hommes qui construisirent en son honneur un grand nombre de temples à travers toute la Grèce.  En tant que déesse de la terre elle avait aussi un caractère chthonien qui fut par la suite dévolu à sa fille Perséphone. Attributs La truie, le bélier, la grue et la tourterelle ainsi que la couronne d'épis de blé, le

Sacré en 494 av. J.-C. Compatissant aux malheurs des plébéiens, elle vient chaque jour leur apporter de la nourriture, les sauvant de la famine. Par reconnaissance, ils lui bâtirent un temple. La fête d'Anna Perenna est célébrée chaque année le 15 mars dans un bois sacré près de Rome. • APOLLON : fils de Jupiter de Latone, frère de Diane. Dieu de la musique, du soleil, de l’harmonie, de la beauté. • ASCAGNE : fils d’Enée et de Créuse (fille de Priam), aussi appelé Iule ou Ilus. • ASTYANAX : fils d’Hector et

un gladiateur thrace. Il dirigea la Troisième Guerre servile en Italie du Sud entre -73 et -71. Les personnages fictifs principaux: Gordian : enquêteur romain (détective privé). Sa famille : sa femme Bethesda, sa fille Diane et ses fils adoptifs Eco et Meto. Ménénia : femme d’Eco. Vocabulaire : dans la Rome antique : Aiguière : vase à pied muni d’un bec et d’une anse. Atrium : pièce principale qui commandait la distribution de la maison, avec une

hôpitaux publics modernes. Ils officient dans les villes et leur nombre est limité par les lois d’Antonin le Pieux. Certains officient dans les Aesculapia, des lieux dédiés à la médecine et dotés d’équipements médicaux, mais aussi de thermes, de temples… - On a peu de connaissances sur la médecine militaire pendant la République. Mais Auguste, pendant son règne, réorganise l’appareil militaire et y ajoute des médecins particulièrement bien formés, les milites medici,devant s’engager pour une

convoque les résistants aussi bien chrétiens (« celui qui croyait au ciel ») que communistes (« celui qui n’y croyait pas ») dans la Rose et le Réséda. Enfin, la poésie est une ode à la nature et à la beauté, ce qui nous ramène à Baudelaire, au « temple où de vivants piliers/Laissent parfois sortir de confuses paroles » et où « Les parfums, les couleurs et les sons se répondent ». L’humour, l’amour, la liberté, la nature et la beauté : autant de thèmes sur lesquels les poètes ont écrit qui nous

d’humeurs, triste amalgame de lymphe et de sang », mais en amoureux à l’écoute de sa sensualité et de son moi (« J’aime mon corps »). Ainsi, le corps est déployé dans les premières pages dans ses rapports avec la chasse, Hadrien ayant eu avec « la Diane 3 des forêts les rapports changeants et passionnés d’un homme avec l’objet aimé » (13), le cheval (« un ami » 14), les éléments, comme l’eau (« le délice du nageur caressé par l’eau » ou « délice de l’eau qu’on boit » 18). Le frémissement et le

L'ARC DE TITUS ET LES DÉPOUILLES DU TEMPLE DE JÉRUSALEM Conférence faite à la Société des Études Juives le 3 mai i8go PAR SALOMON REINACH A t t a c h é des Musées N a t i o n a u x PARIS LIBRAIRIE 83 bis , A. R U E DE DURLAGHER LAFAYETTE 189O L'ARC DE TITUS L'ARC DE TITUS CONFÉRENCE FAITE A LA SOCIÉTÉ DES ÉTUDES J U I V E S L E 3 MAI PAR SALOMON REINACH ATTACHÉ DES MUSÉES NATIONAUX PARIS LIBRAIRIE A. DURLACHER 83 B I S , RUE DE LAFAYETTE 1890 1890 L'ARC DE TITUS

liées : en partie l'agriculture et la prospection). Contrairement aux autres dieux principaux, il était peu représenté. Ses attributs sont un casque qui rend invisible, fabriqué par les Cyclopes, le cyprès ainsi que la fourche à deux dents. Artémis Diane Artémis est une des déesses associées à la lune, par opposition avec son frère Apollon, associé au soleil. C'est la déesse de la chasse et de la nature sauvage, c'est pourquoi elle passe peu de temps à l'Olympe. Elle est chaste, et vierge. Elle punit

Sa femme sans soupçon, et plus heureux encor Qui a pu sans peler vivre trois ans à Rome ! Les Regrets (1558) de Joachim Du Bellay. Je fuis la ville, et temples, et tous lieux Je fuis la ville, et temples, et tous lieux Auquel, prenant plaisir à t'ouïr plaindre, Tu pus, et non sans force, me contraindre De te donner ce qu'estimais le mieux. Masques, tournois, jeux me sont ennuyeux, Et rien sans toi de beau ne me puis peindre

sont les meilleurs de ce monde maudit Et vous savez leurs noms sans que je les aie dits Et ce que signifient les flammes des longs soirs Et ses cheveux dorés quand elle vient s’asseoir Et peigner sans rien dire un reflet d’incendie Louis Aragon, La Diane française, 1945 Cascade Au flanc de la bière, le triple mur de pierre, Sous la chair d’un drapeau enclavé dans le sang, Lance le mikado au-dessus des enfants Comme l’arlequin blanc qu’on voit au cimetière. L’Egypte assoiffée de nourrices et d’ornières