Tchen

s’appuie-t-il ? * Ferral : en quoi peut-on voir dans cette anecdote une pause dans le récit ? * Ferral : comment Malraux construit-il cet épisode ? * La mort de Tchen : quelles sont les dimensions symboliques de cette épisode ? * La mort de Tchen : comment Malraux mêle-t-il réalisme et symbolisme ? * La mort de Tchen : en quoi le point de vue adopté accroit-il l’efficacité de la narration ? GIRAUDOUX I.1 : En quoi cette scène respecte-t-elle les règles de la scène d’exposition 

34 ; puis, la longue marche ; Mao prendra le pouvoir en 1946 ; Les personnages sont les révolutionnaires communistes ; Kio fils d’intello ; sa femme, une allemande, son père un intellectuel français ; son bras droit, russe d’origine ; aidé par Tchen, un anarchiste ; Pas de polyphonie politique ; seulement tableau complet des psychologies, philo, moteurs des perso ; parti pris évident : Malraux est du côté des communistes ; Jeudi 23 févr. 12 Correction QCM Publié en 1933 ; Ankeou, troisième partie ;

sanglots. Ses nerfs se détendaient. La crise qu’elle redoutait la jeta toute frémissante au fond de la barque. Elle y resta pliée, pâmée, morte. Texte 2 : André Malraux, La Condition humaine, 1933 Tchen, un jeune Chinois engagé dans l’action terroriste, doit assassiner un trafiquant. Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire ? Frapperait-il au travers ? L'angoisse lui tordait l'estomac ; il connaissait sa propre fermeté, mais n'était capable en cet instant que d'y songer avec hébétude

le laissa seul ; la porte se ferma sur lui à double tour ; tout cela fut exécuté très vite, et il y fut insensible. Les Trois Mousquetaires: Lien : http://fr.wikisource.org/wiki/Les_Trois_Mousquetaires/Chapitre_66 La Condition Humaine: Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire ? Frapperait-il au travers ? L’angoisse lui tordait l’estomac ; il connaissait sa propre fermeté, mais n’était capable en cet instant que d’y songer avec hébétude, fasciné par ce tas de mousseline blanche qui tombait

qu’on aperçoit de loin (Germinal et le Chien jaune : « un homme », on note l’article indéfini et le mot, très vague, « homme » ; quelques lignes plus loin, dans Germinal, Zola parle de « l’homme »), parfois par son prénom (qui débute le roman : « Tchen »). Dans l’Etranger, le personnage ne peut de façon vraisemblable se nommer lui-même, mais on remarque qu’il précise indirectement son nom quand il parle de « Mme Meursault, ma mère ». Le théâtre Question 1 29_FRA070028_37C.fm Page 212

menaçante, qui les poussera en partie à agir. 2 - Dans La Condition Humaine de André Malraux, Tchen est contraint de tuer unhomme pour des raisons politiques. On retrouve ici encore cette ambiance sinistre, accompagnée d’un climat d’angoisse causée par les doutes du personnage : est-il « découvert » ? L’extérieur estdésigné comme un monde différent, « le monde des hommes », ainsi qu’une menace pour Tchen. Dès le début, la violence règne et prédit ce qui va se passer : « tordre », « combattre », frapper

figures de meurtriers : Julien et Tchen commettent un assassinat, tandis que la meurtrière, Milady, est tuée. On peut se demander comment les lieuxsoulignent la gravité du geste qui va être accompli. 1) Toutes ces actions sont accomplies dans des lieux écartés : les tentures de l’église chez Stendhal : «toutes les fenêtres hautes de l’édificeétaient voilés avec des rideaux cramoisis», la traversée de Milady et du bourreau dans Les Trois mousquetaires,la présence de Tchen dans une chambre calme qui s’oppose

comment l'église créait l'horreur dans la tentative d'assassinat de la part de Julien. Dans les Trois Mousquetaires, le lieu est lugubre, sombre, fantastique, il correspond à l'exercice de la justice qui châtie un "démon". Le troisième lieu permet à Tchen d'observer sa future victime et de remobiliser son courage vacillant. Remarque que les deux derniers récits se déroulent de nuit. Dans le premier et le troisième, les futures victimes peuvent se croire en sécurité. Pour le 1er texte, l'action se

aussi l'angoisse profonde. Dans La condition humaine on a un point de vue omniscient qui donne au lecteur une impression d'être à la place du personnage principal (Tchen) les questions rhétoriques aussi qui sont présentes dans le texte crée une pression sur le lecteur ainsi il est captivé par l'histoire. Le lecteur se sent plongé avec Tchen dans un silence profond " ou le temps n'existait plus".De plus dans ces trois textes on retrouve la description de l'atmosphère très tendue avec des regards chargés

dissertation le lien qui existe entre l’action de ses personnages et leur condition humaine. Ce qui les inspire certainement, c’est l’idée de défi, présente en chacun d’eux. Dès les premières phrases du roman, Malraux nous fait la connaissance de Tchen qui est en train de tuer. Premièrement, il apparaît comme un personnage extrême qui est sur le point de commettre un meurtre, puis, comme un personnage sensible qui est troublé de tuer un homme endormi. Sa motivation de tuer est basée sur le sacrifice