Taux de défaillance

travail. Table des matières CHAP 1 : Risques bancaires et l'accord de Bâle I Introduction I. Inventaire des risques bancaires 1. Des risques bancaires traditionnels a. Les risques financiers · Le risque de crédit · Le risque de liquidité · Le risque de taux d'intérêt b. Les risques de marché 2. Les risques de nature « qualitative » a. Le risque de signature b. Les risques d'atteinte à la réputation c. Les risques juridiques 3. Autres risques a. Des risques d'ordre technique ou technologique b. Le risque

mondiale est restée positive (+ 1 %) grâce au dynamisme des pays émergents. Pour 2010, le secteur a repris un rythme de croissance de plus de 4% très proche de son rythme historique à 5,5% connu entre 2004 et 2007. L'Oréal, hormis en 2008 et 2009 (taux croissance respectivement à 2,8% et -0,4%), a depuis 25 ans signé une croissance positive et bien supérieure à la moyenne mondiale (depuis 2005 croissance en moyenne à 6,2% vs 4,3%), (Annexe 1 : EVOLUTION de la CROISSANCE DU CA HT (2005-2010)).

 Beveridge  ............................................................................................................................  18   2.3  L'économie  du  bien  être  :  une  analyse  libérale  des  défaillances  de  marché.  .................  18   2.4  L'école  des  choix  publics,  radicalisation  contemporaine  du  projet  libéral   .....................  20   2.5  L'école  néo-­‐institutionnelle

l’entreprise II. LES DEFAILLANCES DE PAIEMENT A. La cessation de paiement 1. Actif et passif à prendre en compte : passif exigible & actif disponible 2. Les conséquences d’une situation de cessation de paiement B. Les Causes conjoncturelles et structurelles de défaillances d’entreprises 1. L'impact de la crise économique 2. La démographie "galopante" 3. La fragilité financière des entreprises 4. La concurrence exacerbée et la multiplication des débouchés 5. La taille 6. Les causes de défaillances internes à

SOMMAIRE : I. L’intermédiation financière et la spécificité de l’activité bancaire A. Qu’est-ce que l’intermédiation financière ? Définition Les difficultés pour les agents économiques de se rencontrer sur le marché financier. La baisse du taux d’intermédiation B. Les modalités du financement intermédié 1. Le financement non monétaire 2. La spécificité de l’activité bancaire : le financement monétaire II. Les relations de complémentarité avec le marché financier A. L’intervention croissante

..... 4. Risque de taux d’intérêt ........................................................................................................ a. Source et effet du risque de taux............................................................................ i. Les effets da la variation des taux d’interet.................................................. ii. La source principale du risque de taux : non adossement...........

aussi bien au plan de la prise de décision qu’à celui des ressources financières. Il s’agit entre autre d’instaurer les méthodes de gestion efficaces, d’accroitre les fonds propres (parts sociales, réserves…), éviter les lignes de crédit extérieurs à taux élevés, éviter les dépenses superflus, promouvoir le crédit. 9) Versement d’intérêts sur l’épargne L’IMF doit proposer le versement d’intérêts sur les dépôts de membres dans le but de les inciter à épargner régulièrement. 10) La minimisation

durable s’impose comme une solution pour plusieurs problèmes économiques et déficits sociaux (chômage, inflation, pauvreté…) qui hypothèquent son avenir. En dépit de la progression de l’économie marocaine en terme réel entre 1960 et 2002, avec un taux annuel moyen de 4.2%, sa performance reste de loin insuffisante comparée aux potentialités réelles du pays et comparée également à celles des autres pays ayant été au même niveau de développement que le Maroc, La Malaisie, la Corée du Sud, la Tunisie

942 |766 659 | +4% | |Ménages |288 312 |312 058 |+8,6% | Source : INSEE 2008 |Taux de Population active |45% | |Nombre d’emplois |154 867 | |Nombre d’établissements

l’existence de toute entreprise. En effet, ils représentent la majeure part de leur richesse. Toutefois, la défaillance des clients peut mener l’entreprise à sa perte. Effectivement, les mauvais payeurs sont souvent à l’origine de difficultés financières entravant l’activité professionnelle de l’entreprise. Statistiquement, les impayés constituent la cause principale de défaillance des entreprises. Ce phénomène touche toutes les entreprises sans exception et affaiblit considérablement les