Taux de chômage naturel

NOTIONS ESSENTIELLES D’ECONOMIE : L’ENTREPRISE DANS SON ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL 1) Notion de besoins : fondement de l’activité économique Constat : en général, les ressources naturelles ne peuvent être consommées en l’état ; il convient donc de les transformer en produits pouvant satisfaire les besoins humains : c’est le rôle de l’économie et des entreprises que d’assurer cette transformation. Remarques :  Le mot économie vient de oikos (maison) et de nomos (règle). 

d’une augmentation plus faible : I σ. σ correspond à la productivité moyenne potentielle sociale de l’investissement, il se rapporte à la capacité de production de toute la société. Son utilisation n’implique pas que la main d’œuvre, les ressources naturelles et la technologie restent fixes. Donc σ se rapporte à la croissance du potentiel productif de l’économie. L’expression I σ représente l’offre : l’accroissement de production possible pour l’économie, et la demande est représentée par la théorie

externe = faire la guerre, police, infrastructures, éducation, élaboration de la loi). Il n’a pas à intervenir directement dans les problèmes économiques = Etat circonscrit Crise 1929 = crise majeure du capitalisme avec chômage massif, déflation. Donc pour résorber le chômage, il faut l’intervention de l’Etat 1945/1970 = compromis sociaux avec intervention massive de l’Etat (politique budgétaire et monétaire, planification à titre indicative, développement d’un secteur public productif où l’Etat

depend. Elle est composée à 55 % d’Amérindiens répartis en 40 groupes ethnolinguistiques et à 15 % d'Européen  majoritairement d'origine espagnole et portugaise résidant dans les grandes villes. Le taux de croissance de la population est de 1,71%. Le taux de natalité est de 22,31 pour mille et le taux de mortalité infantile est de 49,09 pour mille. Etudions maintenant plus précisément les niveaux de richesses de la Bolivie et de sa population. On peut commencer par analyser la principal indice

administrations publiques a plusieurs fonctions : * Financement des dépenses (liée à l'exercice des fonctions régaliennes de l'État et à la fourniture de biens collectifs). * Assurance contre certains risques de la vie via la protection sociale (chômage, vieillesse, famille). * La mise en place de mécanismes d'incitation au niveau structurel (natalité, lutte contre la pollution, …) * Redistribution des revenus * Stabilisation de l'activité économique Représentation de Musgrave

CHAP 1 . DEMOGRAPHIE La population réunionnaise doit son évolution, jusqu’aux années 1910, aux seuls effets des mouvements migratoires et non à son accroissement naturel. Dès le début du XVIIIème siècle, l’économie de plantation génère des besoins en main d’œuvre qui seront couverts par l’importation des esclaves jusqu’en 1848 et par l’arrivée des engagés Indiens jusqu’à la fin des années 1880. Le dernier quart du XIXème siècle est marqué pour la Réunion par une très grave crise économique et

ou d’un excès de création monétaire en regard du volume des transactions à financer. Si l’inflation semble être le mal absolu de nos jours, elle ne l’a pas toujours été, notamment durant les 30 glorieuses où la forte inflation n’a pas empêché des «taux de croissance exceptionnels». Donc, l’inflation est elle toujours et partout un obstacle à la croissance économique ? Nous verrons que jusqu’à un certain seuil l’inflation n’est pas forcément un obstacle à la croissance mais que au delà de ce seuil

Elle décrit une relation linéaire empirique entre le taux de croissance (du PIB) et la variation du taux de chômage. En dessous d'un certain seuil de croissance, le chômage augmente ; au-dessus de ce seuil, il diminue, à élasticité constante. La loi d'Okun constitue « un lien de toute première importance entre les marchés des produits et celui du travail »2 qui permet aux économistes de prévoir les effets d'un taux de croissance donné sur le chômage. Aux États-Unis, par exemple, la loi prend la forme

intègre la Hoover Institution de l’université Stanford, un centre de recherche en sciences politiques et économiques. 3 | | UN ARDENT DÉFENSEUR DU MONÉTARISME | Milton Friedman est considéré comme le chef de file du monétarisme, préconisant qu’un taux de croissance stable et non inflationniste peut être atteint en laissant librement fonctionner l’économie de marché, l’interventionnisme de l’État ne pouvant être que destructeur. Il défend l’idée que la banque centrale a pour mission d’assurer l’équilibre

Politique économique Politique économique ! l'augmentation des bas salaires, ! l'augmentation de la demande publique par l'usage du déficit budgétaire, ! une action sur la politique monétaire (baisse des taux d'intérêt). Ce type de politique à des effets positifs sur l'emplois, les revenus des ménages, mais favorise les poussés inflationnistes et aboutis à une dégradation de l'équilibre extérieur. a – Les politiques de rigueurs. Elle privilégie la lutte contre l'inflation et l'assainissement financier