Tautologie

publicitaires se distinguent en 4 catégories : 1. Les figures du mot : * La répétition : C'est la redondance d'un mot.  * L'allitération : C'est la répétition d'une même consonne (Saucisse sèche, sans savoir sécher...) * La tautologie : C'est définir le même par le même. Permet de jouer sur le prestige d'un produit. (Le cognac, c'est le cognac). (Elle est bonne, et en plus elle est bonne) Lesieur. * La rime : C'est la répétition régulière d'une syllabe. * La paronomase :

dans quelqu'une de ses langues secrètes ne renferme une signification terrible. Personne ne peut articuler une syllabe qui ne soit pleine de tendresses et de terreurs, qui ne soit quelque part le nom puissant d'un dieu. Parler, c'est tomber dans la tautologie. Cette inutile et prolixe épître que j'écris existe déjà dans l'un des trente volumes des cinq étagères de l'un des innombrables hexagones - et sa réfutation aussi. (Un nombre n de langages possibles se sert du même vocabulaire ; dans tel ou tel

l’analyse repose ici sur la loi de Say « Toute offre se crée sa propre demande, les produits d’échange contre les produits » L’analyse repose ici sur la loi Say YS =Y* Puisqu’on admet que l’offre crée sa propre demande, il s’agit en faite d’une tautologie puisque l’offre est déterminé par le niveau de production pour lequel les salariés acceptent de travailler, c’est à dire d’arbitrer entre consommation et travail. On peut donc en déduire que Yd (demande globale) est exactement = YS (offre globale)

l’éventail,  instrument rococo par excel‐ lence, est d’être au service de l’amour et des amoureux18.  Masque  lorsqu’il  est  ouvert  ou  entrouvert,  il  devient  sceptre lorsqu’il se ferme et qu’il est empoigné énergique‐ ment par la dame à l’éventail, tautologie dans une Europe  16  Ibidem,  p.  9‐11  :  «  Si  […]  dans  une  conversa on  célèbre  on  raconte  quelque  nouvelle  ou  quelque  histoire,  alors  l’éventail  doit  aller  et  venir  comme  une  aile  de  pigeon,  et  se  replier  en  tombant 

exprimer noir sur blanc. Cette e a supposition ne tient que si l’on pr´sume qu’il pense que Mr X ne vaut rien en e philosophie. C’est donc cela qu’il implicite.) Des cas limites de d´rision de la premi`re r`gle de Quantit´ sont fournis par les e e e e tautologies manifestes du type les femmes sont les femmes et ` la guerre comme ` la a a guerre. Je voudrais soutenir qu’au niveau de ce qui est dit (au sens que j’ai donn´ ` ea ce mot), de telles remarques sont absolument vides de contenu (et d’information)

s’appelle Hippias majeur. Hippias était un esthète, Socrate lui demande donc qu’est-ce que le beau ?· Le beau est une belle femme : ça ne va pas car il emploie dans la définition le mot à définir · Le beau est un beau cheval : c’est encore une fois une tautologie· Le beau est une belle marmite Hippias est représentatif des idées de son époque. Pour les grecs, seul une individualité est belle, le beau est toujours incarné. Pour eux l’infini n’es juste pas finis. Le beau est finis. Une individualité est belle

s’approche de la mosquée sinon ses souillures fantasmatiques, ses petites faiblesses, ses manquements à la règle ? Car le geste qui consiste à abolir la souillure et à purifier le déjà-purifié ne peut se comprendre que comme un déni de fantasme, une tautologie qui réinstalle par défaut la problématique libidinale au cœur du système de propreté. Un lien puissant, souvent archaïque et inconscient, associe donc la dissolution d’une souillure à une abréac- tion. Telle la résolution des conflits névrotiques

"JHVH" ne signifie ni "Je suis celui qui est (ni a fortiori, ce qui est) car telle est la définition formelle et ontique de l'unitotalité ; ni davantage : Je suis celui que je suis, formule ou l'équation immanente du panthéisme devient pure et simple tautologie, truisme métempirique, mais tout uniment : Je suis, moi qui suis, ce qui est une déclaration d'être et presque une position drastique, bien plus qu'une définition d'essence." (p. 131). "Drastique" signifiant "être en acte", " ne sont

marché mondial ». Il s’agit là d’une vision qui réduit la mondialisation à un phénomène de nature essentiellement économique. Le concept de (« mondialisation ») ne dit pas plus que le sujet (le « marché mondial »). Nous sommes en présence d’une belle tautologie. Pour ce qui est de l’origine de la mondialisation, Ziegler fait certes allusion à l’économie-monde qui se serait mise en place à partir des XVe et XVIe siècles, mais il n’élabore pas outre mesure sur ces lointaines origines historiques du phénomène

contradiction dans les termes car on ne peut pas être à la fois titulaire d’un droit et donc libre d’agir et en même temps engagé sa responsabilité au titre de l’exercice de ce droit. Certains auteurs ont fait valoir que l’abus de droit était une tautologie. Pourtant la notion d’abus de droit a été consacré par la jurisprudence à la fin du 19ème siècle, pour être reconnu dans des pends très large du droit.1) La notion d’abus de droitL’abus de droit suppose un acte intrinsèquement irréprochable et que