Tatou

journalistes parisiens, Arthur Dupin et Victor Morris, nomment ainsi les petits truands et voyous de la rue de Lappe et marlous de Belleville, qui se différencient de la pègre et des malfrats par leur volonté de s'afficher. Certains Apaches s'étaient fait tatouer un « œil de biche », une petite touche à l'encoignure des yeux. Les Apaches se déplacent en bandes, avec des accoutrements spécifiques qui leur permettent de se distinguer. L'élément le plus important de leur habillement réside dans les chaussures

en miroir (Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent). Il utilise donc le procédé d'amplification. Bien qu’elle soit un hommage aux victimes de tous les camps nazis, Ferrat parle d’Auschwitz, seul camp où les prisonniers avaient un numéro tatoué («ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres»)et où son père, juif d’origine russe,est mort. Par ces paroles il veut montrer que les hommes ont perdu leur identité. Enfin, Ferrat explique le but de sa chanson : ne pas oublier les

étranges Polish names Des noms polonais Lot of cattle wagons there Là il y avait beaucoup de wagons à bestiaux They were loaded with people Ils étaient bourrés de monde They shaved us Ils nous ont rasés They tattooed a number on our arm Ils nous ont tatoué un matricule sur le bras Flames going up to the sky - it was smoking Des flammes montaient vers le ciel - il y avait de la fumée Vocabulaire : Quatuor à cordes : ensemble instrumental constitué de 2 violons, 1 alto et 1 violoncelle Bande magnétique :

tout le trajet ». Après être surpris par le temps que Roetgen lui a donné pour aller dans son pays : « Deux mois !? ». C’est reparti pour le questionnement de Joao envers Roetgen : « Et chez vous, il y a aussi des jaguars dans le mata ? », « Et des tatous ? », « Des boas, des fourmiliers, des perroquets ? ». Grâce à tous ses questionnements de la fin du dialogue entre les deux personnages, Roetgen se rend compte que la vie au Brésil et celle en France est vraiment différente, mais que

le nom de chaque prisonnier, sa date d'arrivée, la raison de sa présence dans le camps, les délits commis, les châtiments infligés, la cause et la date du décès. Les prisonniers se voyaient attribuer, à la place de leur nom, un numéro qui étaient tatoué sur leur avant-bras. Les châtiments étaient inhumains et les prisonniers pouvaient être abattus au moindre prétexte. La nourriture étais rationnée,les hivers rigoureux et les maladies faisaient des ravage. Les prisonniers dormaient dans le gigantesques

Le lendemain, Eliezer et son père quittent le camp à pied et arrivent à Auschwitz. C’’est là qu’ils entendent pour la première fois le mot « sélection » p.89 dans la bouche du responsable de leur block. L’après-midi de leur arrivée, ils sont tatoués. Ils restent trois semaines à Auschwitz puis partent dans un camp de travail. Après quatre heures de marche, ils arrivent à Buna p.97 Eliezer et son père vont y rester de juin 44 à janvier 45.Le narrateur connait des expériences très difficiles :

l’activité scripturale et le corps en même temps, ces signifiants à cause de leur récurrence possèdent au moins trois caractéristiques : Premièrement ils constituent la trace des signes et des événements passés qui ont marqué le sujet, 60 disons « tatoué sa mémoire » pour justifier du titre donné à l’entreprise autobiographique de Khatibi. Deuxièmement, ils établissent un lien entre « l’ici » (présent de l’écriture) et « l’ailleurs » (moments et espaces ayant marqué le sujet) dans la méconnaissance

est alors perçue comme une marque faisant preuve d'originalité et d'innovation dans l'objectif de séduire les clients. Il est possible de recevoir des conseils en matière de maquillage, de se faire épiler les sourcils et la possibilité de se faire tatouer n'est pas évincée. La clientèle est assez jeune car séduite par le côté interactif et innovant proposé par la marque. Entre un coffret Flower by Kenzo, un lisseur professionnel, un mascara Lancôme, ou une crème de soins Guerlain, vous n'aurez

d’hommes. « La marque » que nous avions déjà évoquée, montre aussi la dimension spatio-temporelle que prend l’horreur : le temps passe mais « tous les survivants portent la marque » (L8), ce qui signifie que la guerre ne s’efface pas, elle a été comme tatoué dans l’esprit des soldats, et elle engendre un supplice quotidien. La dernière phrase du texte « Et nous subirons jusqu’à la fin » (ligne 26), exprime parfaitement cette notion de douleur, d’horreur de la guerre qui persiste, qui hante tous les survivants

région du corps. Mais là, on commence à touché au nucléaire. Il n’y pas de réels risques connut sur la santé, néanmoins vu la puissance du champ magnétique, il faut se méfier de bien retirer tous ces bijoux et piercing. Passer une IRM si l’on est tatoué peut également être risqué vu le plomb contenus dans certains tatouages. Comme on peut s’en douter une telle installation a un cout assez élevé. Sources : Physique 6ème edition de boek, page 67-68 l’odyssée du corps humain 2009, page 23-24