Tatou

scène est généralement calquée sur la fresque de Léonard de Vinci. Last Supper, de Andy Wahrol (1986) La Cène, de Salvador Dali (1955) Vient ensuite la photographie avec des œuvres plutôt détonantes puisque les apôtres sont tantôt des jeunes tatoués à casquette, tantôt des drag queen. Même Jésus est représenté en femme. La Cène, par Renee Cox (1996) La Cène, par David Lachapelle. La publicité s'est aussi intéressée à cette représentation biblique, pourtant, la censure n'a pas permis à la

vêtement qui est remuer par une grue. Les cases représentent les juifs qui ont été exterminer durant la seconde guerre mondiale. Les numéros sur les cases montrent que les juifs n'étaient pas appelé par leur nom mais par des numéros qui était tatoués sur eux. Les vêtements représentent les juifs. Ces vêtements rangées par rang forment les cabanes où était entassé les juifs avant d'être conduit à la mort. La grande pille de vêtement montre les juifs morts et la grues qui les remues montrent

nature hors de lui est d'emblée culturel. La culture est l'acte par lequel l'homme se pose cmme distinct de la nature. Ainsi, les travaux des ethnologues nous montrent que les indiens d' Amazonie passent de longues heures à s'épiler, à se parer, à se tatouer, pour se différencier le plus possible des animaux : l'homme interpose entre lui et l'animalité des symboles et des rites qui constituerons le monde humain.

membres d’une culture, pas claire conscience. L’ethnocentrisme est une attitude universelle : ethnocentrisme naïf qui survalorise les attitudes auxquelles on est habitué, exemple avec Lévi-Strauss, qui n’est pas reconnu comme humain car il n’était pas tatoué. Parfois, l’ethnocentrisme nie l’existence même de la culture autre : ethnocide (destruction d’une culture) et colonisation. Dans de telles situations, le « jugement » n’est pas objectif, mais la culture « dominante » peut elle être jugée de son

évoluent différemment.   Les ouvriers = les Maheu:   1) Catherine a pour couleur le noir, ce qui symbolise le charbon. 2) L'espace des mineurs est restreint et ne permet pas une grande intimité. 3) Catherine a le teint "blème" et les pieds comme tatoués de charbon. 4) Catherine est fatiguée. 5) Catherine prépare une double tartine de pain et de fromage.   Les bourgeois = les Grégoire:   1) Cécile a la peau blanche. 2) L'espace des bourgeois est clos, protégé et luxueux. 3) Cécile a un teint

avec sûrement plus de mental que les autres. Il ne veut pas devenir fou, il veut rester un humain. Pour le physique, nous n’avons qu’une descriptions des détenus de ce camp. Il dit que tout les hommes se ressemblent et qu’ils sont tous maigres, tatoués de numéro, chauves, et qu’ils sentent mauvais… D. Ton avis Ce livre ma fait découvrir la vie d’un homme dans un camp de concentration. Ils ont d’affreuse conditions de vie : peu de nourriture, ils travaillent dur (surtout en hiver, quand il

chef coupe-tifs chante. Ces fiches-ci sont à statistiquer. Les grains de gros grêlons dégradent Grenade. Allez ! Allo ? Aller allo ?… (à dire de plus en plus vite) Les chemises de l'archiduchesse sont-elles sèches, archi-sèches ? Ton temps têtu te tatoue. Lise et José, lisons ensemble et sans hésiter les usages des honnêtes indigènes de Zanzibar. Ciel ! Si ceci se sait, ces soins sont sans succès. Des poches plates, des plates poches. Le scout mange son casse-croûte cru. Mille millions de merveilleux

Berlin séparant jusqu’en 1989 Berlin Est de Berlin Ouest. Ces caisses empilées, accumulées, évoquent également les cimetières espagnols ou des urnes funéraires, mais ici les personnes ne sont plus que des numéros. Ils nous font penser aux déportés tatoués par les allemands les considérant comme de simples numéros sans identité, sans nom ni prénom. D’ailleurs le titre Personnes rapporte a cet aspect anonyme. Les ombres des visiteurs sont projetées sur le mur formant des troupes de silhouettes sombres

trouve face à une grande paroi de boîtes en far blanc piquetées de rouille. On peut dire que la paroi fait référence au mur de Berlin et les boîtes à des urnes funéraires. Chaque boîte à un numéro, ce qui nous fait songer tout de suite aux déportés tatoués par les allemands les considérant comme de simples numéros, sans identité, sans prénom ni nom. D’ailleurs le titre « Personnes » évoque l’anonymat. On entend un brouhaha qui nous fait penser que derrière le mur il y a une grande foule, on entend

la musique metal préoccupe en raison des risques de « passages à l’acte ». Les satanistes se livrent en effet au prosélytisme au cours des concerts, là où ils rencontrent « des hommes jeunes, amateurs de musique violente et de culture marginale, tatoués, piercés et parfois drogués » qui rentrent dans le profil sociologique des adeptes potentiels ! L’autre mode de recrutement reste la toile du net. Pourtant les Pouvoirs Publics constatent finalement peu de dérives de la part d’auditeurs de musique