Tatou

doivent se déshabiller entièrement, ensuite on vient leur raser leur barbe et leur cheveux, puis ils doivent traverser dehors dans le froid avant de recevoir de nouveaux vêtements tous similaires et d’être attribué à un block. Pour finir ils se font tatouer un numéro sur le bras qui leur servira de matricule, ils n’ont plus de nom désormais, c’est in nombre. Cette sélection associe les hommes aux animaux, ils sont rasés et habillés de la même façon, on les sépare dans des groupes selon leur numéro d’identification

famile fut aussi arrete ils sont détenu 1 semaine environ puis ils furent emmenée a drancy le 7 avril 1944 ou ils resterent 2 semaine . Puis le 11 avril 1944 dans le convoi 71 de 1 400 personne elles arrivent en pleine nuit elles furent raser et tatouer elles vivaient dans des condition terrible un jour dans le camps simone fait la rencontre de stenia la chef des capo qui lui dit qu'elle etait trop belle pour mourir la .Elle sa soeur et sa mère sont envoyer a bobrek un camp réputée pour etre

31 000" (du numéro de matricule des prisonniers, dont font partie, 230 femmes, parmi lesquelles Danielle Casanova, Charlotte Delbo, Marie-Claude Vaillant-Couturier, Maï Piolitzer, qui partiront pour Auschwitz, puis Ravensbrück ; - le "Convoi des tatoués", qui regroupe 1 700 hommes, pour un grand nombre d'entre eux des résistants communistes, dont le poète Robert Desnos. Au total 28 convois transportant 39 559 personnes partiront vers les camps : Auschwitz et Auschwitz -Birkenau (5 152) ; Sachsenhausen

les mineurs défient la mort on peut entendre « tuez-nous », les mineurs ont un mépris exalté de la mort. De plus Maheu lui expose sa poitrine ceci signifie qu’il montre son cœur et, qu’il n’a plus rien, même plus de vêtement. On dit que Maheu est tatoué de charbon, c’est la preuve que c’est un mineur depuis sa plus tendre enfance. L’évocation des baïonnettes fait penser à un mur, on évoque l’art militaire. Les insultes que les mineurs jettent aux soldats font penser aux flèches du film 300. La mort

polaire, la péruche de Caroline, le pic à tête blanche, la pie grièche migratrice, le pluvier siffleur, le puma, le putois d'Amérique, le renard gris, le renard roux, le renard véloce, la salamandre tigrée, le saumon sokeye, les singes, le tapir, le tatou géant, la tortue batarde, la tortue des bois, la tortue luth, la tortue molle à épines, la tortue mouchetée, la tourte, la vigogne. En Europe, l'aigle royal, le caméléon commun, la cigogne, l'écureuil roux, le grand pingouin, l'hippopotame nain

voyage de Cook vers Tahiti en 1772 employa pour la première fois le mot Tatoo. En 1858, le mot fut officiellement francisé en Tatouage et fit son apparition dans le dictionnaire de Littré. Les raisons pour lesquelles les gens choisissent d'être tatoués sont diverses : identification à un groupe, cosmétique, rituel religieux, exemple de théorie du handicap[2], et utilisations magiques sont les plus fréquentes. Aussi, la sociologie du corps les tient pour un objet d'étude important. À l'origine

représentatifs d'un camp d' extermination ): On a une despcription précise d'un camp . Les Nazis ont tenté de détruire les crématoires pour détruire les preuves. -Costume rayé des deportés -Le mirador -Le numéro de matricule des déportés tatoué -Les gardes avec les chiens ( surveillance) -Le transport de cadavres -Le four crématoire ( apres que les cadavres reviennent des chambres à gaz) Au premier plan , on aperçois le personnage Davis Olère , il a le regard vide , méfiant et effrayé

deux premières strophes : « Nus et maigres tremblants », « Ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres » il évoque la déshumanisation des déportés par la perte de la dignité et de l’honneur. De plus, les déportés avaient un numéro tatoué sur leurs bras, d’où la comparaison avec des nombres. Dans les deuxième et cinquième strophes : « Ils ne devaient jamais plus revoir un été », « Ils n’arrivaient pas tous à la fin du voyage » évoque l’extermination des déportés, une grande partie

penser à un cimetière avec des sépultures gisant au sol.L'installation des poteaux et des câbles indiquant le chemin que les visiteurs doivent suivre fait penser au débarquement des juifs dans les camps. Les caisses numérotées évoquent les déportés tatoués par les allemands, considérés comme de simples numéros sans identité. D'ailleurs le titre de l’œuvre « personnes » reflète l'anonymat. 3)Où a-t-elle été produite ? Quand ? Qu'est-ce que Monumenta ? Elle a été produite au Grand Palais à Paris en

entièrement cultivé, et son rapport à lui-même comme à la nature hors de lui est d'emblée culturel. La culture est l'acte par lequel l'homme se pose comme distinct de la nature.Les indiens d'Amazonie passent de longues heures à s'épiler, à se parer, à se tatouer, pour se différencier le plus possible des animaux : l'homme interpose entre lui et l'animalité des symboles et des rites qui constitueront le monde humain. 5. Comment penser le rapport nature / culture ?Là où commence l'humanité, la nature s'arrête :