Talus

grande de leur passion malheureuse pour l’herbe et les vastes horizons. Ils ont suivi les rues encombrées, ils arrivent éreintés2 et suant, dans le flot de poussière que leurs pieds soulèvent; et ils s’assoient en Famille sur le gazon brûlé du talus, en plein soleil, parfois à l’ombre grêle3 d’un arbre souffreteux, rongé de chenille. Derrière eux, Paris gronde, écrasé sous la chaleur de juillet ; le chemin de fer de ceinture siffle furieusement, tandis que, dans les terrains vagues, des industries

le sentier n’était pas assez large pour laisser passer l’armée. Les mages volaient sur leurs bêtes au dessus de leur armée, parfois on pouvait apercevoir leurs ombres au clair de Lune. Quand ils s’approchèrent de la ville la plus proche, qui était Talus, les soldats de première ligne virent un soldat d’Andar qui marchait sur un chemin, il portait une armure bleue. Quand il leva les yeux aux bruits des milliers des pas qui s’avançaient vers lui il n’eut même pas le temps de donner l’alarme qu’il tomba

taureau, et continuellement lançait des mottes de gazon qui l'aveuglaient, tandis qu'elle criait : - « Dépêchez-vous ! dépêchez-vous ! » Mme Aubain descendit le fossé, poussa Virgi-nie, Paul ensuite, tomba plusieurs fois en tâchant de gravir le talus, et à force de courage y parvint. Le taureau avait acculé Félicité contre une claire-voie ; sa bave lui rejaillissait à la figure, une seconde de plus il l'éventrait. Elle eut le temps de se couler entre deux barreaux, et la grosse bête, toute surprise

bruissantes. D'ailleurs il n'y a rien à voir là-dedans.      Les prés remontent aux hameaux sans coqs, sans enclumes. L'écluse est levée. Ô les calvaires et les moulins du désert, les îles et les meules.      Des fleurs magiques bourdonnaient. Les talus le berçaient. Des bêtes d'une élégance fabuleuse circulaient. Les nuées s'amassaient sur la haute mer faite d'une éternité de chaudes larmes. III      Au bois il y a un oiseau, son chant vous arrête et vous fait rougir.      Il y a une horloge

descendant de la citadelle par la même voie que lui pour le poursuivre, et il s'apprêtait à se défendre. Enfin il arriva au bas de la grosse tour sans autre inconvénient que d'avoir les mains en sang. Il raconte que depuis le milieu de la tour, le talus qu'elle forme lui fut fort utile; il frottait le mur en descendant, et les plantes qui croissaient entre les pierres le retenaient beaucoup. En arrivant en bas dans les jardins des soldats il tomba sur un acacia qui, vu d'en haut, lui semblait avoir

Campbell. Bastion Définition : 1. Le bastion est un des éléments des fortifications classiques. Il remplace, dans celles-ci, la tour pour fournir les feux de flanquement sur la courtine et défendre les angles du corps de place. Il est constitué par un talus de terre appuyé sur le mur intérieur du fossé, l'escarpe. ... Trypanosomiase Définition : 1. Les trypanosomiases sont des infections aux parasites trypanosomes. Les trypanosomiases humaines sont endémiques dans deux régions du monde : l'Afrique

(densité humide, densité sèche, densité spécifique). Afin de déterminer les efforts qu’exerce un sol, on doit impérativement déterminer sa densité (elle se situe entre 1 et 2.2). On sait aussi que le poids du sol est à la base de la mobilisation des talus et dans le cas de remblayage pour route, aérodrome…. La densité est utilisée comme paramètre de contrôle. 2. DEFINITION : La teneur en eau d'un matériau est le rapport du poids d'eau contenu dans ce matériau au poids du même matériau sec. On

(Nouvelles maladies)  Une pollution des eaux, des nappes phréatiques, des sols.  Des problèmes dus à l’érosion : pour rentabiliser l’agriculture, on fait disparaître les paysages de bocage (champs fermés), on arrache les haies, les arbres, on rase les talus. => Openfield : paysage de champs ouverts.  La modernisation coûte cher : les exploitations traditionnelles (notamment en moyenne montagne) ne sont pas capable d’en supporter les frais et elles disparaissent. Une remise en cause de l’agriculture

galopent entre les croix. Des grenades éclatent, lancées de partout. Une mitrailleuse glisse sous une dalle, comme un serpent et se met à tirer, au tir rapide, fauchant les ruines. - Ils sont dans le chemin, répètent les voix. Et, aplatis contre le talus, des hommes lancent toujours des grenades sans s'arrêter, de l'autre côté du mur. Par 15 dessus le parapet, sans viser, les hommes tirent. Toutes les tombes se sont ouvertes, tous les morts se sont dressés, et, encore aveuglés, ils tuent dans le

ravine » (p.62), « derrière le bois » (p.62). Toujours plus loin dans un endroit où personne ne passe jamais. Zidore l’isole pour mieux le faire souffrir, et une confrontation s’en suit alors avec le cheval : « Il s'asseyait à dix pas de lui, sur un talus, et il restait là une demi-heure, lançant de temps en temps un caillou tranchant au bidet, qui demeurait debout, enchaîné devant son ennemi, et le regardant sans cesse, sans oser paître avant qu'il fût reparti. » (p.62) Cette scène dramatique et descriptive