Ségrégation Socio Spatiale

Fiche concept La gentrification I La gentrification : définition A/ Définition dans le Dictionnaire de la géographie de Jacques Levy et Michel Lussault : « Dans un quartier urbain, processus d’installation de résidents d’un niveau socio-économique plus élevé que celui des populations initialement résidentes.» La gentrification désigne un phénomène de renouvellement urbain, une forme particulière d’embourgeoisement qui concerne les quartiers populaires anciens et centraux. Ce processus provoque

une sectorisation sociale (apparition de centres périphériques, de banlieues) - Les travaux entraînent 1,5 milliards d’euros de dette publique car ils ne sont pas toujours remboursés. En conclusion, l’haussemanisation, c’est aussi la ségrégation socio-spatiale. C. Dominants et Domninés La société industrielle va mettre en avant un groupe de dominants. On parle généralement pour eux de bourgeois conquérents, d’investisseurs ou d’industriels alimentés par l’idéologie libérale. Ce sont les

rapide de son espace en faveur de nouvelles réalisations et la création de nouveaux emplois. Ceci favorise bien sûr le peuplement de la région mais malheureusement engendre actuellement un manque de cohérence et de continuité dans son organisation spatiale, dues essentiellement à l’empiétement sur les terrains fertiles. Devant cette situation alarmante, et après confirmation de la dégradation et la détérioration du site, une autre investigation inhérente à une recherche doctorale [2] fut élaborée

l’un des enjeux majeurs dans le développement et l’organisation des rapports entre la ville et ses banlieues,  à savoir la question de la sécurité. Nous mettrons ainsi l’accent sur les problèmes de violences urbaines. §1 : La ville, espace de ségrégation ? le cas des Banlieues On va essayer de présenter pourquoi les villes génèrent automatiquement une extension continue. Il y a une idée de distance croissante entre le domicile et le lieu de travail. Cela va entraîner une spécialisation des

Cours TL L/ES Géographie : Quels sont les contrastes spatiaux de développement du Brésil ? (3)     D. En quoi les contrastes sociaux sont-ils très forts ?                           1. Quels sont les contrastes entre villes et campagnes ?   Quelle est la situation générale ?   _ Le Brésil compte 65 millions de pauvres. C’est un des Etats les plus inégalitaires en matières de revenus et de conditions de vie. _ De profondes inégalités se maintiennent. Il y a au Brésil des populations riches :

leur habitat : n’être pas dépendant du monde extérieur, maîtriser la sphère du chez soi et de l’intime » (p. 1). Ainsi, les auteurs montrent que si l’habitat pavillonnaire est associé, par les tenants du courant moderniste entre autres, au désordre spatial des agglomérations, il incarne au contraire l’ordre pour les individus : ordre social, par la possibilité de refuser le voisinage forcé du collectif source de tensions sociales, mais aussi ordre résultant « des possibilités individuelles d’aménagement

différents facteurs déstabilise le pouvoir, d'où le coup d'État de Motobu en 1965. Le Rwanda et le Burundi, autres colonies belges, obtiennent leur indépendance en 1962. L'indépendance ne profite pas toujours aux peuples noirs, comme en témoigne la ségrégation raciale dont ils font l'objet en Afrique du Sud. De plus, ils restent toujours dépendants des Occidentaux et des cours du marché mondial souvent fixés par les centres financiers des pays développés. La spécialisation de leurs économies, spécialement

perspective historique La ville, dans la civilisation occidentale, a très peu connu de mixité sociale. Elle s’organisa en quartiers spécialisés, où s’implantèrent les différentes activités économiques ; dans chaque quartier s’installa une catégorie socio-professionnelle de la population urbaine, en rapport avec l’activité dominante du quartier. Si certains quartiers avaient uniquement une fonction résidentielle, la mixité sociale n’en fut pas pour autant présente. Ainsi, dès l’antiquité romaine, on

monde / Riches et pauvres dans le monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68 • L’UE : un espace encore inégalitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 • L’Afrique du Sud face aux inégalités socio-spatiales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 • Los Angeles : une ville multiethnique et inégalitaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 • Le Brésil : une des sociétés les plus inégalitaires du monde . . . . . . . . .

qu'elles consomment la part la plus importante des ressources tout en produisant la majeure partie des déchets et de la pollution; • qu'elles sont le théâtre de problèmes sociaux critiques et sérieux tels que les conflits, la violence, la ségrégation et les risques sanitaires. En dépit de passés souvent prestigieux dont témoignent les héritages bâtis, dans nombre de ces agglomérations, les mécanismes traditionnels qui avaient sans cesse réadapté, à des contextes changeants, les tissus urbains