Systéme De Financement Marocain

Historique et introduction : Certes le marché financier marocain n'a pas été toujours en mesure de résoudre les Problèmes de financement de l'économie nationale, mais a su se reconvertir et s'adapter aux mutations de l'économie mondiale.la création d'un ensemble d'institutions financières de grande envergure : Bank Al Maghreb, la Banque Marocaine du Commerce Extérieur, la Banque Nationale pour le Développement Économique, la Caisse d'Épargne Nationale

Architecture du système bancaire marocain 2009-2010 SOMMAIRE  RAPPEL HISTORIQUE LE PAYSAGE BANCAIRE MAROCAIN L'ACTIVITE DES BANQUES   RAPPEL HISTORIQUE - 2éme moitié du 19ème siècle: apparition des premiers guichets bancaires. - Banque d'Etat du Maroc: • • • Institution en 1906 par Acte d'Algésiras, signé par douze pays européens, les Etats-Unis d'Amérique et le Maroc; Création en 1907 à Tanger, sous forme de société anonyme; Financement par les pays signataires, à

* L’adaptation des systèmes de formations avec les besoins du marché de l’emploi * Le lancement des programmes de formation par l’ETAT pour faciliter l’insertion des jeunes diplômés dans le marché de l’emploi * Réduire la dépendance de l’agriculture des conditions climatiques notamment par la généralisation des systèmes d’irrigation * La généralisation du système bancaire surtout dans le monde rural * La modernisation et le développement du système d’enseignement * Le

prioritaire. le système financier marocain est régi par la loi bancaire de 1993 qui a uniformisé le cadre juridique des établissements de crédit et renforcé la protection de la clientèle grâce à un système de réglementation et de contrôle conforme aux normes internationales. Effectivement le Crédit Agricole marocain (CAM) assujetti à la même structuration financière bancaire, et étant un instrument stratégique de la politique agricole, grâce à son expérience dans le financement de l’agriculture

L’impact de la Titrisation sur le Système bancaire marocain La problématique : La titrisation est une technique d'ingénierie financière, consiste à transformer certaines créances bancaires illiquides en titres liquides et négociables, représentant ainsi une innovation majeure du système financier international. En d'autres termes, la titrisation a donné naissance à une gamme d'instruments de dette qui élargit la gamme d'instruments négociables à la disposition des investisseurs. Attirés par

de recherche qui travaillent sur des thématiques prioritaires (réseaux, pôles de compétence) ; • procéder à l’évaluation et d’assurer le suivi de toutes les activités de recherche ou de services dans lesquelles il est impliqué. o L’Institut Marocain d’Informations Scientifiques et Techniques : Crée en 2003, sous la tutelle du CNRST et constitue son opérateur de recherche, il a pour objectif

PLAN Rapport exécutif 3 Chapitre préliminaire 6 Partie 1 : L’introduction du marketing dans l’univers bancaire au Maroc 9 Chapitre 1- Le marché bancaire Marocain (Organisation et fonctionnement, atouts et potentialités du secteur, les difficultés actuelles, les objectifs à terme) 11 a. Les banques contrôlés par l’Etat b. Les banques commerciales Section 1- Le marché bancaire des particuliers 13 Paragraphe 1 : Le marché bancaire

Secteur Bancaire au Maroc Problématique : secteur bancaire marocain, qu’elle perspective ? Plan : Introduction : • Définition de la banque Développement : 1. Secteur bancaire au Maroc 2. Les caractéristiques du secteur 3. Les avantages 4. Les risques Conclusion Une banque  est une entreprise qui gère les dépôts et collecte l’épargne des clients, accorde des prêts et offre des services financiers. Elle effectue cette activité en général

plan dans l’économie marocaine. Elle facilite les transactions commerciales, tant au Maroc qu’avec l’étranger, en assurant le paiement et le change. Elle permet la réalisation des projets d’investissement des entreprises et des ménages, en apportant des financements adaptés. Elle occupe une place prépondérante dans le placement et la gestion de l’épargne ; elle est l’acteur principal des marchés de capitaux. Parmi ces organismes financiers, le Crédit Populaire Marocain jouit d’une réputation

par l’entrée en vigueur de la réforme de la loi bancaire et des statuts de la Banque centrale consacrant son autonomie. IVoir également annexes I et II Un paysage bancaire marocain toujours plus concentré I.1 Un potentiel de développement encore très important : A fin décembre 2006, les 16 banques agréées marocaines offraient un guichet pour 7 300 habitants (1 pour 2 400 en France). Le taux de bancarisation s’élève à 37% de la population totale et 1/3 du réseau bancaire est concentré sur l’agglomération