Systeme Electorale De La France

concepts pour approfondir l’analyse (s’efforcer de proposer des interprétations affinées sur des évènements politiques tels que les manifestations (routinières, spontanées, de crise)- Pierre Fabre) ; formulation de lois tendancielles (sociologie électorale (André Siegfried) => analyses stratégiques (calcul sur les choix rationnels des électeurs et analyses écologiques (insertion de l’électeur dans son environnement social, religieux, etc). A l’inverse, ces discours sont différents du discours

souveraineté par la voie de la représentation (l'élection) ou par la voie de la démocratie semi-directe (le référendum). Classiquement pour être citoyen d'un État, il faut d'abord en posséder la nationalité, elle peut être obtenue de 3 matières possibles en France : soit par la filiation (droit du sang), soit par la naissance sur le territoire de l'État en question (droit du sol), soit par la naturalisation. La possession du statut de citoyen se caractérise par la jouissance d'un certains nombres de droit

de prescriptions, il y a une délimitation selon l’accord qu’on vous donne, ce n’est pas infini, dans cette situation il est plus facile de prendre une décision vu que le nombre réduit et complexe Interdiction de l’inceste complexe : ce sont des systèmes où il y a seulement des interdictions de relations/mariage, les choix s’étendent donc II- La famille une institution essentielle Même si l’idée de la famille reste floue, il n’y a pas de société sans famille. La famille doit être utile à quelque

nationale et la démocratie». Avec cet article, la Constitution de 1958 reconnait officiel les partis ce qui est une innovation. Leur reconnaissance officielle par la Constitution de 1958 a donné lieu à la mise en place d’un statut juridique et d’un système de financement public. Le statut des partis politiques est très souple. Ils constituent de simple association de la loi de 1901. Ils jouissent de la personnalité morale et à ce titre ils ont le droit d’ester en justice (aller devant un juge), ils

c'est Giorgio Napolitano qui gouverne l'Italie, depuis 2006. Nous allons voir la justice, le régime parlementaire, le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif, le mode de scrutin ainsi que l'état en Italie et ensuite nous allons les comparer avec la France. La Justice dans le pays Depuis qu'elle a activement participé à la chute de la « première République » par son action contre la corruption des élites gouvernantes, la magistrature est devenue un acteur central de la scène politique italienne

République doit donc avoir des attributions réelles lui permettant d'assurer ses missions en cas de crise ou pour dissoudre l'assemblée. DG avait ainsi déclaré à Bayeux en 1946 : « C'est du chef de l’Etat, placé au-dessus des parties, élu par un collège électoral englobant le parlement mais beaucoup plus large, que doit procéder le pouvoir exécutif.». C’était au moins un régime parlementaire dualiste qui était envisagé par DG. On dit dualiste parce que le pouvoir exécutif va être composé de 2 organes :

peut recevoir plus de 500 € par an (ou la contre-valeur en nature) d'une même personne physique. Lors de la discussion de la loi sur la limitation des dépenses électorales, un des objectifs poursuivis était de rétablir une plus grande égalité entre partis face à l'argent, afin de préserver le caractère démocratique du système électoral et de favoriser l'indépendance des mandataires politiques. Il en a découlé que l'égalité des partis en matière financière ne pouvait se concevoir sans un financement

révolutionnaire se succèdent, la chute de Robespierre le 9 Thermidor de l’an II, le 27 juillet 1794. Les Thermidoriens, qui sont les acteurs principaux de la chute du gouvernement révolutionnaire, auront le pouvoir constituant originaire et gouverneront la France cela jusqu'à l’établissement du Directoire et même jusqu’à sa fin, lors du coup d’état de Brumaire. Ainsi nous allons nous intéresser à la période précédant le Directoire et à la Convention thermidorienne. Cette Convention qui constitue la dernière

dans les préoccupations sociales, un irréalisme constitutionnel est apparent. Cette pesanteur du passé les a incités à tenir compte de la tradition républicaine et les Constituants ont ressourcé un monocamérisme (type 1791 ou 1793) combiné avec un système présidentiel inspiré (du fait de Tocqueville ?) de l’exemple américain. Mais les Constituants n’ont pas précisé s’il s’agissait d’un régime présidentiel ou non. Le préambule fait une large place aux principes et buts de la République, la devise révolutionnaire

n'est pas aussi tranchée que l'on pourrait le croire! En effet, d'une part, cette distinction n'existe pas au sein de certains systèmes juridiques (droit anglo-saxon ou islamique: on parle de droit théocratique*). D'autre part, la limite entre ces deux droits n'est pas fixe: elle évolue en permanence en fonction des politiques mis en œuvre par les gouvernants; certains systèmes politiques requièrent le mélange des deux droits: public et privé (ex: décisions prises sur l'environnement). Il faut