Synesthésie

et exagération III. L'ironie 1) des sentiments romantiques - contradiction entre passé simple qui montre un étourdissement -> ironie de l'état du personnage - hallucination visuelle va s'exprimer par une accumulation de la nature -> synesthésie (plusieurs sensation vu + toucher) : personnification "feuillage frémissait" "jonc sifflaient" et champs lexical de la nature -> poésie qui montre la passion amoureuse, ici l'adultère - hyperbole "si grand, si noirs, ni du telle profondeur" :

rendre compte qu’ils sont en train de rêvasser et qui laisse vaga bonder leur esprit tout en gardant un certain contrôle trouverons des solution s à leurs problèmes de créatifs... Ou de nouvelles idées (voir l’article sur la phase deux et les synesthésies). L’égo s’efface un instant et toutes les ressources de l’individu sont mobilisées. Directement inspirée par l’affectif, cette zone lég ère et insaisissable apparaît comme une parenthèse dans le temps. L’imagination se différencie du rêve

mais ce n’est pas un sonnet. Baudelaire invente une forme originale de poème qui n’existe pas avec notamment des vers en cinq syllabes qui d’après les règles doivent être toujours paires, pour faire passer les sentiments et traduire une forme de synesthésie. Les dernières œuvres que l’on peut introduire dans ce corpus sont deux textes de rap similaires: « Lettre à la république » de Kery James et « Fautes de Français » de Lino, deux musiques dites « conscientes », qui ont pour but de dénoncer ! En

l’élément Air très forte dans le texte, la comparaison introduit l’idée de disparition. Thème lyrique et pessimiste de la fuite du temps. « Comme un sanglot coupé par un sang écumeux Le chant du coq au loin déchirait l’air brumeux ; » Synesthésie ici : image visuelle (sang, blanc et rouge se mélangent), mêlant perception auditive (Le chant du coq). Violence du réveil symbolisée par le verbe « déchirait » et les allitérations en occlusives et en [r]. = comparaisons renforcent toutes l’expression

phrase en éventail : 1 V prin régit pls sub=3 dernières strophe ; existe étroit rapport entre gigantisme et analogie femme/paysage. II° Correspondance femme/paysage : B : invente métaphore correspondance, 2 forme ; correspondance horizontal : synesthésie=personne mélange 2 sens=b fait rapport entre diff sens ; correspondance vertical : monde bas=pâle reflet monde haut= philo Platon. 1) Différente métaphore utilisé : Alors que comparaison : maintient dualité comparé/comparant, métaphore fait du

éthopée et prosopographie : cette Vénus n’est pas seulement repoussante physiquement elle est aussi « lente et bête ». II) les deux tercets : le dégoût du poète et le lyrisme de la laideur > vocabulaire des sens pour décrire la répulsion cf. la synesthésie (convocation de références olfactives et gustatives dans un même mouvement, métaphore fondée sur les correspondances sensorielles) au vers 9 (volta, retournement, passage au dégoût du poète) : « le tout sent un goût / horrible ». Expression qui

entre les hommes et le monde III-Le rôle du poète Sonnet révèle la situation de l’homme face à la nature, espace de communication avec le divin —> importance du langage + du poète Le langage -Créateur d’analogies (capacités polysémiques) -Synesthésies révélées par des adjectifs renvoyant à des domaines sensoriels « frais », « doux » -D’autre termes également : « échos », « vaste », « chantent » (sens polysémiques) -Brouillage apparent des significations : révélateur de confusion, richesse, difficultés

le père de la poésie moderne pour deux raisons : D’une part il a toujours condamné la poésie Française à la prose rimée, il préconisait le dérèglement de tous les sens comme il se propose de mettre des couleurs aux voyelles où il fait usage de synesthésies. D’autre part, par le rejet du « JE » conscient Rimbaud préfigurait la conception du poète surréaliste qui était alors considéré comme une machine d’enregistrement. Il proclamait que le poète doit se mettre en retrait pour observer le déroulement

souvenirs, dans la société qui ne comprend pas Baudelaire. 3) D’une part dans le poème De profondis clamavi Baudelaire évoque d’abord : « univers morne à l’horizon plombé », cela dépeint l’Ennui que ressent le poète en regardant au dehors. La synesthésie « horizon plombé » exprime un sentiment de lourdeur, et met en exergue l’effort que fais le poète quand il regarde le paysage qui lui pèse. L’Ennui de Baudelaire se retrouve dans ce poème au travers de la métaphore : « écheveau du temps lentement

femmes pour écrire les poèmes de son recueil Les Fleurs du Mal (1857) qui témoigne de la coexistence de la beauté et du mal. Les poèmes de son recueil comme «L’ennemi», «Le voyage» et «L’albatros» se constituent de jeu d’analogie. Par le jeu des synesthésies, montrer que le poème «Le serpent qui danse», extrait des Fleurs du Mal, de Baudelaire est représentatif du Symbolisme. La démonstration de cette affirmation sera faite par l’explication de la correspondance entre la femme et le serpent, de l’association