Synecdoque

1.1 Les figures d’analogie et de substitution qui rapprochent deux éléments (comparaison, métaphore, personnification, allégorie, symbole) ou qui désigne un élément sous une autre dénomination (périphrase, métonymie, synecdoque). a/ La comparaison  : elle met en relation un comparé (élément qui est comparé) avec un comparant (élément auquel on compare) au moyen d’un outil

contre les maures. Elle utilise le vocabulaire de la victoire : « victoire » (v. 8); « vaincus » (v. 12); « vainqueur » (v. 20) et de plus qualifie celle-ci d’ « entière », annonçant ainsi le triomphe total de Rodrigue. De plus, Corneille utilise une synecdoque tout au long de la scène qui apparait telle une allégorie de l’héroïsme, il s’agit de l’image de « la main » qui est en effet filée jusqu’à la fin de la scène. Cette « main » semble être l’objet de la victoire, elle semble jouer un rôle à part entière

la réalité fait comprendre que Attale manque de foi. Nicomède se met sous la tutelle de Annibal pour s’adresser à Flaminius, dans le but de l’intimider, Flaminius quant à lui croit simplement que Nicomède n’agit que par passion en utilisant une synecdoque, « en son cœur ». Nicomède donne une leçon de morale politique à Flaminius, la maxime dit « qui partage vos biens aspire à votre mort », autrement dit les amis veulent la mort de leurs proches pour en fait accéder à leurs biens, rares sont les personnes

jumeaux » - Par ailleurs, le deuxième quatrain est fondé sur la répétition martelée du chiffre symbolique « deux » présentant deux êtres qui fonctionnent en paire et qui ne sont désignés que par deux synecdoques évocatrices, révélatrices de leur accord total à savoir « cœurs »/ « esprits ». - Cette synecdoque lie relation amoureuse et passion platonique, accord sentimental et complémentarité des esprits. Baudelaire retrouve ici le célèbre mythe de l’âme sœur. b- Contraste entre la profonde unité du

cœur s’en soit allé. ». Nous avons ici une synecdoque dans laquelle Verlaine est représenté par son cœur. En effet, c’est lui qui s’en est est allé. Dans cette complainte il se représente comme une être fragile, qui ne contrôle pas ses sentiments, puisque malgré sa décision de quitter cette femme son âme est toujours triste. Il donne l’impression avec cette fuite qui le rend malheureux de ne pas vouloir faire face à la réalité. Aussi grâce à cette synecdoque il remet en cause son cœur plutôt que lui

qui ne se répète pas Choix du style : Direct, Indirect, Parataxe 3) Troisième lecture : étude des images Outils de ce niveau d’analyse : Recherche des figures de rhétorique à partir de l’étude des comparaisons, métaphores, métonymies, synecdoques, hyperboles, litotes Quel effet l’auteur a-t-il voulu produire ? 4) Quatrième lecture : étude des sons et des rythmes Outils de ce niveau d’analyse : a) Etude du rythme Rythme binaire : évoque en général l’affectivité, le mouvement

des animaux » pour exprimer le lion, ou encore « la ville lumière » pour Paris. La synecdoque :La synecdoque consiste à employer un mot en exprimant un sens plus large ou plus restreint qu’habituellement.Pour exprimer les navires, Victor Hugo disait « les voiles au loin ».

actancielle des yeux.  « Je n’ai pas chaud »  Litote = j’ai froid  Comme des individus autonomes  Comparaison  Sa bouche souriante  Synecdoque de la partie pour le tout (la bouche pour la personne)  Ses yeux regardaient  Synecdoque de la partie pour le tout (les yeux pour la personne)  Cher à son cœur  Métonymie  La nuque frêle et pâle  Synecdoque.  Ses yeux pâles  Métonymie synecdochique (c’est tout le visage qui doit être pâle).  « J’ai vu ces diables acharnés »  Métaphore

une stratégie rhétorique qui consiste à démontré que l’expérience d’une souffrance liée à la polygamie est partagée par plusieurs femmes «  je comptais les femmes connues, abandonnées ou divorcées de ma génération. (p78) 8-Une synecdoque Définition : La synecdoque est une figure de style qui consiste à prendre la partie pour le tout, la matière pour l'objet, le contenant pour le contenu, etc... et inversement. Exemple 1: "pour éviter de le blesser sous mon toit" (P126) Exemple 2 ‘’délice

religion. On voit donc que ce n’est peut être pas une réelle éloge et on va voir qu’il y a beaucoup de critique de la littérature Une critique de la littérature Un livre est désigné par son personnage à chaque fois, cela le réduit à son personnage (synecdoque) et non pas à son histoire On a aussi la critique des livres par rapport au christianisme : eau bénite pour bénir les livres, enchanteur, discours ext… Certains livres doivent même être conservés sans être lu puisque leur lecture ne respecte pas