Synecdoque

métaphore in absentia synécdochite particularisante : Métaphore in absentia sauf à la fin elle devient in praesentia (Belzébuth) mis pour la femme Synecdoque particularisante cas ça aurait pu être n’importe quel astre mais c est la lune. Ver 2 « emmitoufle toi d’ombre » : oxymore car emmitoufler a une connotation douillette, chaude et ombre une connotation de froid, d’impalpable. Antithèse entre la

1 Madame Patricia Louette Quatrième cours – lundi 14 février 2022 LGC – littérature – TD de tronc commun L1 – Semestre 2 – groupes L2LM14T04 & L2LM14T05 patricia.louette@orange.fr ______________________ Sommaire ______________________ Tutorat suite ■ Correction du DM • Grille de notation du commentaire composé Repérages sur le texte 3 de Chamisso ■ Dostoïevski (1821-1881) • Biographie • Genèse du Double • Résumé du Double Repérages sur le texte 4 de Dostoïevski

plusieurs mots ce qu'on pourrait dire en utilisant un seul terme. Exemples : le conseiller des grâces (« le miroir ») et les commodités de la conversation (« les fauteuils ») sont des périphrases. [Molière, Les Précieuses ridicules] Synecdoque (féminin) Une synecdoque est une variété de métonymie qui consiste à donner à un mot un sens plus large ou plus restreint qu’il ne comporte habituellement. Exemples : • • Dire « Il y a environ deux cents têtes dans ce théâtre » pour « Il y a environ deux

permet d’assurer visuellement l’omniprésence de la femme aimée. Il dit également l’obsession et l’amour. b) Un poème d’amour - « ma chérie » - Synecdoque « mon cœur », « un cœur le mien » - Hyperbole + personnification « un cœur… te suit jusqu’au bout du monde » ⇨ Multiplication des mots de tendresse, synecdoque habituelle aux amants « mon cœur » mais il renouvelle l’expression puisque le cœur est également personnifié comme un compagnon de voyage fidèle qui suivra Lou

Pourquoi partir ? Le poète dépeint en même temps une fuite écœurée et une échappée belle mais l’expédition paraît hasardeuse. Analyse linéaire Vers 1 : Le ras le bol est traduit par la satiété des désirs physique avec la présence de chair (synecdoque). Blasé sur les désirs intellectuelle « j'ai lu 'tous' les livres » → hyperbole. On peut aussi remarquer la plainte pathétique : interjection « hélas » mise en valeur par « ! » → coupe à l'hémistiche. Vers 2 et 3 : - blasé

"contenu de", "cause de", "conséquence de", "origine de", "symbole de" etcOn voyait des clairons à leur poste gelés (Hugo,Les Châtiments ) SYNECDOQUE (n.f): désignation d'une réalité au moyen d'une autre réalité liée à la première par une relation d'inclusion.Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur (Hugo, Les Contemplations) ANTONOMASE (n.f): synecdoque d'individu qui consiste à employer un nom propre pour un nom commun, ou l'inverse....nous en donnerons sur dos et ventre à tous ces petits Catons

l’enfant une armée prête à s’éveiller-Tout enfant a peur de la forêt nocturne. B-Puis le réveil . - mouvement de l’enfant provoque l’éveil de la nature → réveille « les haleines vives et tièdes »,-« haleine » fonctionne comme une synecdoque, partie désignant un tout beaucoup plus vaste.- Il s’agit des haleines des animaux que l’enfant réveille par son passage ou des parfums qui émanent de la terre et de l’humus- « haleine » apparaissant → métaphorique alors.- éléments minéraux maintenant

menace peut-être de se suicider au vers 18) ou un assassin envoyé par elle (ce qu'elle fera) ? · La tonalité du passage : Lyrique, cette tirade décrit les sentiments d'Hermione prête à tout par amour. Le champ lexical de la passion s'y mêle à la synecdoque du coeur qui s'exprime ou qui s'absente vers l'être aimé. C'est une véritable déclaration d'amour. · Élégiaque, elle présente une Hermione abattue, prête à accepter sa défaite et à mourir, soumise, résignée (v.16 : « achevez votre hymen, j'y consens

L'utilisation d'une mère mais surtout d'enfants, fait immédiatement appel à la pitié du lecteur. Ce choix de faire appelle à une illustration des propos est aussi utilisée dans « Ce cœur qui haïssait la guerre ». En effet, Robert Desos utilise une synecdoque. Il prend pour sujet un cœur, mais l'on comprend bien que c'est d'un soldat dont il parle. L'auteur emploie des mots, pour les quels on comprend bien que c'est du soldat dont il parle (v1 « Ce cœur qui haïssait la guerre », mais aussi des paroles

et de rythme, qui constituent la « rhétorique » au sens restreint du terme. Les tropes sont des figures d' ornementation qui ne portent que sur un mot, comme par exemple l' hypallage ou métonymie (ex.: l' Afrique pour les Africains), ou encore la synecdoque (ex. : le fer pour le glaive). Les figures correspondent à des tours de discours où la pensée exprimée diffère de sa représentation usuelle (ex. : la litote, l' hyperbole, etc.). La distinction entre les tropes et les figures n' pas toujours nette