Syndicat médical

ouvriers portent sur les salaires, l’amélioration des conditions de travail, le droit à la sécurité sociale, le droit de grève et de se syndiquer. La lutte, l’adhésion à un syndicat ou au parti communiste sont des composantes de l’identité ouvrière. 3) Les syndicats et les conflits du travail se sont institutionnalisés. Un syndicat de salariés est un groupement professionnel ayant pour objectif la défense des intérêts matériels des salariés. Il cherche à limiter la concurrence que se font les salariés

négociation choisie comme le démontre l’exemple suivant : «Voulant sortir les conditions de travail de la concurrence et ainsi voir tous les employeurs concernés par un même marché soumis aux mêmes coûts de main-d’œuvre ou à peu près (intérêt), les syndicats chercheront à voir s’établir une structure de négociation centralisée qui aura pour effet de couvrir tout le marché du produit qui les affecte par une même convention collective (position), donc par des conditions de travail identiques pour tous

d’arrêter de travailler par paresse ou parce que les politiques de l’entreprise où il travaille ne sont pas flexibles à ses exigences. * Le chômage peut aussi être causé par les différentes perturbations causées par l’Etat et les différents syndicats : réglementations excessives sur le temps de travail, sur le salaire minimum, sur les conditions de travail… * Nous avons aussi le chômage causé par la discrimination qui va des âges à la couleur de la peau en passant par le sexe du salarié.

activité professionnelle donnée A) LES AUTEURS DE LA NORME La convention collective née d’un accord de volonté entre une partie qui représente les intérêts des salariés ainsi qu’une partie patronale. Elle est toujours un ou plusieurs syndicats représentatifs. Elle peut être un ou plusieurs employeurs. L’accord peut être professionnel ou territorial. Pourquoi existe-il des conventions collectives ? Nous l’avons vu à cause de l’absence de discussion préalable; on veut instaurer

Thème : Les contre-pouvoirs au Lycée : FCPE Selon Max WEBER : « On dit que l’individu « A » a du pouvoir sur l’individu « B » lorsqu’il a des chances d’imposer sa volonté même contre une résistance de l’individu « B ». » Ainsi, pour qu’il y ait un pouvoir, il faut qu’il y ait un droit et une représentativité. Mais un seul homme possédant un pouvoir entier serait capable de réaliser toutes choses issues de son bon vouloir, il est donc nécessaire d’avoir des contre-pouvoirs pour limiter l’action

aujourd'hui par le président de la Fédération, M. Jean Falardeau. Il était accompagné de la présidente du Syndicat des professionnelles et professionnels du milieu de l'éducation de Montréal (SPPMEM), Mme Sophie Massé, de la présidente du Syndicat des professionnelles et professionnels de commissions scolaires de l'ouest de Montréal (SPPOM), Mme Diane Jacques, et de la secrétaire du Conseil exécutif du Syndicat des professionnelles et professionnels des services éducatifs de la région de Montréal (SPPSERM)

1946. A) Un droit longtemps refusé aux fonctionnaires Jusqu'en 1946, la grève dans les services publics était considérée comme illicite pour diverses raisons. Les unes étaient des raisons politiques et procédaient de l'hostilité à l'égard des syndicats. En effet, la grève était perçue comme un moyen révolutionnaire. Elle a même été qualifiée de « crime contre la Nation et ses lois ». Quant aux motivations juridiques, elles résultaient de la jurisprudence du Conseil d'Etat qui rejoignait la position

caisse durant 60 jours et avait donc épuisé ses droits, ou s’il avait encore droit à des jours mais que la caisse était épuisée, ou encore s’il était stagiaire et ne pourrait donc prétendre à des indemnités. L’ouvrier chômeur n’ayant pas rejoint un syndicat ne recevait rien et avait pour seul recours et secours l’assistance publique. Le gros problème qui subsiste est le montant des indemnités car, après la guerre, le coût de la vie a augmenté et les salaires ont plus ou moins bien suivi. En juin 1920

interdite à certaines catégories de personnes (ex. : policiers, militaires, magistrats) · un service minimum doit être assuré pour les médecins, les infirmières, la télévision, la navigation aérienne... · un préavis de 5 jours, déposé par un syndicat représentatif, doit être respecté avant le déclenchement effectif de la grève. Les limites contractuelles Les conventions collectives peuvent restreindre légèrement le droit de grève (ex. : clause fixant un préavis, clause prévoyant une procédure

LManon de Demandolx Cas pratique : Un syndicat intercommunal a recruté par contrat Mme T pour lui confier la responsabilité d'un des remonte-pentes de la station de sport d'hivers dont ce dernier a la gestion. Le directeur de ce syndicat intercommunal désire rompre ce contrat pour échapper à la résiliation de son propre contrat au motif d'une part qu'il a commis une faute grave en décidant le recrutement de Mme T et d'autre part d'avoir confié l'exploitation d'un de leur restaurant à la société