Surnaturel Au Theatre

mort finale.- la présence d'un dieu vengeur- le héros face à un choix : soit il se repent, soit il meurt- un héros qui brise des valeurs établies : souhaite la mort du père, fait l'éloge de l'hypocrisie, abandonne une femme séduite.- apparition du surnaturel pour susciter la terreur- Done Elvire est presque un personnage racinien, qui est prise entre sa passion pour Don Juan et sa dévotion.- Don Louis, le père, montre des sentiments tragiques devant l'attitude honteuse de son fils.=> Pièce mélangeant

chrétien -Voc de l'enfer ex:”feu” II°)Le dénoument atypique A) Présence du surnaturel sur scène -le spectre devient l'allégorie de la mort. B) Le comique - le comique est représenté par la présence de Sganarelle qui après la mort de DJ créer un rebondissement comique en réclament ces gages (« mes gages ») ce qui s'oppose à la mort de DJ. C'est décalé. -Sganarelle ouvre et ferme la pièce de théâtre. III°) Le mythe de Dom Juan A) Le spectre et la statue s'inscrivent dans le

fantastique On dit qu’il y a du merveilleux dans une œuvre littéraire lorsque lesurnaturel se mêle à la réalité ; le surnaturel étant accepté par le lecteur (contes merveilleux, contes de fées). Dans une œuvre fantastique, il y a irruption du surnaturel dans la réalité. Des événements inexplicables ont lieu et il est souvent impossible de savoir si les faits sont de l’ordre du réel ou du surnaturel. (Exemple : Le Horla de Maupassant) Genres Poétiques La poésie lyrique À l’origine, c’est la poésie

du commandeur qui entraine Dom Juan dans l'enfer . Sganarelle reste seul . Lecture *Projet de lecture mon projet ans une de lecture sera d'étudier , -dans une première partie la mort de Dom Juan -dans une deuxième partie , un coup de théâtre « Deux ex Machina » -Dom Juan et le mélange des genres *Lecture analytique Une revanche pour toutes victimes un soulagement pour la société . « Tout les monde est content »(Sganarelle). Les intrigues menées par dom Juan sont résolues

TRAGEDIE SHAKESPEARIENNE Introduction : Le théâtre élizabéthain a eu son heure de gloire de 1572 à 1603. Elizabeth 1er a protégé le théâtre en Angleterre. C'est la rivale de Marie Stuart et la fille de Henri VIII. Elle est très cultivée et a joué deux rôles : - A l'époque, les troupes étaient ambulantes. La reine va obliger les comédiens à s'attacher à un seigneur et à s'organiser en troupe, ce qui va amener la constitution d'un théâtre. - Le théâtre était considéré comme une école de mauvaise

Sommaire Cours - Séance - Séance - Séance - Séance - Séance - Séance I- Découvrir le personnage de Dom Juan II- Une scène d’exposition paradoxale III- L’autoportrait de Dom Juan IV- La tentation du pauvre V- Le dénouement et la mise en scène du surnaturel VI- Bilan : Une pièce mêlée Questions d’analyse : questions de préparation et éléments de correction - La structure de la pièce - Maître et valet - Les personnages secondaires dans Dom Juan : questions de préparation + correction - Le mélange des

qui orient leurs œuvres est un message religieux et chrétien : c’est une invitation toujours renouvelée du Salut. En revanche, nous observons des cas différents dans les différents genre littéraire ; ce qui est vrai avec notamment l’indépendance du théâtre qui se crée qui ose sans peur de représailles railler la religion chrétienne. C’est ce qui nous amène à penser si la littérature a-t-elle toujours été au service du christianisme au Moyen-Âge ainsi qu’au XVIè siècle ? Et par quels moyens ? Nous approcherons

L/ES Séquence 1, Le théâtre : Texte et représentation. ------------------------------------------------- Dom Juan de Molière ------------------------------------------------- Acte I, Scène 1 INTRODUCTION : « Tous les vices à la mode passent pour vertus », tel est le bilan de Molière, écrivain classique du XVIIème siècle, suite à l’écriture de cette pièce de théâtre Dom Juan. Dans cette œuvre, Molière cherche à châtier les mœurs de son époque à travers la comédie

militaire». Résumé Le narrateur, que Barbey s’emploie, afin d’accréditer le caractère véridique de la fiction romanesque, à dessiner à son image, entreprend la traversée nocturne de la lande de Lessay, située dans la presqu’île du Cotentin et «théâtre des plus singulières apparitions», en compagnie d’un herbager normand nommé maître Tainnebouy (chap. 1). La «sinistre clameur» d’une cloche retentit soudain dans la nuit. Il s’agit, selon Tainnebouy, de «la messe de l’abbé de La Croix-Jugan» dont

trois unités. Le théâtre classique du XVIIème siècle impose des règles précises et contraignantes. Parmi celle-ci, la règle des trois unités c’est-à-dire l’unité de temps (la pièce doit se dérouler en 24 heures), l’unité de lieu (l’action doit se dérouler dans un lieu unique) et l’unité d’action (la pièce doit contenir une seule intrigue). Ces règles sont illustrées par la phrase de Boileau : « qu’en un lieu, en un seul jour, un seul acte accompli […] tienne jusqu’à la fin du théâtre empli. » La pièce