Sur Le Parlement Voltaire Commentaire

forme plus souple qui existait dès le XIIIe siècle, une impulsion nouvelle et une tonalité plus personnelle. Ces textes hybrides où s'entrelacent un récit prétendument autobiographique, des réflexions, des insertions lyriques (illustrations ou commentaires) et des récits mythologiques, sont à la frontière entre le roman et la poésie. Le célèbre Voir Dit de Guillaume de Machaut en est l'un des exemples les plus achevés. |      II- L'INVENTION DE LA POÉSIE 12- Les genres poétiques à forme fixe

espèces animales ou des créatures divines. Chez Baldassare Castiglione, il peut succomber ou non au chant des « sirènes ». C’est donc une invitation à être un homme authentique, sincère au sens étymologique et maître de ses décisions. S’ENTRAÎNER AU COMMENTAIRE Le point de vue adopté par un penseur italien de la Renaissance sur la conception de l’homme. 1. La place de l’homme dans l’univers – Le rapport entre le microcosme et le macrocosme. – Le rapport entre la créature et le Créateur. – La place privilégiée

sacrés. Remet en cause l'ordre social, qui repose sur la religion. Erasme va être l'un de ceux qui va oser soumettre les textes sacré à cette interrogation de grammairien. Erasme va en même temps qu'il interroge les textes sacré, va proposer un commentaire des évangiles, il était un clerc donc ça ne surprend personne. Il va ainsi mettre au centre de la chrétienté la morale comme source de l'engagement.  En remettant la morale au centre de l'engament, il va également mépriser et écarter les richesses

droit va subir d’importantes modifications. Toutes les valeurs et fondements de l’ancien régime sont remis en cause. Lumières : ces philosophes réclament que le roi accepte de modifier la conception royale, ils veulent une rénovation juridique. Voltaire s’intéresse à la justice pénale (affaire Calasse). Les bases d’un droit nouveau vont être posées, et la loi va devenir la source essentielle du droit car la loi est désormais l’expression de la souveraineté qui a été transmise du roi vers la nation :

l'Europe tout entière. Toute éducation aristocratique complète doit comporter un voyage à Paris, les échos de la vie littéraire des gazettes sont attendus, les classiques français circulent, les souverains appellent les écrivains comme conseillers (Voltaire, Diderot), la langue aussi se diffuse : en 1714, le traité de Radstadt, avec l'Empereur d'Autriche n'est rédigé qu'en français, signe d'une langue des élites. C'est Maupertuis, un savant et philosophe français qui préside l'académie de Berlin. Les

Fontenelle, Montesquieu, Marivaux et La Motte. Salon de Madame de Tencin (1733-1749) : Il succède au salon de Madame de Lambert. Le ton est beaucoup plus familier et plus intime. On y rencontre Marmontel, le jeune Helvétius, l’abbé de Prévost, Voltaire… Salon de Madame Geoffrin (1749-1777) : Il hérite des familiers du salon de Madame de Tencin. C’est le véritable salon philosophique et encyclopédique. On y reçoit Montesquieu, Fontenelle, Marivaux et les encyclopédistes tels qu’Helvétius

550 av. J.-C., des cérémonies religieuses données en l'honneur de Dionysos s'enrichissent de nou--velles formes de représentations. Quatre genres se dévelop-pent (dithyrambe, tragédie, comédie, satire), cha-que oeuvre alternant récit déclamé et commentaire chanté. De véritables théâtres sont édifiés, de-vant le Temple, en bois à l'o-ri-gi-ne, puis en pierre, à partir du IVème siècle av. J.-C. pour que la cité orga-nise des con-cours dramatiques, trois fois par an, lors des fêtes dyonisiaques. Chaque

juste titre sans doute, le symbole de l’émergence d’une pédagogie moderne. 42 © Groupe Eyrolles « Parce que c’était lui, parce que c’était moi. » Michel de Montaigne, Essais, I, 28, « De l’amitié », 1588 En 1557, Montaigne rencontre au parlement de Bordeaux Étienne de la Boétie, juriste et écrivain déjà connu pour son Discours de la servitude volontaire. Leur relation sera rompue par la mort de la Boétie à trentetrois ans seulement. Dans les Essais, Montaigne évoque le lien qui les unissait

l’unique cas du parlement français des rois de France. 1° Rois et princes. – De plus en plus, la justice locale glisse vers une justice centrale: dessaisissement des cours, petites seigneuries. Les tribunaux supérieurs attirent la matière. Cela a donc permis d’enlever en quelque sorte certaines compétences aux tribunaux « inférieurs ». La procédure d'appel va permettre à des tribunaux supérieurs de se positionner p/r aux tribunaux inférieur : développement de l'appel. – Parlement de Paris

En définitive, l’auteur veut surtout, en des temps agités par les guerres civiles, mettre en évidence le principe de souveraineté et en tirer les conséquences. Aucun problème délicat n’est finalement abordé (Quid par exemple du rôle joué par les parlements ou les Etatsgénéraux au côté du roi?). Sa contribution univoque ne peut que renforcer l’absolutisme. Finalement, Jean Bodin inaugure une riche tradition juridique dans laquelle de nombreux juristes entendent montrer la supériorité du régime monarchique