Sur la Question juive

Corrigé (bac blanc n°2 TES et L) Etude d'un ensemble documentaire :La mémoire de la Shoah en France Analyse des documents ◆ Question 1. Nombreux ont été , dès cette époque, les survivants à vouloir témoigner de l’horreur du génocide, mais ce n’est que bien plus tard que l’opinion se montrera plus réceptive à l’évocation de cette tragédie. Les souffrances qu’ils ont endurées paraissent tellement inouïes que le récit de leur détention, comme en témoigne Simone Veil, rencontre l’incrédulité.

6. Banalité du mal……………………………………………………………………21 6.1. Sa définition, sa portée, ses interprétations et polémiques……21-26 7. Les conseils Juifs……………………………………………………………………26 7.1. L’identité juive en question……………………………………………26-28 7.2. La question des conseils juifs………………………………………….28-30 8. Comprendre les arguments d’Eichmann et juger Eichmann…………30-33 9. La vision du réalisateur, un vrai biopic ?.........................................................34

janvier 1939 discours au Reichstag) ainsi qu’une nouvelle guerre entraînerait « l’anéantissement de la race juive en Europe ». Il dit aussi dans ce discours : «  je résoudrais le problème juif ». Dans ce discours, il se considère comme 1 « prophète » : « j’ai souvent été prophète », « mes prophéties » = la sinistre « prophétie » d’Hitler Cpdt, jusqu’en 1941, il n’est pas encore question de perpétrer 1 génocide. On envisage de créer des « réserves » en Europe orientale ou à Madagascar. En attendant

sur la « race juive » est d’autant plus antisémite malgré ses « connotations scientifiques ». Effectivement Barrès semble ici réellement entrer dans la logique « nazi » car il décrit l’infériorité génétique des autres « espèces » face à la race « aryenne ». A ce sujet, les documents 2,3et 5 nous expose une autre facette de l’antisémitisme reposant sur le thème décrivant le Juif comme cupide et manipulateur sur fond de domination financière. Si bien que dans l’extrait de La France Juive d’Edouard Drumont

confrontés à ce problème. Cependant cette situation ne pourra pas durer et s’imposera à eux. Les deux adolescents tenteront alors de trouver une solution. Ce livre est très passionnant puisqu’il traite un sujet sur lequel on se pose beaucoup de questions : le nazisme durant la seconde guerre mondiale. Il donne beaucoup de renseignements sur cette période de l’histoire. Cette œuvre est historiquement intéressante car elle montre comment Hitler a pu répandre son idée sur le nazisme. Mais c’est aussi

document est une carte de l’Europe, des victimes juives par pays entre le 1er septembre 1939 et le 8 mai 1945 (date de début et de fin de la guerre).Sur cette carte l’on peut voir que quasiment tous les pays d’Europe ont été touchés par l’extermination juive avec plus ou moins d’importance allant de plusieurs millions comme la Pologne qui a été attaquée par l’Allemagne le 1er septembre sans déclaration de guerre prise de surprise. Le pays n’a donc pas eu le temps de se défendre, 3 millions de juifs ont

scènes ont étaient censurées!). Même si la réalité est complexe,la tonalité résistancialiste domine. Étude de documents: La mémoire de la résistance,entre mythe et réalité. Question 1p59 : Guy Moquet symbolise la résistance communiste alors que De Gaulle lui,symbolise le résistancialisme et le libéralisme. Question 2:Pourquoi peut on parler de mémoires rivales ? (doc 1,4 et 5 p58,59) On peut parler de mémoire rivale car elles ont le même but,mais agissent différemment. Elles opposent l’extrême

retenir que celui d’Israélite à l’athée qui lui dira : « Je me sens Juif. »C’est là un sentiment qui a sa valeur, tout au moins il existe et il est bon de se demander d’où il sort, sur quoi il s’appuie, quelles en sont les causes et la genèse. À ces questions une réponse est faite à la fois par les philosémites et les antisémites. Ce qui unit entre eux tous les Juifs du monde, c’est qu’ils sont de même race. Cette affirmation ne soutient pas l’examen. Le Juif russe au nez écrasé, aux pommettes saillantes

juif en France (évolution) PREMIERE PARTIE 1. Les acteurs de la mémoire du génocide des Juifs en France sont multiples. Tout d'abord, et sans doute le plus attendu : Le Président de la République. En effet, Jacques Chirac s'est prononcé sur la question du génocide des Juifs le 16 juillet 1995 dans un de ses discours. C’est le premier homme politique qui parle du génocide des Juifs, sujet douloureux que personne n’a osé évoquer avant. Il donne alors la définition du travail de mémoire : "Transmettre

Fayard, 1994 (traduit de l'anglais) Gutman Israël, The Jews of Poland between two World wars (University Press of New England) Hyman Paula, De Dreyfus à Vichy. L'évolution de la communauté juive de France 1906-1939, Fayard, 1985 (traduit de l'anglais) Korzec Pavel, Juifs en Pologne. La Question juive pendant l'entre-deux guerres, Presses de la Fondation Nationale des Sciences politiques, 1980 Mendelsohn Ezra, The Jews of East Central Europe between the wars (Indiana University Press)