Suprématie Du Parlementaire Sous La Iiieme Republique

l'impérialisme Français. Jusque vers 1880 et un peu après 1885, l'esprit des Français est anti-colonialiste. Pourquoi? Parce que pour les français ils oublient les colonies royales. Elle est lié a Charles X, Napoléon III ( pas de bons souvenirs). La IIIème république se bâtit sur les ruines du Second Empire. Politiquement il faut dénigrer ce qu'a fait Napoléon I. La France a perdu l'Alsace et la Moselle. Deroulède: « J'ai perdu 2 enfants, vous m'offrez 20 domestiques. » On ne veut pas des colonies. Parce

des pays façonnés sur un modèle européen. Aucun règlement international ne peut se faire sans la présence d’un ou plusieurs pays européens. En ce qui concerne l’économie, c’est une autre forme d’impérialisme : on a le cas de territoires totalement sous l’emprise économique de l’Europe. C’est le cas des Balkans ottomans, l’empire Ottoman aussi, mais aussi la Chine (les Traités Inégaux qui créent des concessions économiques qui échappent aux autorités chinoises). La Perse est aussi dominée, entre la

* Partie I : Sous partie II : La Modernité ou l’esprit des lois dans l’occident contemporain Complexité composite, les éléments qui la constituent ne sont pas encore amalgamés. Le christianisme a cessé d’être une force vivante qui irrigue le droit positif. => Influence nulle Il faut prendre conscience de 2 phénomènes : =>On ne résonne pas sur une matière morte =>L’apparition historique ne doit pas nous laisser penser qu’il y a un lien logique entre deux forces le libéralisme et

règle de loi A/ Les doctrines de droit naturel Notion de droit naturel Au-dessus du droit qui régit un pays à un moment donné (droit positif), il existe un droit universel et immuable (droit naturel) dont il doit s’inspirer. Le droit positif serait sous la tutelle du droit naturel (Antigone chez Sophocle). Pour les jusnaturalistes, la désobéissance aux lois positives contraires aux lois naturelles est un devoir. Le droit naturel religieux Pour Platon, Aristote et Cicéron, le droit est l’art d’atteindre

reconnaissable, qui a commencée plusieurs siècles auparavant, notamment avec les grandes civilisations méditerranéennes. Elle a hérité de la civilisation gréco-romaine, qui a commencé dans la Grèce des cités, et qui a continué avec les conquêtes romaines (IIIème siècle av. J-C puis pendant plusieurs siècles sur tout le bassin méditerranéen). Elle va en tirer l’origine de ses conceptions politiques, une grande partie de sa technique, notamment militaire, alors que pour la technique agricole il n’y a pas eu

plus par chose publique. Il designent ici l’organisation politique de l’entité qu’est rome depuis sa création. Il existe un Etat romain permanent, independamment des titulaires du pouvoir. On est convaincu que la république française existe independamment du president de la republique, c’est cette notion que les grecs et romains cherchaient à mettre en avant. On ne peut pas parler de royaume de france en tant que tel qu’à partir du 9eme siecle lorsque les descendants de Charlemagne séparent les

définie de manière restrictive ou bien au contraire largement. La première conception, qui exprime la conformité à la loi stricto sensu, n’est guère révélatrice de la réalité juridique contemporaine. Cette acception, déjà critiquée par M. EISENMANN sous l’empire de la Constitution de 1946, « devient encore plus critiquable avec l’avènement de la Constitution de 1958 qui permet à l’Administration, en certains domaines, de prendre des règlements indépendants [ du domaine ] de la loi » (VEDEL G. et DELVOLVE

d’emboitement en expliquant que la structure d’emboitement est susceptible de constituer des empires et cela va permettre une certaine différenciation des rôles et l’émergence de figures d’autorité plus durable. tous ceci renvoi à une catégorie et résumé sous la notion de domination traditionnelle c’es a dire que les relations de pouvoirs s’inscrivent dans quelque chose qui relève presque d’accident de l’histoire , à un moment donné un petit village a peu étendre une autorité et monopoliser quelque ressources

autre approche est possible. C’est une approche beaucoup plus sociologique et plus large. Le droit est identifié à un phénomène social et il est appréhendé à travers ses caractères. Ainsi on considère être du droit tout ce qui s’impose aux individus sous la contrainte. Les caractères sont l’obligation et la contrainte. C’est donc un concept plus large et plus flou aussi. En ce sens, le Droit dépasse le contenu qu’il a dans la première définition. Le Droit comprend ici les règles mais aussi les jugements

partis de l’expérience politique. Avant Platon et Aristote, il y a eu d’autres penseurs qui ont posé les fondements. Section I : Les idées politiques avant Platon Les premiers textes de pensée politique connus sont La politique d’Aristote et La république de Platon. Ce sont deux textes très tardifs. Platon écrit en 375 avant JC alors que la Grèce va disparaître puis La politique d’Aristote est écrit aux alentours de 338 avant JC après la défaite de la Grèce devant Philippe de Macédoine. Donc la