Supervielle

guerre (Barbusse, Céline) ; l’écrivain du divertissement des années folles : J. Cocteau ; les écrivains de la critique sociale et morale : J. Romains, F. Mauriac, G. Bernanos ; les écrivains voués à la création littéraire : M. Jacob, J. Giono, Supervielle, R. Roussel, Alain-Fournier, Colette ; les écrivains voués à l'action : A. Malraux, A. de Saint-Exupéry. Les poètes, héritiers de Rimbaud et de Mallarmé, pratiquent une poésie affranchie des conventions classiques (vers libres). Le roman prolifère

étoile tire de l’aile p. 182-183 Dans sa poésie, Jules Supervielle s’ouvre aux espaces cosmiques et parvient à conjuguer l’expérience intime et la présence au monde le plus lointain. Il en résulte un « chant chuchoté » (P. Jaccottet) comme si le poète voulait faire entendre au lecteur son dialogue discret et modeste avec le monde. Montrer que le poète exprime les mystères du monde Il s’agit d’amener les élèves à comprendre que, pour Supervielle, le poète occupe une place à part dans le monde par sa

années, in Histoires de ceux qui oublient… ou pas)]. – Un excès de souvenirs – l’hypermnésie – peut étouffer l’individu et le mener à la mélancolie (Baudelaire), au désespoir (Borges). B. Un oubli salvateur – L’oubli apporte bien-être et réconfort (Supervielle), il procure une sensation de liberté et de paix [on pourra citer Irène Némirovsky (Les Revenants, in Histoires de ceux qui oublient… ou pas)]. – L’oubli est une faculté vitale, nécessaire à l’homme (Nietzsche). 34 | Fiche pédagogique Meta-systems

Cacheux (Iacha) Formé au Conservatoire national supérieur d’art dramatique (promotion 98), il débute sur scène en 1999. En 2000, il joue dans Le Jour se lève, Léopold de Valletti mis en scène par Jacques Nichet, Le Corps et la fable du ciel de Supervielle mis en scène par Marc Le Glatin, Loué soit le progrès de Motton mis en scène par Lukas Hemleb et dans Guybal Velleytar de Witkiewicz mis en scène par David Maisse, puis en 2001 dans deux spectacles dirigés par Anne Alvaro : L’Île des esclaves et

méditante n'a cessé de la conduire dans une nudité d'expression tout à fait remarquable. « Je ne puis lire une œuvre d'Armand Bernier, a dit Marcel Arland, sans être frappé tout ensemble par la pureté harmonieuse de sa voix et par sa ferveur. » Jules Supervielle lui aussi a beaucoup aimé ce poète en qui il pouvait reconnaître quelque chose de fraternel. À travers de multiples étapes, une âme a cherché l'équilibre et s'est construit peu à peu une vue d'univers. Aux « quatre songes pour détruire le monde »

much more like Valéry Larbaud. Dozens of Aiken’s poems are pure Barnabooth. It is very important to understand that modernist American poetry — and English, as well — of the generation just before and after the First World War, the generation of Supervielle and Cendrars, of Reverdy and Breton — was hopelessly stuck on Laforgue. This peculiar blockage is extremely difficult to understand and merits a long essay — or an American Ph.D. thesis — in itself. Puzzling about this, I comfort myself with the

Garneau exera une influence bnfique sur le dveloppement de sa sensibilit. Il tait engag lpoque dans la rdaction dun recueil de pomes, Regards et Jeux dans lespace (1937). Il lui fit connatre quelques potes quil tait alors un des rares lire luard, Supervielle, Claudel, Reverdy et Ramuz. Au cours de son enfance et de son adolescence, o elle tait de sant fragile, souvent malade, chtive, elle passa ses ts Sainte-Catherine, parfois Kamouraska chez sa grand-mre Duchesnay-Tach, et ses hivers Qubec. Les

bénéfique sur le développement de sa sensibilité. Il était engagé à l'époque dans la rédaction d'un recueil de poèmes, “Regards et Jeux dans l'espace” (1937). Il lui fit connaître quelques poètes qu'il était alors «un des rares à lire» : Éluard, Supervielle, Claudel, Reverdy et Ramuz. Au cours de son enfance et de son adolescence, où elle était de santé fragile, souvent malade, chétive, elle passa ses étés à Sainte-Catherine, parfois à Kamouraska chez sa grand-mère Duchesnay-Taché, et ses hivers à

Ferdinand Ramuz (série tech., sept. 2006) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sujet 16 • Texte de Georges Brassens (série collège, juin 2006) . Sujet 17 • Texte d’Arthur Rimbaud (série collège, juin 2006) . . Sujet 18 • Texte de Jules Supervielle (série collège, nov. 2007) . . . . . 261 ¾ ½ ¾ ¾ ¾ Le théâtre L’autobiographie 294 301 Sujet 19 • Texte de Marcel Pagnol (séries tech. et prof., juin 2005) ¾ Sujet 20 • Texte de Jérôme Garcin (série collège, avr. 2007) . . . . ¿¼½

médiéval : centré |d'H. de Balzac et du Voleur | | |romane (Le roman de la Rose, Le Roman de|d'un certain point de vue (ou | |sur une péripétie, il prend souvent une |d'enfants de J. Supervielle. | | |Renart). Dès le XVI° siècle, il désigne |focalisation) et le discours (dialogues, |G. de Maupassant : préface |dimension symbolique et morale (Marguerite de | | | |un