Supervielle Le Premier Arbre

plusieurs phonèmes au début d'un mot. L'aphérèse est un métaplasme s'opposant à l'apocope « Ricain » (pour un américain) l’élision amuïssement de la voyelle finale d’un mot devant un autre mot à initiale vocalique « l’arbre » (à la place de « le arbre ») la syncope disparition d'un ou plusieurs phonèmes au sein d'un même mot « Monsieur » (qui vient de l’ancien français: « Monseigneur ») morpho-syntaxique l’asyndète suppression des liens logiques et des conjonctions dans une phrase;

| |l’élision |amuïssement de la voyelle finale d’un mot |« l’arbre » (à la place de « le | | | |devant un autre mot à initiale vocalique |arbre ») | | |la syncope |disparition d'un ou plusieurs phonèmes au |« Monsieur » (qui vient de l’ancien | | | |sein d'un même

pas une «propriété», même s’il s’agit de milliers d’hectares, ce n’est pas juste un bien foncier, c’est la mort d’un enfant dans un lac, c’est l’histoire de ces gens qui sont ce lieu, qui sont plantés là. Comme le personnage de Firs et comme chaque arbre, si on les déracine, ils meurent. Cela me fait penser à un petit village, Les Salles sur Verdon, au fond d’une vallée, où se trouve à présent le lac de Sainte-Croix. Un barrage a été construit et le village a disparu au fond du lac. Les habitants refusaient

Garneau exera une influence bnfique sur le dveloppement de sa sensibilit. Il tait engag lpoque dans la rdaction dun recueil de pomes, Regards et Jeux dans lespace (1937). Il lui fit connatre quelques potes quil tait alors un des rares lire luard, Supervielle, Claudel, Reverdy et Ramuz. Au cours de son enfance et de son adolescence, o elle tait de sant fragile, souvent malade, chtive, elle passa ses ts Sainte-Catherine, parfois Kamouraska chez sa grand-mre Duchesnay-Tach, et ses hivers Qubec. Les

bénéfique sur le développement de sa sensibilité. Il était engagé à l'époque dans la rédaction d'un recueil de poèmes, “Regards et Jeux dans l'espace” (1937). Il lui fit connaître quelques poètes qu'il était alors «un des rares à lire» : Éluard, Supervielle, Claudel, Reverdy et Ramuz. Au cours de son enfance et de son adolescence, où elle était de santé fragile, souvent malade, chétive, elle passa ses étés à Sainte-Catherine, parfois à Kamouraska chez sa grand-mère Duchesnay-Taché, et ses hivers à

veut à la fois un document à l’usage de l’élève, mais également un outil de référence sur lequel l’enseignant pourra fonder la pratique de sa classe. Le professeur trouvera dans les premières pages du manuel : - Une présentation : Elle s’adresse en premier lieu à l’apprenant mais aussi à l’enseignant qui en découvrira l’articulation de façon simplifiée. Un sommaire : c’est une répartition détaillée des activités des trois projets. Chaque séquence renvoie à une page précise qui, elle, présente la structure

ce compliment. Les paroles prononcées par Meaulnes montrent son manque d’assurance. En effet, le jeune garçon n’ose pas poser de questions à la jeune fille pour obtenir son nom et doit s’y prendre à deux reprises pour enfin le connaître. Dans un premier temps, Yvonne de Galais maîtrise davantage ses émotions en parlant « gravement » (l. 26), « d’un ton uniforme » (l. 36) mais elle finit, dans un second temps, par se laisser émouvoir par la candeur du jeune homme en laissant échapper un sourire au

Offrande amoureuse, ce sonnet décrit avec audace une situation inversée par rapport à la topique de la poésie amoureuse de l’époque. La femme n’est plus ici le réceptacle du désir amoureux masculin ; le « je », sujet féminin de renonciation, est ici premier et conduit le « jeu » amoureux en chantant les « grâces » de l’amant. Le « toi » de ce dernier n’est en effet que placé en position subalterne de « complément » et de destinataire passif. Les nombreuses inversions qui parcourent le poème contribuent

4-5). 2- a) Non, le personnage n’est pas nommé. b) On suppose que l’on parle d’« Angèle », puisque c’est le nom qui apparaît dans le titre de la nouvelle. En effet, le narrateur n’emploie que le pronom personnel « elle » dans le premier paragraphe. Son prénom n’est cité que dans la deuxième phrase du deuxième paragraphe. 3- Le lecteur s’attend donc à découvrir l’histoire d’une femme, Angèle, qui vient d’assister à l’enterrement d’un de ses proches. Nous pouvons comprendre

et de reconstruction qui est celui du souvenir. – Exposer des connaissances autour d’un thème problématisé. – Dossier : « Vers l’écriture personnelle : – S’entraîner à l’écriture personnelle. fiche méthode et entraînement », p. 186. – Effectuer un premier bilan sur les acquis de la thématique « Mécanique et dynamique du souvenir ». 4 5 Évaluation no 1 Supports – Marc Augé, Les Formes de l’oubli, p. 51. – Roger Caillois, Le Fleuve Alphée, p. 48. – Marguerite Yourcenar, « Le Dernier Amour du prince