Superflu Et Bonheur

croire supérieur à eux. Diderot met donc en évidence la différence entre les colons Français qui ont un mode de vie avec énormément de superflu et entre les Tahitiens qui vivent avec ce que la nature leur donne. Bougainville a essayé de les endoctriner en leur expliquant que son mode de vie était meilleur que le leur. Le vieillard démontre que la notion de bonheur d’un peuple est relatif et que certains seront heureux avec tel mode de vie et que d’autres seront heureux avec tel autre mode de vie.

fausses nécessités dont ils font dépendre tout leur bonheur. » Mise en évidence d’un paradoxe : l’homme moderne, croyant se libérer ne fait que construire les chaînes de son aliénation. - critique déjà rousseauiste du luxe qui déstabilise les sociétés : « Ce superflu amollit, enivre, tourmente ceux qui le possèdent : il tente ceux qui en sont privés de vouloir l’acquérir par l’injustice et par la violence. Peut-on nommer bien un superflu qui ne sert qu’à rendre les hommes mauvais ? » Tableau

traditionnelles entre le désir et le besoin L'homme n'est pas complètement « auto-suffisant », il peut lui manquer des biens ou des plaisirs. On oppose souvent le besoin comme nécessaire, naturel, objectif, déterminé, réel, au désir qui serait superflu, artificiel (luxe), subjectif, indéfini (insatiable), imaginaire (on peut même désirer des choses impossibles). Mais on peut aussi désirer ce dont on n'a pas besoin, voire ce qui est nocif (indigestion, épuisement) ou au contraire désirer se priver

désirs pour la réalité» avons-nous tous entendu de la part de nos parents, opposant ainsi la raisons au désir. Sous-jacente, se trouve la conception du bonheur. En effet, la philosophie antique affirme que le bonheur, c’est la sagesse qui s’acquiert par la maîtrise de ses désirs grâce à l’usage de sa raison. Mais, on peut aussi définir le bonheur comme l’accomplissement de ses désirs. Dès lors, il faut s’interroger sur la nature du désir. Nous allons nous demander si le désir est la marque de

ses préférences. Ils dépendent aussi de circonstances dans lesquelles l’individu peut consommer (temps, lieu, l’époque…). Les besoins ciblent avant tout le nécessaire et non le superflu. C’est l’utilité qui définit le besoin. L’utilité : L’utilité est un indicateur de bien-être. Elle est même considérée comme un bonheur. L’utilité est conçue pour décrire les préférences du consommateur : c’est l’aptitude d’un bien à satisfaire les besoins d’un agent économique. L’utilité dépend de la satisfaction

car lutte contre tt ce qui peut asservir l'Homme- ici : esclavage,colonialisme et risque perte identité par les T B-Un texte argumentatif qui vise a convaincre et persuader Thèse : on pourrait la voir au debut l2 « nous sommes.. bonheur » Txt : illustrations pr devellopper thèse Raisonnement a tendance deductive (l33 → suite → illustre idée) T fait appel -Exemples concrets (qualités H/F+actions des T pdvg à la fin) -Raisonnement par l'absurde (hypothèse « si »

dans la société qui le poussa à la rédaction de ses rêveries. Dans cet extrait, il tente de répondre à la question suivante : Comment trouver le bonheur ? Rousseau défend la thèse que pour arriver à atteindre le bonheur il faut réaliser une introspection de soi nous permettant d’être en accord avec nous-même puisque nous sommes notre propre source de bonheur. Afin de défendre sa thèse, Rousseau organise son propos en trois moments : Tout d’abord (l.1-9), il réalise un constat de sa situation

Platon présente ce modèle comme viable. Ce qui rend viable cette cité est sans doute la modicité des besoins. Cette cité va ainsi sombrer dès que l’on passera des besoins nécessaires aux besoins superflus. 2) La seconde cité : le lieu du politique Elle a son origine dans l’excès, i.e., dans les besoins superflus. Les métiers vont se multiplier et se spécialiser. La population s’accroît. Les territoires s’étendent. Dès que l’on dépasse les bornes du strict nécessaire, on entre dans le désir, qui est

plus de bonheur a désirer qu’a satisfaire ses désirs. C’est ce que dis rousseau dans la nouvelle Héloïse : « le pays des chimères est en ce monde le seul digne d’être habité ». Le vrai bonheur réside dans l’anticipation. C’st ce que rousseau appelle « le bonheur du juste avant ». on est heureux qu’avant d’être heureux. -Chez les épicuriens le bonheur réside dans la limitation des désirs. Pour être heureux il faut distinguer les besoin des faux désirs. Pour les épicuriens le vrai bonheur c’est l’ataraxie

Peut- on dire que le « bon sauvage » incarne un rêve occidental de bonheur ? Le « bon sauvage » est le fruit de l’imaginaire de tous les grands lecteurs des récits de voyages qui foisonnent à partir du 16e siècle. Il permet de conceptualiser l’homme démuni des acquis de la société. Le mythe est par définition, un récit qui met en scènes des personnages imaginaires afin de retracer l’histoire d’une communauté, de symboliser des aspects de la condition humaine voire de traduire les aspirations ou