Sujet Invention Quiproquo Comique

rire mais, surtout, fondées sur la conviction qu’« il n’y a pas de comique en dehors de ce qui est proprement humain », Bergson les posait d’emblée dans la courte introduction de son livre. Raisonnable, à sa façon, jusque dans ses plus grands écarts, méthodique dans sa folie, rêvant, je le veux bien, mais évoquant en rêve des visions qui sont tout de suite acceptées et comprises d’une société entière, comment la fantaisie comique ne nous renseigneraitelle pas sur les procédés de travail de l’imagination

a lieu en 1725. Le mélange des genres se trouve sur tous les plans : les personnages grecs, le naufrages, tendent vers une tragédie, mais l’œuvre est bien une comédie : confusion des sentiments, échanges des rôles entre maîtres et valets, aspect comique du personnage d’Arlequin. La fin de la pièce n’est en fait que le retour au début de l’histoire, ce qui est le propre de la comédie. Lecture du texte IPHICRATE : Esclave insolent ! ARLEQUIN, riant : Ah ! ah ! vous parlez la langue d'Athènes ; mauvais

HORS-SéRie Réviser son bac avec FRANçAIS 1 • • • • • re TouTES SÉRIES l’essentiel du cours • Des fiches synthétiques • Les points clés du programme • Les définitions clés • Les repères importants des sujets de bac 15 sujets commentés L’analyse des sujets Les problématiques Les plans détaillés Les pièges à éviter des articles du MONDE • Des articles du Monde en texte intégral • Un accompagnement pédagogique de chaque article un guide pratique • La méthodologie des épreuves • Astuces

la souffrance est longuement développé pour aboutir à celui de la mort. CHAPITRE 2 : REGISTRES ET FIGURES DE STYLE Fiche 3 : Les registres littéraires ■■ Exercices pp. 462-465 1 Distinguer les registres 1. Registre ironique : antiphrases « invention admirable », « tout à fait chrétienne » ; antithèse entre « chrétienne » et « hypocrites ». 2. Registre épique : accumulation de verbes d’action violente ; comparaison hyperbolique « comme un démon ». 3. Registre pathétique : lexique de la souffrance

. . met . . . . . .en . . . scène . . . . . . . .sa . . . présence. ...................... public Saguiet el Hamra, hiver 1909-1910 1 © Hachette Livre 2013, Cahier de français 1re – La photocopie non autorisée est un délit. Scarron, Le Roman comique, 1657. 1. À quelle ligne le narrateur adopte-t-il le point de vue de la victime ? 5 10 - Ils sont apparus, comme dans un rêve, au sommet de la dune, à demi cachés par la brume de sable que leurs pieds soulevaient. Lentement ils sont descendus dans

et se conduit de telle façon qu’on leur préfère finalement son maître qui peut épouser sa belle, tandis que Crispin et Toinette se marient aussi. Commentaire Le sujet était dans la lignée du ‘’Dépit amoureux’’ et de ‘’Monsieur de Pourceaugnac’’ de Molière, du ‘’Légataire universel’’ de Regnard, et de tout le théâtre comique français et italien. Ce petit acte sans valeur intrinsèque était médiocrement versifié. Mais la pièce était notable dans la mesure où elle peut passer pour une des premières

Chapelain, G. de Balzac, Voiture, plus tard La Rochefoucauld, Vaugelas, Mme de Sévigné ou Mme de La Fayette. L’atmosphère y était des plus variées: on écoutait les créations de certains auteurs, on discutait les sujets à la mode, on se livrait à des jeux: des concours de poésie sur des sujets frivoles[9], des énigmes, des lettres en vieux français. La Guirlande de Julie[10], 1641, un recueil de poésies en l’honneur d’une des filles de la marquise, Julie d’Angennes, montre l’atmosphère des salons, qui

de L’École des femmes J.-A. Watteau, Arlequin et Colombine… M. Sand, Polichinelle 17 17 18 19 20 21 22 23 24 24 24 24 24 25 Le visage comique, des masques grecs au cinéma Exercices d’approfondissement P. Corneille, L’Illusion comique 1 Térence, Adelphes 2 Molière, L’École des maris 3 Plaute, Le Soldat fanfaron P. Corneille, L’Illusion comique Prolongements Extrait du film Don Giovanni de J. Losey Séquence 2 Molière et ses héritiers A. Bosse, Les Farceurs de l’Hôtel de Bourgogne

préoccupations affectives importent beaucoup moins que l'intervention formelle. Leur souci n'est aucunement l'expression de sentiments ou d'idées personnels, le thème même n'est qu'un prétexte. Il leur importe de renouveler non les motifs, mais la forme : le sujet c'est l'œuvre elle-même. Ils semblent pleinement conscients de la nécessité, dans toute création artistique, d'introduire un écart rhétorique qui est l'indice d'un genre et la marque d'un style. |      I- NAISSANCE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE 4-

Paris-Sorbonne (Paris IV) Ambiguïtés terminologiques et idéologiques de la modernité1 La Modernité peut-elle avoir une histoire ? Lui en reconnaître une, n’est-ce pas nier son caractère d’absolu ? L’abondance de la littérature critique consacrée à ce sujet témoigne de la difficulté à dresser un inventaire des visages du moderne : il est en effet parfois difficile de les distinguer de leurs avatars modernistes, postmodernes, avant-gardistes ; de plus, la notion de « moderne » ne recoupe pas la même période