Styx

quand il dit « adieu », Écho aussi le répéta. Il laissa tomber sa tête fatiguée dans l'herbe verte, la mort ferma les yeux qui admiraient encore la beauté de leur maître. Même après son accueil en la demeure infernale, il se contemplait dans l'eau du Styx. Ses soeurs les Naïades se lamentèrent et déposèrent sur leur frère leurs cheveux coupés. Les Dryades pleurèrent ; Écho répercuta leurs gémissements. Déjà elles préparaient le bûcher, les torches et le brancard funèbres : le corps ne se trouvait nulle

est une représentation d’une femme puissante et indépendante de quoi que ce soit. On retrouve un champ lexical appartenant à l’enfer et la noirceur. « Bizarre » v1, « déité » v1, « nuit » v1, « noirs minuits » v4, « démon » v10, « flamme » v10, « Styx » v11, « Proserpine » v14, etc. » Les mots partagés à travers tout le poème renforcent le fait que la femme est une source de souffrance à laquelle on ne peut rien y faire. Ceci la décrit comme l’origine des problèmes. De même, la femme est source

pierre » au vers 1, aux « journaux », à « la cohue » et aux « boutiques » au vers 8, à « la foule et les éclats de voix » au vers 9 et à « la réclame » au vers 10. Tristan Corbière voit aussi la ville avec un regard négatif, il utilise les termes « Styx » au vers 5, qui est le plus grand des fleuves des enfers, « ruisseau noir » au vers 7, qui caractérisent les ténèbres et l'enfer. On a aussi une image de la ville qui est morte, sans vie, par les termes « la mort » au vers 13, « l'amour fait la sieste »

comme image d’un autre et qui est en train de disparaître. Il se frappe au pied de la source, manière d’indiquer que la mort est proche, il se laisse mourir puis il est entrainé aux enfers. On voit son obsession car il se contemple dans les eaux du Styx, l’un des fleuves qui traverse les enfers. Final, la métamorphose de Narcisse en fleur. Par sa fonction étiologique, le mythe explique la nature, ici c’est l’homme et le narcissisme et quel aspect attaché à l’amour de soi et ses limites, l’écueil

poème peut rappeler le chant d’Orphée L’amour éprouvé est exclusif, unique et absolu Sans l’autre être aimé, la solitude s’impose Poème de déploration, de plainte : Orphée se plaint jusqu’à ce qu’il soit tué « tu peux couper sa corde » : traversée du Styx (fleuve séparant les enfers du monde terrestre) « sorti des forêts ténébreuses » : enfers b) Expression d’un amour exclusif et obsessionnel Anaphore (7 fois en début de phrase)  souligne l’obsession du poète envers celle qu’il aime. Au vers 25, répétition

mise en péril • Apparition du nain : être maléfique, inquiétant → annonce de la première épreuve à laquelle Lancelot va ê confronté + il guide la charrette // déshonneur → allégorie de la mort ? « come charretons » = barque de Charon ? Styx ? + « verge an sa main » : faux de la « grande faucheuse »? => mort sociale ? → apparition du nain après la charrette : univers du merveilleux, l'épreuve apparaît • supplication du chevalier au nain : « por deu » →

dissolution . Très souvent des déluges mettent un terme à des cycles de création antérieure. Dans la civilisation égyptienne, NUN était le dieu qui contrôlait la crue du Nil source de bienfaits pour l’agriculture Dans la mythologie gréco romaine, le STYX, fleuve dont les eaux glacées symbolisent le passage de la vie à la mort avec son passeur CARON est aussi symbole de puissance. C’est dans ce fleuve que d’après la légende le héros ACHILLE fut plongé par sa mère afin de tenter de le rendre immortel

Apollinaire à la rêverie. Dans le vers 1, trois termes renvoient au sème de l’eau. Le symbolisme de l’eau renvoie à la femme. L’eau est l’expression d’un désir de retour à la vie foetale, dans les eaux maternelles. L’eau renvoie aussi à la mort, l’eau du Styx, fleuve des Enfers. L’eau nocturne du poème d’Apollinaire dénote une eau sombre. Apollinaire s’abandonne à une rêverie de l’eau, comme s’il se laissait lentement glisser vers la mort : “Vienne la nuit, sonne l’heure”. Le décor, le pont, lui fournit

SEQUENCE 2 : LIRE ET SUIVRE UN PERSONNAGE : ITINERAIRES ROMANESQUES Problématique : les héros littéraires sont-ils des héros d’aujourd’hui ?Objectifs : - définir la notion de héros · étudier son évolution d’hier à aujourd’hui · étudier les caractéristiques des héros selon les époques · comprendre en quoi les héros aident le lecteur à se construire · comprendre les valeurs

supérieur à son père mais inférieur aux immortels. Selon les auteurs , Achille était invulnérable sauf au niveau de son talon ( le talon d' Achille qui équivaut au point faible de nos jours) pour deux possibilités : - sa mère le plongea dans le Styx en le tenant par le talon - sa mère brûla son talon en pratiquant quelques rites afin qu 'il soit immortel , son astragale ( os du pied) fut remplacé par celui d'un géant. C'est le centaure et précepteur Chiron qui lui enseigna l'art de la guerre