Stomate

quelques manipulations simples (doc. 1, 2 et 4). – Au niveau foliaire, une coupe de limbe montre la stratification classique (doc. 1) : l’élève peut illustrer la relation structure-fonction au niveau d’une feuille. – Après avoir observé la structure des stomates (doc. 2), l’élève pourra étudier leur comportement au cours d’une journée (doc. 3), afin de déduire leurs rôles pour la plante. – Au niveau des racines, l’observation des poils absorbants (doc. 4) pourra être complétée par la mise en évidence expérimentale

connaissances et de la pratique du raisonnement scientifique, cette partie du programme permet de développer différentes capacités : – Disséquer (criquet, fleurs) ; – Réaliser des préparations microscopiques (testicules de criquet, racine, tige, stomates, etc.) ; – Observer au microscope ; – Observer à la loupe binoculaire ; – Utiliser des logiciels (Anagène, Phylogène, etc.) ; – Modéliser (sélection naturelle, dérive génétique) ; – Communiquer (schémas, dessins, photographies, etc.). Partie

micro-organismes, comme les bactéries de l'azote par exemple. En tant qu'oligo-éléments, les plantes ont besoin de composés métalliques à base de cuivre, fer, zinc, …etc. Mais une accumulation de ces métaux équivaut à un empoisonnement. L'obstruction des stomates par les particules fines contribue aussi au dépérissement des plantes [34]. II.4 – Effets des particules solides sur les matériaux Les dégradations des matériaux, (métaux, pierres, peintures, tissus, cuir, plastiques, caoutchouc, papier...),

outre, les enzymes exocellulaires sont directement placées au contact du substrat qu’elles dégradent, sans être diluées dans la phase liquide. La colonisation fongique se produit sur des sites de l’épiderme présentant des lésions ou à travers les stomates foliaires. Chez les protozoaires, les particules ingérées sont placées au contact direct des enzymes produites dans le sac digestif sans que celles-ci soient diluées par le milieu. La séquestration naturelle des protozoaires à l’intérieur du rumen

cellules de l’organisme ; désigne aussi les corps qui dérivent du noyau stérol. -sthénie Du grec sthenos [sthénie] : force. -stimuline Du latin stimulare, de stimulus [-stimuline], aiguillon, qui incite, qui excite. stom(a)-, stomat(o)- Du grec stoma [stom(a)-, stomat(o)-, -stome, -stomie], bouche. strepto- Du grec streptos [strepto-], contourné, relatif aux bactéries en forme de chaînettes. -striction, stricteur Du latin strictio, serrer. strongyl(o)- Du grec stroggulos [strongyl(o)-],

streptofasci(o)strophulus -basie pyél(o)-agonisme -conte pulsation, pulsatile -lalie benz(o)butyr(o)euchol(o)-, bile, -bilie alba leuc(o)tritice, triticé traumat(o)-lésion cyan(o)-posie xyl(o)lign(o)-, ligneux potoclaudication marge, marginé bucc(o)stom(a)-, stomat(o)oscitant, e os (per) or(o)obstruction, obstructif, ive -chorèse, -chorésis pall(o)eczém(a)torus, torul(o)burs(o)osché(o)brachi(o)frac-, frag- fracture -clasie, -claste tript(o)-, tryps(o)-, trit(o)brom(o)bronch(o)-myle croup, croupeux, euse cautère

transpiree par la plante s’exprime en mm. Si la plante a des difficultes pour puiser I’eau du sol (la Reserve Facilement Utilisable est epuisee),elle diminue sa transpiration en fermant des orifices situes sur les feuilles qu’on appelle les stomates. La fermeture des stomates entraine un ralentissement de la photosyntheseet donc de la productionde matiere seche : la plante souffre et le rendement n’est pas bon. 4 L’evapotranspiration d‘une culture C’est la somme de I’evaporation du sol et de I’eau utilis6e

bactériennes : Chancre bactérien de la tomate ou bactériose : Cette maladie est causée par la bactérie Clavibacter michiganensis, cette bactérie a pour hôte principal la tomate. Elle pénètre dans la plante par des blessures de taille, les racines et les stomates. Sa conservation se fait dans le sol (plusieurs années), les débris végétaux, sur divers matériels de culture (pots, goutteurs), les outils, les semences. Les dégâts de cette bactérie se manifestent comme suite : Sur folioles : petites taches chancreuses

L'évaporation se définit par les transferts vers l'atmosphère de l'eau du sol, de l'eau interceptée par la canopée et des étendues d'eau. La transpiration se définit par les transferts d'eau dans la plante et les pertes de vapeur d'eau au niveau des stomates de ses feuilles. C’est la somme maximale de l’évaporation de l’eau du par le sol à sa surface et de la transpiration de l’eau par les plantes sous l’effet du soleil, du vent, et de la sécheresse de l’air. Paragraphe 2 : Méthodologie de l’étude

(425 000 km3) remontent ainsi des océans à l'atmosphère. Le même processus concerne les eaux continentales superficielles (fleuves, lacs), les eaux de ruissellement, et l'humidité présente dans les sols. Les végétaux également transpirent, par les stomates de leurs feuilles, une partie de l'eau qui ne sert pas à la photosynthèse : on parle alors d'évapotransition. Certes inférieur à celle des océans, l'évaporation continentale et l'évapotransition amènent dans l'atmosphère près de 71 000 km3 par an