Stéréotype de la blonde

confiseries (chocolat Suchard, Nestlé, biscuits), poudres pour bébé (Blédina), et les produits d’hygiènes (savon Cadum), ou encore les vêtements (Petit Bateau). A cette époque, les enfants utilisés dans les publicités sont stéréotypés et idéalisés pour plaire au plus grand nombre; ils sont blonds, mignons aux joues roses, et paraissent être issue de la bourgeoisie française. Les marques en montrant ses enfants souriants et joufflues veulent vanter le mérite et la qualité de leurs produits. Ces publicités

pour faire des inférences et tirer diverses conclusions en ce qui les concerne. Les stéréotypes sont à la base de la catégorisation car bien souvent les traits censés être caractéristiques d'une catégorie sont issus des stéréotypes qui sont véhiculés, à propos de cette catégorie. Mais avant de visionner les vidéos nous allons définir clairement ce que signifie stéréotypes et préjugés : * Stéréotypes : c’est une généralisation simplifiée appliquée à un groupe entier de personnes, sans tenir

les années 1950. Elle apparaît en 1955 en Grande Bretagne, en 1957 en Italie, 1959 en Allemagne et 1968 en France. Avec elle, l'arrivée des stéréotypes, de la provocation et de la manipulation. La publicité va rendre encore plus saillants les rôles sociaux qu'occupent les deux sexes et va les utiliser comme argument de communication ou de vente. Les stéréotypes de genre, c'est-à-dire le fait d'attribuer des caractéristiques du seul fait qu'un individu appartient à la catégorie des hommes ou des femmes

femmes sont comme des miroirs, elles réfléchissent mais ne pensent pas. » (Oral présentation) -Savez-vous ce qu’est-ce qu’une blonde avec de l’eau dans la bouche ? Une cruche … Savez-vous aussi pourquoi une blonde met de l’insecticide dans ses chaussures ? Et bien parce qu’elle a des fourmis dans les pieds. Encore une dernière pour la route ? Que fait une blonde avec l’oreille collée sur la maison ? Elle écoute de la house J’espère que vous avez esquissé un petit sourire en écoutant ces

un faux grain de beauté en velour appelé mouche sur la peau. 8. Au XIXe, la beauté se partage entre la petite bourgeoise et la «belle malade». Le premier stéréotype pourrait bien représenter La Comtesse de Castiglione. Corpulente, brune, le corps laiteux, le visage vide, sans maquillage, elle marque cet idéal féminin. Le second stéréotype s’agit de la féminité maladive. Cette beauté a le teint livide, les yeux cernés et les joues creuses, elles représentent une certaine contestation du modèle

La revanche d’une blonde ! C’est l’histoire d’une jeune fille prénommée Elle WOODS qui est en école de mise en marché de la mode. Cette dernière est éperdument amoureuse de son petit ami Warner, et un soir alors qu’il l’a invité au restaurant, elle s’attendait à une demande en mariage mais c’est une rupture qu’elle a eu car selon lui, Elle n’est pas assez intelligente pour sa famille… Elle est tombée de très haut après cette épreuve mais un jour, Elle Woods décide d’aller étudier le droit à l’Université

1 2 Stéréotype et préjugé Sommaire Stéréotype et préjugé ............................................................................................................................. 2 Introduction ........................................................................................................................................ 3 Vidéo ...............................................................................................................................................

l'encontre de Mlle de chartes. Il y à même une hyperbole tellement le personnage est mis en valeur appuyé par le haut degrés qui est utilisé. Elle incarne et personnifie la beauté. Depuis le Moyen Age le teint pâle et la chevelure blonde montre la beauté de la femme. Le stéréotype (banal) permet la lisibilité pour le lecteur. L'expression « Il parut » fait paraître une apparition divine. Plusieurs termes nous permettent de comprendre la réaction des gens de la cour. Elle est au centre des regards car en

maison s’occupant des enfants. Blédine, marque de petits pots pour bébé, met en scène l’image de la mère. Le stéréotype de la femme mère est présent partout dans ses publicités. De nos jours, le stéréotype de la mère est de moins en moins présent dans la publicité. On ne voit que plus rarement l’image de la mère ventant les mérites d’un produit pour bébés. 3) La femme objet Le stéréotype de la femme objet a toujours été présent, il était moins présent dans les années 1950-1960 mais aujourd’hui

d’attente - Mme de La Fayette joue avec son lecteur, portrait physique seulement esquisse : description partielle de son visage. - Métonymie et gradation (Effet d'insistance). On en voit un peu mais pas trop : il y a une gradation de sa beauté. Stéréotype : sa blancheur irradie, éclat du teint, signe de noblesse. - Champ lexical de la vision prépondérant : formule « il parut » venue des contes. C’est une description de son éclat, de son charme, de sa grâce mais pas très précise, abstraite ; elle