Stèle

je suis citoyen romain ) * Stèle du Vétéran Marcus Valerius Celerinus. C’était un citoyen de la colonie Agrippine. Il a érigé cette stèle pour lui même et pour sa femme. * Stèle funéraire de Caius Largenius de Lucques, c’était un citoyen legionnaire agé de 37 ans ayant servi pendant 18 ans dans la IIe legion. * Stèle funéraires de Claudius Halotus, ancien esclave mort à 18 ans. Avec sa liberté il avait obtenu le nom de Claudius de son maitre * Stèle funéraire de l'ouvrier naval P.Longidienus

solide» (périphrase oxymorique : mouvement et fixité, agitation et puissance paisible)est un poème de V. Segalen tiré de stèles  « stèles du bord du chemin »    Définition de Stèle : monument monolithique, qui porte une inscription, des ornements sculptés. (petit Robert)monument formé d’une pierre placée debout (souvent la stèle est funéraire = "in memoriam" ) • Que veut dire l’auteur ? De quoi parle-t-il ? Quelle est la portée profonde du texte ?  Il s'agit d'un éloge , celui d'une montagne rencontrée

La stèle montre que l’ancien militaire est devenu citoyen romain. En effet, il porte la tria nomina : « Marcus Valerius Celerinus » qui caractérise un citoyen romain et il porte une toge, ce qui est un autre signe distinctif du citoyen. * il est inscrit dans une des 35 tribus de Rome « de la tribu Papiria », ce qui complète l’identification civile du citoyen et lui donne en théorie des droits politiques (lors des réunions des comices tributes). Cours 2e Histoire : Citoyenneté et Empire à Rome

absence de déterminant renforce et accentue l'aspect mystérieux et indéterminé. Le lieu donne une impression de vaste avec : « prolongeant » (ligne une), « libère » (ligne quatre), « grand » (ligne treize)... Puis, un paradoxe se fait sentir car la stèle, présente dans le titre du recueil, renvoi à une idée de limite, de borne (linge trois : « encerclant »), mais dans le poème elle ouvre l'espace (ligne quatre : « sauter », ligne sept : « déverse-toi » sont des verbes de mouvement). Cette idée de renfermement

droits venus des cieux I Le droit inspiré babylonien La stèle du Code d’Hammourabi Elle fut exhumée au début du XIXe siècle lors de fouilles menées dans la région de Suse (Iran actuel) par un archéologue français, d’où sa conservation actuelle au musée du Louvre. Cette stèle, sculptée dans du basalte noir (pierre volcanique), mesure 2, 25 m de hauteur pour 55 cm de largeur. On retrouve en son sommet un bas-relief, quant au reste de la stèle, il porte le fameux « code » rédigé en langue akkadienne

d’HammurabiCe code, gravé sur une stèle en diorite noire, de 2,25 m de haut et 1,90 m de circonférence, a été érigé à Babylone par le roi Hammurabi vers 1750 av. J.-C.. Dans ce court extrait, le roi explique pourquoi il a fait graver cette stèle.… Pour que le fort n’opprime pas le faible, pour rendre justice à l’orphelin et à sa veuve, pour… promulguer la Loi du Pays, pour rendre les sentences du Pays, pour faire droit à l’opprimé, j’ai écrit mes précieuses paroles sur ma stèle et je l’ai dressé devant ma

s'ouvrir à la richesse du monde I) Guider le voyager → pq° ? a) pcq'il l'invite à découvrir la diversité *intrusion d'1 idéogramme → épigramme = symbole de l'ailleurs puisq : langue étrangère puisq : il fait partie du poème sans y appartenir ĉ 1 stèle = au bord du txt + verticalité* * impératif L1 « ne choisis », L4 « aime », L6 « repose-toi » valeur = conseil = voir titre « Conseils » *poème = 1 guide de destination variées strophe 1 et 2 = ville et montagne strophe 3 et 4 = lieu de repos strophe

Amenhotep IV de son premier nom) est un pharaon légendaire, qui par son comportement hérétique face à la religion d’Amon, renouvela les croyances égyptiennes profondément établies. On retrouve d’ailleurs des éléments de son règne si particulier dans la stèle familiale d’Akhénaton, analysée ci-dessous. Créé en 1340 avant J.C., durant la XVIIIe dynastie, ce monument en calcaire d’une hauteur de 32,5 cm constituait probablement un autel à l’empire d’Akhénaton et à sa descendance1. Après un déplacement

est porté par la pierre (car sur la pierre est inscrit le message). Symbole, car la stèle représente de façon formelle une idée, un moment tel la mort, un évènement… Stèle représentant la déesse Ishtar Ishtar, dans la mythologie de Babylone ou Inanna chez les sumériens est la déesse de vie et la fertilité mais aussi de l'amour physique et de la guerre. Elle est la fille de Nanna/Sin et de Ningal. Cette stèle à l'effigie de la déesse Ishtar, les archéologues estiment qu’elle a dû être sculptée

sept premiers sont des photographies en couleur qui présentent deux lécythes à fond blanc datant entre 470 et 400 av. J.-C. ; le Cratère du peintre du Dipylon vers 760 av. J.-C. ; le Kouros Kroisos vers 530 av. J.-C. ; une stèle funéraire datant de près de 540 av. J.-C. ; la Stèle de Dexiléos vers 394-393 av. J.-C. et enfin le Tumulus de Marathon vers 490 av. J.-C. Les deux derniers documents sont des extraits du texte antique de Thucydide, Guerre du Péloponnèse, II, 34 et II, 44. Ce corpus de documents