Spéculation foncière

subjective reconnaissait la commercialité par rapport à la qualité des personnes. Ainsi des actes conclus entre commerçants étaient présumés commerciaux. A l’opposé la théorie objective se fondait sur la commercialité par nature des actes (entremise, spéculation dans la circulation des richesses). Cette vision binaire, a été progressivement remplacée en raison notamment des actes commerciaux par accessoire et des actes mixtes. Il faut désormais envisager le caractère commercial sous trois aspects, l’acte

capital pour acheter des actions. Cette mise de fond lui permettait aisément d’emprunter la différence (95%) auprès du courtier ou de la banque. Ce laxisme dans le degré de couverture des emprunts et l’imprudence des banques à prêter pour de la spéculation, sont des causes importantes de la crise boursière qui a entraîné la faillite des banques. 1.3. La surproduction Selon plusieurs économistes, la surproduction à l’échelle mondiale constitue une des principales causes de la crise. Quatre facteurs

n'est pas un choix arbitraire. En effet, après mure réflexion sur la finance islamique, nous avons remarqué que celle-ci est frappée de plusieurs interdits (interdiction du taux d'intérêt, des actifs illicites, de l'incertitude excessive, de la spéculation à découvert, de la thésaurisation, …). Ces différentes restrictions ont pour conséquence de limiter les champs d'investissement et de financement des institutions financières islamiques comparativement aux institutions conventionnelles. Cependant

remboursé. -Crises bancaires=banque qui n’arrive plus à se financer sur le marchécrise de liquidité comme pourrait l’être une entreprise donc la banque fait faillite. -Crise de change=spéculationsur le marché des échanges une monnaie va être attaquée. -Crise boursière=crash boursier de 1929 à cause de la spéculationeffondrement du cours des actions. 1) Les bases de la crise La comparaison que l’on peut faire entre le fonctionnement des marchés financier et le concours de beauté c’est qu’il y a

si réunissent deux conditions : -La spéculation -La répétition La spéculation Elle se définie comme la recherche d'un bénéfice tant il est essentielle de réaliser un profit pour poursuivre une activité ou subvenir aux besoins de l'entreprise, ainsi le type de l'acte de commerce reste l'achat pour revendre. Les commerçants achetant des produits dans le but de dégager un bénéfice. La jurisprudence fait donc de la spéculation un critère systématique de distinction

s’intéresser à l’étude de la bourse. De nos jours les marchés financiers occupent une place de plus en plus importante dans une économie, dans le sens où ils permettent que se tiennent l’intermédiation (entre investisseurs et épargnants) et la spéculation financière. Le marché qui nous intéresse dans ce travail est le marché des actions, et plus précisément le principal marché boursier du Maroc, à savoir la Bourse de Casablanca. Le Maroc est connu pour ses nombreux lieux touristiques, son histoire

des capitaux va permettre aux Etats de se financer plus facilement notamment pour les pays en développement ayant un déficit structurel d’épargne et ainsi stimuler la croissance économique. Toutefois, rien ne permet de réguler les mouvements de spéculation en partie responsable des crises financières mondiales. A. A court terme, la libéralisation des mouvements de capitaux stimule la croissance 1) Meilleure allocation des ressources - Epargne nationale a été découplée (ceci

opérations qui reposent sur la pure spéculation en vue de réaliser un profit sont illicites (haram) et donc nulles en droit musulman. Ce principe ferme notamment aux investisseurs islamiques l’accès au marché des produits dérivés en tant que source de profit à titre principal et fait obstacle à ce que ces derniers participent à la négociation spéculative de titres de sociétés. Il existe cependant une nette distinction entre les opérations relevant de la pure spéculation et une activité certes spéculative

L’excès de spéculation boursière Évolution des dividendes : comme les entreprises font des bénéfices, elles rétribuent les actionnaires par des dividendes. Ces actionnaires investissent. Développement des crédits : les actionnaires contractent des crédits pour acheter des actions. La bulle spéculative : situation où les cours du marché s’éloignent de manière cumulative de leur valeur fondamentale (c’es à dire de leur valeur économique justifiée). Excès de crédit et de spéculation. Spéculation :

variations ne répondent pas toujours à une logique d’offre et de demande. L’augmentation actuelle du prix de l’essence n’est pas cohérente avec le ralentissement de la croissance lié à la crise. Il est à craindre qu’une logique financière de spéculation sur le cours du pétrole et surtout des matières premières agricoles (blé) nous amène vers une nouvelle crise. Certains marchés peuvent nécessiter une régulation initiée par l’Etat. L’avenir appartiendra-t-il aux pays qui réussiront les premiers